Lors d'un entretien avec l'envoyé présidentiel spécial des Etats-Unis pour le climat John Kerry, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a salué le retour de Washington dans l'accord de Paris, qu'il avait quitté sous Donald Trump.
Sans attendre le verdict final de l'élection, Joe Biden a annoncé une série de nominations dans sa possible administration. Avec notamment le retour aux affaires de John Kerry, en tant qu'émissaire spécial du président américain sur le climat.
Le 16 février débute la 54e conférence mondiale de Munich sur la sécurité. De nombreux diplomates et chefs de gouvernement sont attendus. RT France vous en présente les enjeux.
L'ancien secrétaire d'Etat des Etats-Unis John Kerry a révélé qu'Israël, l'Arabie Saoudite et l'Égypte avaient mis la pression à Washington pour bombarder Téhéran alors qu'il était sénateur, avant l'accord sur le nucléaire iranien.
Donald Trump pourrait revenir sur la décision de l'administration sortante de donner près de 205 millions d'euros d'aide aux Palestiniens. Ce versement surprise avait été décidé le jour même de l'investiture du nouveau président américain.
A quelques jours du terme de la présidence Obama, le secrétaire d'Etat américain a effectué une visite au Vietnam où, près d'un demi-siècle plus tôt, il avait lutté contre les Vietcongs sous la bannière étoilée, tuant un homme.
Tout en prenant la défense de l'action de son président face à la crise en Syrie, le secrétaire d'Etat américain a fustigé Londres pour son vote de 2013 contre une campagne aérienne en Syrie voulue par Washington.
Le mouvement juif anti-sioniste Neturei Karta a organisé une manifestation devant la Maison Blanche à Washington afin de soutenir la résolution anti-colonisation adoptée le 23 décembre par le Conseil de sécurité des Nations unies.
Après le vote d’une résolution condamnant les colonies israéliennes à l’ONU, des responsables palestiniens ont fait savoir qu’ils ne comptaient pas en rester là, à trois semaines du départ de Barack Obama, qui cédera sa place à Donald Trump.
La droite israélienne a dénoncé les propositions du secrétaire d'Etat sortant John Kerry pour un règlement du conflit avec les Palestiniens et affirmé miser sur l'arrivée à la Maison Blanche de Donald Trump pour enterrer l'idée d'un Etat palestinien.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a vivement critiqué le discours tenu plus tôt par le secrétaire d'Etat John Kerry, assurant que ce dernier s'en était pris de façon «obsessionnelle» aux colonies en ignorant les racines du conflit.
Le secrétaire d'Etat américain sortant John Kerry présentera dans un grand discours sa «vision complète» du processus de paix israélo-palestinien, toujours dans l'impasse, a annoncé le porte-parole de la diplomatie américaine.
John Kerry serait en train de finaliser un texte devant servir de cadre à des négociations israélo-palestiniennes : celui-ci inclurait des échanges de territoires et une reconnaissance des frontières de 1967.
Le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté un projet de résolution réclamant l'arrêt de la colonisation israélienne, après que les Etats-Unis ont décidé de ne pas utiliser leur droit veto, mais de s’abstenir.
Le 10 décembre, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a reçu la légion d'honneur de la part de Jean-Marc Ayrault, qui voit en lui «le plus français des responsables américains» et un «inlassable partisan de la paix».
Selon le secrétaire d'Etat américain John Kerry, les rebelles syriens qualifiés de «modérés» par Washington ont bien freiné l'arrivée de l'aide humanitaire et empêché les civils de s'enfuir d'Alep, où l'évacuation se poursuit avec l'aide des Russes.
Des représentants des Etats-Unis, du Qatar ou d'Arabe saoudite, pays soutenant la rébellion syrienne, se sont retrouvés dans la capitale française pour y aborder la situation dans la ville d'Alep, en passe d'être reprise par les autorités syriennes.
En raison de sa politique incohérente et des fautes commises par le gouvernement, la France est responsable des atrocités subies par le peuple syrien, estime la députée Véronique Besse.
Les Russes ont opposé leur veto à l'ONU à une proposition de cessez-le-feu à Alep car une cessation des hostilités ne mènerait, au bout du compte, qu'à la prolongation du conflit, estime l'analyste politique Max Abrahms.
La tentative occidentale de faire passer à l'ONU une résolution de trêve de sept jours à Alep vient d'échouer. Pour l'ancien diplomate américain Jim Jatras, elle n'était destinée qu'à provoquer la Russie et la Chine.