Critiqué pour son départ du Conseil européen avant son terme le 2 octobre, Emmanuel Macron assume. Il assure n'avoir quitté les débats qu'une fois un texte commun finalisé et a jugé «élégant» que la chancelière allemande porte «la voix de la France».
En amont du sommet extraordinaire de l'UE sur la crise politique en Biélorussie, l'ex-candidate à la présidentielle biélorusse et figure de l'opposition Svetlana Tikhanovskaïa a encouragé les dirigeants européens à ne pas reconnaître le scrutin.
En constatant la recrudescence des cas de contamination au Covid-19 dans plusieurs pays et régions d'Europe, les autorités des pays-membres de l'UE renforcent les mesures de contrôle sans qu'aucune coordination au niveau européen semble avoir lieu.
Comment l'opinion publique a-t-elle évolué au cours de ces derniers mois de pandémie vis-à-vis de ses dirigeants et de leur gestion de la crise ? En France, en Allemagne et au Royaume-Uni, les sondages révèlent des situations différentes.
Le sommet européen de ce vendredi ne devrait pas aboutir à un accord, mais les partisans d’une Europe fédérale saluent le «plan de relance» de la Commission, relève Pierre Lévy, rédacteur en chef du mensuel Ruptures.
Bruxelles a présenté son projet de plan de relance pour l’économie européenne touchée par l’épidémie de Covid-19. Il reprend le principe d’une dette mutualisée déjà proposé par le couple-franco-allemand.