BRAS DE FER

La police berlinoise a ouvert une enquête après la fuite d'informations provenant du quotidien BZ sur la probable venue du président ukrainien en Allemagne. Le journal détaille également le programme de Zelensky sur place.
Dans un communiqué publié et un autre ébruité, les Sociétés de journalistes de France 3 et du Parisien ont dénoncé le traitement de l’information concernant la réforme des retraites par leurs médias respectifs, qu'ils jugent favorable au pouvoir.
Une douzaine de jours plus tard, France 2 s'est excusée pour avoir fait passer le 10 août une cheminée pour un missile non explosé sur le toit de la centrale de Zaporojié. Une simple «fâcheuse erreur», a minimisé la chaîne de télévision publique.
Vladimir Poutine a signé une loi prévoyant des sanctions contre la «diffusion publique d'informations sciemment fausses» sur l'action des organes de l'Etat russe à l'étranger. Une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à 15 ans est prévue.
Un collectif citoyen reproche à France TV Slash de manquer de pluralisme sur les sujets qu'elle aborde. La chaîne numérique du service public est accusée d'être sous l'emprise de l'idéologie «woke». Une pétition a été lancée.
Effectuant une métaphore entre la pandémie et une situation de «guerre», l’ancien président du Conseil italien Mario Monti a estimé nécessaire que le gouvernement s'implique dans le domaine de l'information au sujet de l’épidémie de Covid-19.
La diplomatie russe a réagi à la nouvelle doctrine militaire de cyber-influence adoptée par la France en déclarant que les techniques de propagande à l'échelle mondiale étaient, en terme de portée, «comparables aux armes de destruction massive».
La ministre des Armées Florence Parly a présenté le 20 octobre une nouvelle doctrine pour mener le combat dans la guerre informationnelle, s'autorisant à user de la dissimulation ou de la ruse pour contrer les attaques de ses adversaires.
Les autorités américaines ont saisi les noms de domaine du média public iranien Press TV, du média Al-Alam, ainsi que de la chaîne de télévision yéménite Al Masirah, dirigée par les rebelles Houthi.
Le gouvernement a annoncé la mise en place dès septembre d'une agence nationale visant, sur le papier, à lutter contre les manipulations de l'information en provenance de l'étranger. Mais l'éventualité d'une instrumentalisation politique interroge.
Alors que Bruno Le Maire se rendait en Haute-Saône le 19 février, la préfecture aurait fait preuve d'intimidation pour placer le ministre à l'antenne de France 3 Franche-Comté. L'intersyndicale des journalistes de la chaîne dénonce un chantage.
Un reportage de France info donnant la parole à deux citoyens assumant leur volonté de faire la fête illégalement le jour de l'an a suscité des réactions épidermiques sur les réseaux sociaux.
En représailles à une mesure similaire instaurée par Washington le 21 octobre, six médias américains présents en Chine doivent fournir dans les sept jours la liste de leurs employés, de leurs biens immobiliers et de leurs opérations financières.
Du fait de méthodes décriées aussi bien dans le domaine nucléaire que sur le plan des droits de l'homme, Pyongyang fait face à une hostilité ouverte sur la scène internationale, qui semble imprégner la couverture médiatique étrangère du pays.
Priscillia Ludosky a lancé une pétition, adressée à Conseil supérieur de l'audiovisuel et au ministère de la Culture, pour «bannir» l’éditorialiste Eric Zemmour des plateaux de télévision et des médias. Le rappeur Booba a suivi le mouvement.
Affecté par une maladie respiratoire préexistante, Julian Assange est potentiellement vulnérable au Covid-19. Pour cette raison, son médecin l'a avisé de ne pas se rendre en salle de visioconférence pour assister à une audience administrative.
Le Parlement a adopté la loi controversée de lutte contre la haine sur internet. Jean-Thomas Lesueur, délégué général de l'institut Thomas More, et Alexis Poulin, cofondateur du Monde moderne, ont analysé pour RT France les conséquences de ce texte.
Six mois après la plainte de l'un des jeunes lycéens interpellés à Mantes-la-Jolie lors de heurts en marge d'une manifestation étudiante en 2018, une enquête a été ouverte, notamment pour «torture sur mineur de 15 ans» et «violence aggravée».
Après avoir présenté le site de «désinfox» du gouvernement à propos de la pandémie de Covid-19, Sibeth Ndiaye a été critiquée par de nombreuses personnalités, certaines l'accusant même de vouloir un retour du «ministère de l’information».