L'ancien attaquant du FC Nantes n'est pas mort noyé, selon le rapport d'autopsie de son corps, retrouvé dans la Manche. Un rapport provisoire qui doit apporter des réponses sur les causes de l'accident, est attendu dans une quinzaine de jours.
La police britannique a annoncé avoir identifié le corps récupéré dans l'épave de l'avion qui avait disparu au-dessus de la Manche comme étant celui du footballeur argentin Emiliano Sala. La nouvelle a suscité une grande émotion en Argentine.
Selon les enquêteurs, l'avion qui transportait le joueur de football Emiliano Sala a été retrouvé. L'attaquant italo-argentin avait disparu à bord d'un avion de tourisme parti de Nantes en direction de Cardiff, le soir du 21 janvier.
Dénonçant l'attitude des forces de l'ordre à Mantes-la-Jolie qui avaient forcé des dizaines de lycéens à s'agenouiller, les Gilets jaunes ont adopté la même posture devant certains CRS, en province et à Paris, lors de leur mobilisation ce 8 décembre.
Selon l'AFP et plusieurs médias, la police a entamé le 23 juillet au matin l'évacuation d'un camp de migrants en plein centre de Nantes. Ces quelque 400 migrants sont essentiellement originaires du Soudan et d’Erythrée.
Un campement comprenant des centaines de migrants occupe actuellement le centre-ville de Nantes. Le maire PS de la ville a annoncé le 14 juillet refuser de demander l'évacuation du square, malgré une mise en demeure de la préfecture.
Un site a relayé une vidéo dans laquelle un policier s'acharne sur un prévenu menotté à terre au tribunal de Grande Instance de Paris. Une enquête a été ouverte par le parquet pour «violences par personne dépositaire de l'autorité publique».
Des incidents ont éclaté pour la quatrième nuit consécutive à Nantes, après qu'un homme de 22 ans a été abattu par un policier lors d'un contrôle d'identité qui a dégénéré. Mis en examen, le policier a été libéré sous contrôle judiciaire.
Un contrôle qui dégénère, un jeune homme tué par balle, un CRS qui change sa version des faits... L'affaire Aboubakar embrase Nantes et pourrait bien raviver des tensions déjà exacerbées autour de la question des violences policières.
Après le placement en garde à vue du CRS ayant mortellement blessé un jeune homme à Nantes, la première version des faits a évolué et le policier admet avoir tiré accidentellement en pleine intervention.
Après la mort d'un jeune homme lors d'un contrôle de police à Nantes le 3 juillet, les mouvements d'émeutes nocturnes reprennent chaque soir dans les quartiers sensibles. Le policier auteur du tir a été placé en garde à vue par l'IGPN.
Plusieurs quartiers de Nantes se sont embrasés et ont connu des émeutes dans la nuit du 3 au 4 juillet après qu'un homme a été tué par balle par un policier. Le 4 juillet, la tension était encore palpable en fin de journée.
Alors que des CRS étaient en train de le contrôler, un homme de 22 ans a percuté un des policiers avec son véhicule. Un policier a fait feu et le conducteur est décédé à l'hôpital. Des violences ont aussitôt éclaté dans trois quartiers nantais.
Alors que des zadistes ont annoncé qu'ils avaient déposé des projets nominatifs comme l'exigeait l'exécutif, le chef de file du parti Les Républicains à l'Assemblée nationale Christian Jacob a estimé que cet accord relevait d'une capitulation.
La députée Modem de Loire-Atlantique Sarah El Haïry a estimé le 10 avril sur le plateau de RT France que ceux qui avaient choisi de rester sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes étaient les plus violents, ne voulant pas s'inscrire dans la légalité.
Lors d'une mobilisation contre la politique gouvernementale, des manifestants ont réalisé un simulacre de jugement et de mise à mort du président. Des responsables de La République en marche sont montés au créneau pour dénoncer cette mise en scène.
Ce samedi 31 mars, un front commun, constitué de zadistes, d'étudiants, de syndicalistes, de militants associatifs, de migrants et de précaires manifeste à Nantes «contre toutes les menaces d’expulsions».
Une centaine de migrants a investi une maison de retraite désaffectée à Nantes au cours de la matinée du 8 mars. La veille, ils occupaient les locaux de deux bâtiments de l’université de la ville avant d’être expulsés par les forces de l’ordre.
La préfète de la région Pays de la Loire Nicole Klein, souhaitait «rouler et marcher» sur la route des chicanes traversant la ZAD, aujourd’hui dégagée. Quelques zadistes lui ont transmis leurs sentiments en l’accueillant de dos, le pantalon baissé...
Dans l’attente de la décision du gouvernement sur la création ou non de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes pour fin janvier, les dernières déclarations de l’exécutif font redouter une évacuation violente des opposants.