SIDERANT

Plusieurs titres de presse rapportent que l'Elysée a embauché le communicant Frédéric Michel. Ce dernier a collaboré avec un think tank du parti travailliste proche de Tony Blair puis avec un fils du milliardaire australo-américain Rupert Murdoch.
De nombreux responsables politiques occidentaux ont rendu hommage à Madeleine Albright, décédée le 23 mars 2022. Première femme au poste de secrétaire d’Etat des Etats-Unis, elle avait revendiqué les lourdes conséquences de l'embargo contre l'Irak.
20 ans après la fin du conflit au Kosovo, les autorités de Pristina ont invité des représentants américains de l'époque afin qu'ils soient honorés. L'ancien président Bill Clinton a désormais un timbre à son effigie et Madeleine Albright une statue.
Interrogée par le site EUobserver au sujet d'une discussion entre George Soros, Tony Blair et Pierre Moscovici lors du dernier forum de Davos, la Commission européenne en aurait caché le contenu, afin de protéger un «processus décisionnel».
A 13 semaines de la date butoir pour un retrait en bon ordre, la confusion politique s'accroît à Londres. Dans la majorité Tory comme dans l'opposition, l'idée d'un nouveau référendum se répand. Pourtant, un Hard Brexit n'a jamais été plus probabe.
Malgré les efforts des Lords ou encore ceux de Tony Blair pour bloquer le Brexit, la loi organisant la sortie du Royaume-Uni de l'UE a été signée par la reine Elisabeth II – cet assentiment royal étant l'ultime étape de la procédure législative.
Tandis que le Londres et Bruxelles ont entamé la deuxième partie des négociations sur les conditions de sortie de l'UE, l'ex-président du UKIP a exprimé sa lassitude face aux «Remainers» qui espèrent la tenue d'un nouveau vote pour avorter le Brexit.
A Londres, la Haute cour de Justice a confirmé que l'armée britannique avait infligé des traitements inhumains à des civils irakiens en 2003. Le verdict tombe plus de 14 ans après les faits alors que la Cour pénale internationale commence à bouger.
En pleine offensive médiatique pour revenir sur le devant de la scène politique, Tony Blair assure que les électeurs britanniques ont été dupés par les partisans du Brexit. Il veut un nouveau vote. Theresa May, elle, se rend à Bruxelles ce jour.
Le dirigeant britannique revient sur un des épisodes marquant de son passage au 10 Downing Street : le boycott du Hamas, vainqueur des élections législatives palestiniennes. Une erreur regrettable, postérieurement.
La Haute Cour de Justice britannique a bloqué la tentative d'un général irakien d'attaquer Tony Blair pour l'invasion de l'Irak en 2003. Des militants dénoncent une tentative de la justice de protéger l'ex-Premier ministre.
L'ancien Premier ministre britannique estime que l'opinion publique a évolué sur la question de la sortie du Royaume-Uni de l'UE. Il entrevoit la possibilité de son abandon. Une telle option est d'ailleurs pour lui cruciale pour l'avenir de son pays.
Une élection annoncée comme imperdable a été perdue par celle qui devait la gagner, tout comme le candidat des Républicains avait été proclamé prochain président de la République fin 2016, note l'historien John Laughland.
Poursuivi à plusieurs reprises, l'immunité de l'ancien Premier ministre lui a permis de passer entre les gouttes, même après la publication de l'accablant rapport Chilcot. Saisie, la plus haute juridiction britannique pourrait changer les choses.
L'ancien Premier ministre britannique Tony Blair a annoncé le 1er mai qu'il comptait s'investir davantage contre le Brexit. Mais son image très écornée au Royaume-Uni semble empêcher tout retour sur le devant de la scène.
L'ancien Premier ministre britannique Tony Blair a rencontré le gendre de Donald Trump dans la perspective d'un poste de conseiller spécial pour le Moyen-Orient dans l'administration du président américain, selon des médias britanniques.
Que le Royaume-Uni ait versé une telle somme issue de l'argent des contribuables à un terroriste est un grave scandale s'indigne David Coburn, député britannique du Parti pour l'indépendance (UKIP).
Le djihadiste qui a commis un attentat suicide en Irak près de Mossoul était un Britannique qui avait été détenu à Guantanamo, selon son frère, cité le 22 février par le Times.
C'est la première intervention publique de l'ex-Premier ministre britannique depuis le référendum du Brexit. Et, selon lui, il y a urgence à se «dresser» contre la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Les votants auraient été mal informés.
La plus haute autorité de Justice britannique a estimé dans un jugement que le gouvernement pouvait être poursuivi pour son rôle dans l'extradition vers la Libye et la torture subie par Abdul Hakim Belhaj en 2004.