SIDERANT

Jean-Luc Mélenchon a estimé, sur BFMTV, qu'avec le nouveau projet de loi contre le séparatisme voulu par Emmanuel Macron, «ce qui est visé, c'est l'islam». Il a ensuite livré son analyse de la récente polémique du voile à l'Assemblée nationale.
La Turquie a condamné la republication des caricatures de Mahomet par le journal satirique français et critiqué Emmanuel Macron pour avoir défendu le droit au blasphème, dans un contexte de vives tensions entre Ankara et Paris.
Alors que l'hebdomadaire satirique controversé Charlie Hebdo a publié une nouvelle fois les caricatures du prophète Mahomet, le président français, en déplacement à Beyrouth, s'est exprimé sur la liberté d'expression.
Charlie Hebdo publie les caricatures de Mahomet à la veille de l'ouverture du procès de l'attentat djihadiste de janvier 2015 à Paris. Une publication qui a suscité de nombreux soutiens chez les journalistes et politiques.
Des responsables politiques étasuniens envisageraient des sanctions contre des responsables liés au Hezbollah, pour que le parti chiite, soutenu par l'Iran, n'ait pas la main sur le futur gouvernement libanais.
Pour marquer le tragique anniversaire de la mort de Jacques Hamel, plusieurs cérémonies ont lieu à Saint-Etienne-du-Rouvray. Une messe dans l'église, où il a été assassiné, a succédé à une marche silencieuse et précédé un hommage républicain.
Une prière collective est organisée, ce 24 juillet, à Sainte-Sophie, à Istanbul, pour la première fois depuis sa transformation en mosquée par les autorités turques. Le président Recep Tayyip Erdogan doit y prendre part.
La fête musulmane de l'Aïd-el-Kébir approchant, Brigitte Bardot, toujours vent debout contre l'abattage rituel des moutons, se fend d'un communiqué cinglant adressé, notamment, au gouvernement.
Alors que la diplomatie française avait sévèrement critiqué l'internement «inacceptable» de membres de la minorité ouïghoure, Pékin a vivement réagi, défendant sa politique dans la région au nom de la lutte contre «le terrorisme et le séparatisme».
Invité à s'exprimer à propos de l'incendie de la cathédrale de Nantes, le romancier au Renaudot a livré sa vision de l'islam, se posant également la question d'un hypothétique monde sans cette religion.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a effectué dimanche 19 juillet une visite symbolique dans l'ex-basilique Sainte-Sophie d'Istanbul, la première depuis l'annonce, la semaine dernière, de la transformation de cet édifice en mosquée.
Le gouvernement de transition a adopté des amendements abolissant la peine de mort pour apostasie, criminalisant l'excision et autorisant les non-musulmans à importer, vendre et consommer de l'alcool. Des décisions contestées dans la rue à Khartoum.
Selon le vice-ministre russe des Affaires étrangères, la décision de convertir l'ex-basilique Sainte-Sophie en mosquée est une «affaire intérieure» de la Turquie. Vladimir Poutine et son homologue turc se sont entretenus par téléphone à ce sujet.
Alors qu'un rapport sénatorial met en garde contre l'influence de l'islamisme radical en France, Sébastien Boussois, docteur en sciences politiques, souligne que ce combat se mène sur plusieurs fronts, dont celui des relations internationales.
Bamako a connu sa journée la plus tendue depuis près d'un an, lors d'une nouvelle manifestation contre le président malien, qui a dégénéré, avec au moins un mort et 20 blessés et des attaques d'édifices publics, dont l'Assemblée nationale.
Lydia Guirous, essayiste et ancienne porte-parole des Républicains, et Nicolas Bays, co-fondateur de La République en marche, reviennent sur un rapport alarmant publié le 9 juillet par le Sénat concernant la propagation de l'islam politique en France
Dans un rapport sénatorial présenté le 9 juillet, la commission d’enquête sur la radicalisation islamiste et les moyens de la combattre pointe «la réalité de la radicalisation islamiste» en France.
Les autorités russes et l'Eglise orthodoxe se montrent inquiètes vis-à-vis de la volonté affichée du pouvoir turc. En effet, Recep Tayyip Erdogan entend reconvertir l’ancienne basilique Sainte-Sophie en mosquée.
Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, a déclaré qu'Oussama Ben Laden était «mort en martyr», qualifiant ce meurtre d'«humiliation» pour de nombreux Pakistanais. Ses propos ont provoqué une vague de réactions hostiles dans le pays.
Selon le parquet antiterroriste, quatre des suspects n'avaient pas une «connaissance précise» des modalités de l'attentat, mais avaient «conscience de l'existence d'un projet» terroriste. Le Pnat demande le renvoi de neuf suspects devant les assises.