Aïd-el-Kébir et «banlieue de Bab-el-Oued» : Brigitte Bardot à la rescousse des moutons
La fête musulmane de l'Aïd-el-Kébir approchant, Brigitte Bardot, toujours vent debout contre l'abattage rituel des moutons, se fend d'un communiqué cinglant adressé, notamment, au gouvernement.
«La France n'est pas la banlieue de Bab-el-Oued et nous sommes en opposition totale avec la souffrance atroce que cette tradition barbare impose à nos moutons» : ainsi se conclut d'un communiqué de la fondation Brigitte Bardot publié le 22 juillet à l'approche de la date de la fête musulmane de l'Aïd-el-Kébir.
L'ancienne ingénue du cinéma français vient à nouveau se rappeler au bon souvenir de l'Hexagone en sortant de sa réserve pour défendre les animaux et tirer à vue dans un texte partagé sur Twitter, sans concession et au lyrisme horrifique : «Le 31 juillet aura lieu l'immonde fête religieuse musulmane de L'Aïd-el-Kébir qui, comme tous les ans depuis des années, sacrifiera rituellement, sauvagement, cruellement, sans étourdissement des centaines de milliers de moutons qui, après une longue et douloureuse agonie, perdront conscience étouffés par le sang qui coulera à flots de leurs gorges ouvertes.»
le 31 juillet des centaines de milliers de moutons seront égorgés ! Réagissez je vous en supplie ! pic.twitter.com/376X7ZpydZ
— BRIGITTE BARDOT (@brigitte_bardot) July 22, 2020
Brigitte Bardot apostrophe encore l'Etat : «Si les musulmans en France nous imposent leurs traditions archaïques auxquelles nos gouvernements se soumettent sans que personne ne réagisse, alors où allons-nous ?»
Dans un élan que ne renieraient pas les antispécistes, la plus grande amie des animaux appelle ensuite la France à se questionner : «Où est la laïcité tant prônée par nos dirigeants dans tout ce sang versé au nom d'une religion ?»
Comme le rappelle Var-Matin, tuer un animal à son propre domicile, notamment dans sa baignoire, ou dans la ferme ou sur des sites d’approvisionnement est interdit par la loi et le délit est passible de sanctions allant jusqu'à six mois de prison et 15 000 euros d'amende.