SIDERANT

C'est un cap symbolique : la Chine a annoncé ce 19 mars l'absence de nouvelle contamination locale par le coronavirus. Le pays-épicentre de l'épidémie, qui redoute désormais les cas importés, a lancé une campagne d'aide internationale.
Ce 27 janvier, le président du parlement catalan Roger Torrent a décidé de déchoir de son siège de député le président de la Région Quim Torra. Le parti de ce dernier s'insurge, de nouvelles élections régionales pourraient être convoquées.
Les élections législatives espagnoles se soldent par une courte victoire des socialistes, qui devancent les conservateurs. Le parti de droite nationaliste Vox effectue quant à lui une percée. Aucune majorité claire ne se distingue.
En proie à une instabilité politique depuis 2015, l'Espagne retourne aux urnes le 10 novembre, pour la quatrième fois en quatre ans. Toutefois, aucune formation politique ne semble dessiner une majorité absolue.
Des élections législatives ont lieu en Espagne ce 10 novembre 2019. Selon les sondages, celles-ci pourraient notamment être marquées par une forte progression des populistes, au détriment des partis traditionnels.
La situation s'envenime en Catalogne où les manifestations se succèdent après la condamnation à des peines de prison de leaders indépendantistes. Madrid promet de réagir avec «fermeté», alors que les manifestants vont entamer une grève générale.
Neuf responsables indépendantistes ont été condamnés à des peines allant de neuf à 13 ans de prison pour tentative de sécession de la Catalogne en 2017. Des manifestations visant à contester cette condamnation ont débuté dans la foulée.
L'ancien Premier ministre – qui tente une nouvelle carrière politique dans son pays natal – a de nouveau fait parler de lui de l'autre côté des Pyrénées à l'occasion de son mariage.
Les députés espagnols ont refusé d'accorder leur confiance au socialiste Pedro Sanchez, aux affaires depuis 2018. Si la gauche ne parvient pas à former une coalition, elle pourrait bien perdre le Parlement lors des prochaines élections anticipées.
L'ancien Premier ministre français, défait lors des élections municipales à Barcelone, aurait entamé des négociations avec le PSOE afin de remplacer Josep Borrell aux Affaires étrangères.
Les faits remontent à 2016, et le feuilleton judiciaire qui en a découlé avait suscité des manifestations monstres en Espagne : cinq hommes impliqués dans le viol d'une jeune femme de 18 ans ont été condamnés à 15 ans de prison.
Alors que l'Elysée remet en question la collaboration de LREM avec les centristes espagnols au parlement européen en cas d'alliance locale avec des nationalistes, le chef du parti populiste de droite Vox a réagi dans un message au vitriol.
Au lendemain des législatives en Espagne, le rédacteur en chef du mensuel Ruptures partage avec RT France son analyse des résultats de ce scrutin, troisième de ce type depuis 2015.
Actuellement en détention, cinq hommes politiques espagnols appartenant à la mouvance séparatiste catalane ont été élus le 28 avril au Parlement. Les partis indépendantistes catalans disposent désormais de 22 sièges à la chambre basse.
Après le décompte de plus de 95% des bulletins, le PSOE apparaît en tête des législatives espagnoles du 28 avril. Les sociaux-démocrates ne disposeront néanmoins pas, sans coalition hétérogène, d'une majorité absolue à la chambre basse du Parlement.
Les Espagnols votent le 28 avril pour élire leurs députés et sénateurs. Dans un contexte inédit, entre difficulté à former une coalition et poussée de Vox, le pays pourrait basculer dans l'instabilité parlementaire.
Le parti de gauche espagnol Podemos s'est vu suspendre son compte WhatsApp à quelques jours des élections générales. L'entreprise a fait valoir qu'elle n'autorisait pas «les messageries de masse ou les programmes d'automatisation des messages».