SIDERANT

Ce 27 mars, un attentat suicide survenu à Kaboul a tué au moins six civils a annoncé le ministère afghan de l'Intérieur. L'attaque s'est produite près du ministère des Affaires étrangères, selon les autorités.
Le porte-parole du ministère afghan de l'Intérieur, Abdul Nafy Takor, a annoncé que plusieurs personnes avaient été tuées et blessées dans une explosion d'origine indéterminée, ce 1er janvier à l'entrée de l'aéroport militaire de Kaboul.
La capitale afghane a été secouée dans l'après-midi du 12 décembre par une attaque visant un hôtel. Trois assaillants ont été tués, selon les Taliban, mais le bilan des victimes reste incertain.
Un kamikaze s'est fait sauter devant l'ambassade russe de Kaboul, entraînant la mort d'un diplomate et d'un garde de la mission diplomatique, ainsi que celle de quatre Afghans. L'attentat a été revendiqué par Daesh.
Chants et parade militaire avec les équipements abandonnés par les soldats étrangers : les Taliban ont fêté le premier anniversaire du retrait d'Afghanistan de la coalition dirigée par les Etats-Unis, et leur retour au pouvoir après 20 ans de guerre.
Kaboul accuse le Pakistan de permettre à des drones américains d'utiliser son espace aérien pour pénétrer dans le ciel afghan. Dénonçant un «acte illégal» de la part des Etats-Unis, le gouvernement taliban demande au Pakistan de ne pas y participer.
Le président américain Joe Biden a annoncé qu'une frappe aérienne dans la capitale afghane avait permis d'éliminer Ayman al-Zawahiri, qui avait pris le relais d'Ousama ben Laden à la tête d'Al-Qaïda et était activement recherché.
Les militaires américains impliqués dans une frappe de drone qui avait tué 10 civils dont sept enfants fin août à Kaboul ne seront pas sanctionnés a annoncé le Pentagone, estimant impossible de «retenir des responsabilités personnelles».
La Russie multiplie les rotations à l’aéroport de Kaboul pour fournir une aide humanitaire au peuple afghan en proie à la famine et à la misère.
Près de trois mois après le retrait pour le moins désordonné des troupes américaines d'Afghanistan, les critiques continuent de pleuvoir sur l'administration Biden, dont la gestion du dossier est mise en cause. Même au sein du parti démocrate,
Après plusieurs mois de travaux pour le rendre à nouveau opérationnel, la situation est revenue à la normale à l'aéroport de Kaboul. Reportage sur place de l'envoyé spécial de RT France Antoine Cléraux.
Le ministre afghan des Affaires étrangères a appelé les Etats-Unis à ne pas «déstabiliser» les autorités de Kaboul. Une déclaration faite lors des premiers pourparlers entre Américains et Taliban depuis le retrait d'Afghanistan.
L'armée américaine reconnaît que sa dernière frappe à Kaboul en août était une erreur, selon un général américain cité par les agences de presse. Celui-ci et le ministre de la Défense ont présenté leurs condoléances aux familles et amis des victimes.
Dans de nouvelles images filmées le 13 septembre, on peut voir des combattants islamistes en train de passer du bon temps dans un parc d'attraction de la capitale afghane.
Donald Trump a profité du vingtième anniversaire des attentats du 11 septembre 2001 pour critiquer la façon dont Joe Biden avait géré le retrait d'Afghanistan, qui, selon lui, a fait passer le président démocrate pour un «imbécile».
Les Taliban au pouvoir depuis quelques jours en Afghanistan ne permettront pas aux femmes du pays de pratiquer un sport, jugeant cela contraire à leur conception de l'islam.
Face à la crainte d’un afflux de réfugiés afghans, l'UE veut éviter une nouvelle crise migratoire comparable à celle de 2015. L'avocate en droit des étrangers Hanane Hmad et le président de France fraternité Pierre Henry en ont débattu sur RT France.
Après avoir mis en garde contre les «trafics de toute nature» liés aux migrants venant d'Afghanistan, Emmanuel Macron a affirmé ne pas confondre migration et risque terroriste. Un «en même temps» risqué qui lui a attiré des critiques de toutes parts.
Un ancien interprète afghan de l'armée américaine bloqué à Kaboul après le départ des Etats-Unis demande de l'aide au président, qu'il avait aidé à secourir alors qu'il était immobilisé par une tempête de neige lors d'une visite en Afghanistan.
«Aucune opération n'est jamais parfaite», a reconnu le 1er septembre le chef du Pentagone Lloyd Austin. Au côté du chef d'état-major, le général Mark Milley, il a assuré que les militaires américains «[apprendraient] de cette expérience».