CRISE EN ARMENIE

La justice a annulé la cagnotte Leetchi ouverte le 6 janvier 2019 pour l'ex-boxeur gilet jaune, Christophe Dettinger. Le tribunal a ordonné la restitution des fonds à ses contributeurs et jugé l'objet de cette collecte contraire à l'ordre public.
Une cagnotte en faveur des policiers mis en cause dans l'affaire Zecler a cumulé 15 000 euros de dons avant d'être supprimée par LePotCommun.fr pour non respect des conditions générales. Le syndicat de police Alliance réfute en être à l'initiative.
Plusieurs sites d'information ont affirmé que l'ex-compagne de Christophe Dettinger avait déposé une plainte contre lui après une altercation conjugale. Une source proche du dossier contredit aujourd'hui certains éléments de cette version.
Le juge des référés n’a pas donné suite à la demande de provision formulée par la famille de Christophe Dettinger, qui réclamait le versement de 145 000 euros, récoltés selon les Dettinger grâce à une cagnotte Leetchi de soutien.
La police a convoqué des donateurs de la cagnotte de soutien à Christophe Dettinger. Ils doivent témoigner dans le cadre d'une enquête ouverte après la plainte de participants à la cagnotte, qui accusent Leetchi d'avoir «détourné les fonds».
Placé depuis février 2019 en régime de semi-liberté dans le centre de Corbeil-Essonnes, où il devait rentrer chaque soir, l’ancien boxeur Christophe Dettinger a finalement obtenu ce 3 juin, selon son avocate, le port du bracelet électronique.
Estimant que Leetchi n'avait pas à clôturer, deux jours après son ouverture, la cagnotte pour soutenir Christophe Dettinger, l'épouse de l'ancien boxeur réclame plus de 3 millions d'euros à la plateforme, sur la base des dons reçus.
Alors que des policiers tentaient de disperser des Gilets jaunes rassemblés sur les Champs-Elysées à Paris, l'un d'entre eux a commencé à donner des coups de poing à des manifestants et à un street medic, comme en témoigne une vidéo.
L'ancien boxeur Christophe Dettinger, filmé en train de frapper des membres des forces de l'ordre lors d'une manifestation de Gilets jaunes, a annoncé qu'il portait plainte pour «injure raciale» et «diffamation» contre le président de la République.
La cagnotte en faveur de Christophe Dettinger aurait changé de bénéficiaire après sa clôture selon Leetchi qui a «engagé une procédure en référé [...] afin de déterminer les conditions dans lesquelles pourra intervenir le versement» de 127 812 euros.
La femme de Christophe Dettinger est sorti de son silence médiatique en accordant une interview à France 3. Elle explique le geste de son mari par «l'injustice» dont il aurait été témoin ce jour-là et juge qu'il n'a pas «sa place en prison».
Dénonçant la volonté d'Emmanuel Macron «de faire pression» sur les magistrats, l'avocate Laurence Léger a sollicité le bâtonnier de Paris. Le président avait jugé que Christophe Dettinger n'avait «pas les mots d’un boxeur gitan»
Lors d'une interview sur BFMTV, la dirigeante du Rassemblement national a épinglé Emmanuel Macron pour ses récentes théories sur le mouvement des Gilets jaunes. Le président de la République avait évoqué une possible ingérence étrangère.
Dans des propos rapportés par un journaliste du Point, Emmanuel Macron aurait estimé que l'ex-boxeur Christophe Dettinger, surnommé le «gitan de Massy» n'aurait pas pu faire sa vidéo sans les conseils d'un avocat d'extrême gauche.
La cour d'appel de Paris a ordonné le maintien en détention provisoire de l'ancien boxeur professionnel Christophe Dettinger, dans l'attente de son procès mi-février pour violences à l'encontre de gendarmes lors de l'acte 8 des Gilets jaunes.
Une fresque en hommage aux Gilets jaunes a été réalisée par un collectif d'artistes rue d'Aubervilliers, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Deux portraits géants du boxeur Christophe Dettinger recouvrent notamment plusieurs mètres du mur.
Dans la Grande Interview, Katia Pecnik reçoit Laurent Cassiau-Haurie, commandant de police et auteur de l’ouvrage «La police m’a tué…» (2018, éd. Encre Rouge) dans lequel il dénonce les dysfonctionnements de la police.
Dans l'attente de son procès fixé au 13 février, l'ex-boxeur filmé s'en prenant aux forces de l'ordre, avait été placé en détention. Le père de famille qui s'était livré de lui-même aux autorités le 7 janvier dernier a fait appel de cette décision.
A Bordeaux, l'un des bastions du mouvement des Gilets jaunes, plusieurs milliers de personnes ont défilé dans le calme pour protester contre la politique d'Emmanuel Macron.
Membre de la communauté gitane, un homme est accusé d'avoir appelé à «l'insurrection» dans une vidéo publiée sur le réseau social en soutien au double champion de France de boxe Christophe Dettinger. Il a été placé en détention provisoire.