BRAS DE FER

Viols, violences, esclavage. La fédération internationale des droits de l'homme demande justice pour les femmes yézidies martyrisées par des djihadistes français de Daesh, et plaide pour qu'ils soient traduits devant les tribunaux pour ces crimes.
L'avocate et militante des droits de l'homme Amal Clooney a appelé l'Irak à accepter une enquête de l'ONU sur les atrocités commises par le groupe terroriste de Daesh dans le pays et à amener les responsables devant la justice.
Les forces kurdes et irakiennes continuent leur avancée sur les positions de Daesh, libérant territoires et prisonniers de l'Etat islamique, y compris la minorité ethnique de Yézidis. Mais les traces du douleureux passé sont loin d'être effacées.
Le prix, décerné par le Parlement européen, récompense la «liberté de l'esprit». Les deux lauréates, issues de la communauté yézidie, ont survécu aux exactions commises par les combattants de l'Etat islamique sur leur communauté.
Nadia Murad Basee Taha, une jeune Irakienne de 23 ans qui avait été esclave sexuelle de Daesh pendant trois mois, a été nommée ambassadrice de l'ONU pour la dignité des victimes du trafic d'êtres humains.
Nadia Murad, Yézidie, avait été transformée en esclave sexuelle par Daesh. Elle a survécu au cauchemar inimaginable de sa vie en captivité, cauchemar qui perdure après sa libération. RT est allé à sa rencontre.
S'enfonçant toujours plus dans la barbarie, le groupe terroriste, qui avait déjà utilisé Facebook pour y publier ses «petites annonces», continue à étendre son business sur les réseaux sociaux. Une base de données d'esclaves aurait même été créée.
Une ancienne mannequin a décidé de renoncer à sa vie confortable au Canada pour aller lutter contre le groupe terroriste Daesh en Syrie. Décision qu’elle a prise parce qu’elle ne pouvait plus regarder les gens mourir en silence.
Depuis le 17 juin, les troupes régulières du gouvernement irakien tentent de reprendre la ville stratégique de Falloujah à Daesh. Sur place, elles ont découvert plusieurs centaines de femmes yézidies, prisonnières de l'Etat islamique.
Après avoir subi de lourdes pertes en raison des massacres perpétrés par l’Etat islamique, la communauté yézidie s’organise militairement, avec de maigres moyens.
La ville irakienne de Mossoul a été le théâtre d’un véritable massacre. Le groupe Etat islamique a assassiné 250 femmes qui ont rejeté des «mariages temporaires». Une autre appellation pour désigner la mise en esclavage sexuel.
Les Yézidis et les combattants tribaux ont repris aux terroristes un nouveau bastion frontalier de la région de Sinjar, près de la Syrie, coupant ainsi une ligne d’approvisionnement des djihadistes, ont rapporté les militaires vendredi.
Nadia Murad Basi Taha a été une esclave sexuelle de Daesh pendant trois mois. Dans une interview exclusive, elle a parlé à RT de sa vie en captivité et après l’évasion.
Ce jeudi, le Parlement européen a demandé à la communauté internationale de prendre des mesures urgentes face au «massacre systématique» des minorités religieuses et ethniques par l'Etat islamique en Irak et en Syrie.
Une nouvelle vidéo témoignant des atrocités de l'organisation terroriste est apparue sur la toile, montrant des djihadistes en arme séparer un groupe de femmes et d'hommes yézidis, laissant ainsi présager le pire.
Au Conseil de sécurité des Nations Unies à New York, la jeune femme a raconté ses mois de captivité et les atrocités commises par Daesh sur la communauté yézidie qui subit un «génocide organisé» et demandant à la communauté internationale de réagir.
Sous la ville irakienne de Sinjar, des militants de l'Etat islamique ont construit des tunnels munis de dortoirs avec électricité et fortifiés avec des sacs de sable. Ils y stockaient des munitions de fabrication américaine et des médicaments.
Les forces kurdes et irakiennes ont découvert un charnier contenant des dizaines de corps de femmes yézidis exécutées par Daesh. L'ONU a décrit la campagne brutale des terroristes comme un possible «génocide».
Dans cette enquête spéciale de RT, les esclaves de l’État Islamique racontent leurs histoires terrifiantes.
Cette jeune yézidie a affirmé que le djihadiste qui l'a maintenue en esclavage était un américain. Détail troublant, elle affirme également qu'il semblait être un chef de premier rang de l'organisation terroriste.