BRAS DE FER

L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a envoyé des lettres aux belligérants du conflit au Yémen ainsi qu'au Secrétaire général de l'ONU pour se proposer comme médiateur dans la résolution du conflit au Yémen.
Le représentant spécial des Etats-Unis pour la Syrie James Jeffrey a déclaré lors d'une téléconférence que le départ de Bachar el-Assad du pouvoir en Syrie n'était pas un préalable à la résolution de la crise syrienne.
Abdel Fattah al-Sissi, qui soutient le maréchal Haftar en Libye, a fait savoir qu'une «intervention directe» de l’Egypte dans ce pays était «devenue légitime au niveau international». Le gouvernement d'union nationale libyen dénonce une ingérence.
Washington s'apprête à faire entrer en vigueur la loi «César», qui prévoit de sanctionner Damas et les entreprises qui travailleraient avec le pouvoir syrien. Un texte qui ne fera qu'aggraver les difficultés financières des Syriens, selon Damas.
Au moment où les forces du Gouvernement libyen d'union nationale (GNA) s'apprêtent à reprendre la ville de Syrte, jusqu'alors aux mains des forces du maréchal Haftar, celui-ci s'est montré favorable au cessez-le-feu proposé par l'Egypte.
Un officiel du royaume des Saoud a fait savoir qu'un cessez-le-feu unilatéral allait être mis en place au Yémen, pendant deux semaines, afin de lutter contre la pandémie de Covid-19. Une décision saluée par l'ONU dans un pays ravagé par la guerre.
Une vingtaine de policiers et miliciens pro-gouvernementaux sont morts dans une attaque des Taliban dans le nord-est du pays. Une tuerie commise dans un contexte d'incertitude sur les négociations qui doivent mettre fin à 40 ans de guerre.
La crise en Libye est-elle en voie de connaître son épilogue ? Après neuf mois de combats près de la capitale libyenne Tripoli, ce 13 janvier, les belligérants libyens sont attendus à Moscou pour signer les modalités du cessez-le-feu.
Un conflit sanglant ravage actuellement la région de l'Ituri, en République démocratique du Congo. Selon l'ONU, les actes qui y sont perpétrés pourraient être assimilés à des «crimes contre l'humanité», voire à un «génocide».
Alors qu'une conférence pour tenter de résoudre la crise en Libye est prévue à Berlin, le président congolais a mis en garde le 6 janvier contre les conséquences néfastes d'une marginalisation du continent africain dans ce dossier.
Les pays limitrophes de la Libye sont sur le qui-vive : une éventuelle intervention militaire turque dans ce pays, déjà miné par une guerre fratricide, fait craindre une détérioration de la situation sécuritaire en Afrique du Nord et au Sahel.
Le président français et son homologue égyptien ont prévenu des risques d'une escalade militaire en Libye. En janvier, Erdogan va soumettre son Parlement au vote afin d'envoyer des troupes pour soutenir le gouvernement de Fayez el-Sarraj.
Ravagé par une guerre civile depuis 2014, le Yémen fait actuellement face à une pénurie d'eau potable. L'ONG Médecins du monde dénonce une situation insoutenable pour les habitants.
Sur fond de menace de guerre civile, de séparatisme et de terrorisme, le déplacement de Jean-Yves Le Drian au Cameroun s'annonce délicat, notamment pour la pacification des régions anglophones sécessionnistes du pays, où la France veut jouer un rôle.
Jusqu'au 16 septembre, une page du site internet de l'ONU recensant les œuvres figurant dans ses locaux expliquait que la ville de Guernica avait été détruite par l'Espagne. L'institution a dû s'excuser afin d'éviter une petite crise diplomatique.
Un groupe d'experts de l'ONU sur le Yémen fait état de «multitude de crimes de guerre» commis durant le conflit. Si la coalition saoudienne est directement visée, les ventes d'armes par les nations occidentales sont pointées du doigt.
L'accord russo-turc de 2018 ne parvient toujours pas à débloquer la situation dans l'enclave d'Idleb où des djihadistes ont été régulièrement concentrés au fil du conflit. Dans la province, les héritiers d'al-Nosra ont même consolidé leurs positions.
Le 21 juillet, les Ukrainiens ont été appelés aux urnes pour élire les 450 députés que compte le parlement du pays, la Rada. Le parti Serviteur du peuple de Volodymyr Zelensky l'a emporté haut la main.
Dans une interview exclusive à RT France, l'ambassadeur du Yémen en France Riyad Yassin évoque l'enlisement du conflit dans son pays. Il accuse notamment les rebelles houthis de refuser tout dialogue pour la mise en place d'un processus de paix.
Dans un contexte de regain d'activité des groupes djihadistes dans une région censée être démilitarisée, la base aérienne russe de Hmeimim a essuyé une tentative d'attaque. Damas et Moscou ont mené de nouvelles frappes en riposte.