SIDERANT

Reçue sur RTL ce 2 septembre au moment où le président français Emmanuel Macron réunissait son conseil de défense sur l’énergie, Catherine MacGregor a tenté de rassurer sur la situation des stockages de gaz en France dans la perspective de l’hiver.
Le gouvernement belge s'est entendu sur un accord prévoyant la fin des réacteurs nucléaires actuels en 2025. Il ne tourne toutefois pas le dos à cette énergie, et va même investir 100 millions d’euros dans la recherche sur les petits réacteurs.
Le jugement en référé, demandé par les syndicats de Suez au Tribunal de Paris, suspend l’opération de rachat de leur entreprise par leur concurrent Veolia. Les actions Suez détenues par Engie ont déjà changé de main, mais l’OPA est retardée.
Dans une interview, le ministre de l’Economie et des Finances a jugé peu probable que la privatisation des aéroports de Paris et la cession des parts détenues par l’Etat au capital de l’énergéticien Engie aient lieu avant la fin du quinquennat.
Selon Mediapart, les représentants CFDT au conseil d’administration d’Engie se sont pliés à une demande de l’Elysée lors du vote sur l’offre de rachat des actions de Suez par Veolia. L’Elysée dément «formellement».
Le ministre de l’Economie, favorable au rachat de Suez à Engie par Veolia, demande aux groupes de parvenir à un accord. Mais dirigeants et syndicats de Suez font de la résistance, et des élus montent au créneau.
Des élus locaux de tous bords, inquiets des conséquences possibles du projet de rachat de Suez par son concurrent Véolia, demandent à être consultés par le gouvernement. Les syndicats et dirigeants de Suez, eux, sont vent debout contre ce projet.
Anticipant une forte hausse de la demande mondiale qui se traduit déjà dans l’évolution récente des cours, la Commission de régulation de l’énergie annonce une hausse des tarifs réglementés pratiqués par Engie, le principal fournisseur.
Le projet de gazoduc Nord Stream 2 n’a jamais semblé aussi proche d’être abandonné, sous la pression de facteurs politiques. Mais pourquoi et qui gêne-t-il tant, et qu’aurait l’Europe à perdre ou à gagner, en y renonçant, à deux tuyaux du but ?
Varsovie s’essaie à l’extraterritorialité judiciaire à l’américaine en sanctionnant Engie (ex-Gaz de France) pour sa participation au projet du gazoduc Nord Stream 2. Engie a annoncé faire appel.
Le comité des Affaires étrangères du Sénat américain a adopté un nouveau projet de sanctions visant le gazoduc sous-marin Nord Stream 2 qui doit relier la Russie et l'Allemagne. Ses promoteurs affirment toutefois que sa construction se poursuit.
Les menaces américaines de sanctions n’ont pas réussi à bloquer la construction du gazoduc qui doit relier la Russie et l’Allemagne. Mais le Danemark accumule les manœuvres pour en retarder l’achèvement.
Après une rencontre avec son homologue polonais, le président des Etats-Unis a menacé de sanctions les investisseurs européens du gazoduc construit par Gazprom. La Pologne, elle, prévoit la fin prochaine de ses accords avec le producteur russe