SIDERANT

En plein débat sur l’immigration, Henri Guaino préconise une réforme de la Constitution pour «rétablir la primauté du droit français sur le droit international». Une prise de position qui s’inscrit dans le contexte d'une offensive à droite.
L'ancien conseiller de Nicolas Sarkozy fustige la réforme des retraites menée par le gouvernement et Emmanuel Macron. Il apporte d'ailleurs son soutien aux manifestants et aux blocages pour faire reculer l'exécutif sur le sujet.
Invitée à l'antenne de France Inter, Marine Le Pen s'est interrogée sur la pertinence d'une adhésion à l'OTAN de la Finlande et la Suède, en particulier des conséquences que cela pourrait entraîner vis-à-vis de la situation en Ukraine.
L'ex-conseiller de Nicolas Sarkozy tire la sonnette d'alarme sur les événements le conflit en Ukraine. Dans une tribune au Figaro, il demande notamment à réfléchir sur les causes d'un «engrenage» pouvant mener selon lui à une guerre plus étendue.
Dans La Grande Interview, Jean-Marc Sylvestre reçoit Henri Guaino, essayiste et ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, sur le thème : «A quoi sert le gaullisme aujourd'hui ?».
Si le parti Les Républicains est souvent considéré comme issu de la filiation du gaullisme, qu'en est-il réellement ? Certains de ses cadres invoquent toujours le général pour justifier leurs positions. Mais de Gaulle n'est-il pas galvaudé ?
Henri Guaino, ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, auteur de «Ils veulent tuer l'Occident», donne son point de vue sur les Gilets jaunes. Selon lui, le mal est profond et remonte à 40 ans, «quand l'Occident a décidé d'organiser la mondialisation».
Face à la persistance de la révolte des Gilets jaunes, Henri Guaino pointe les limites de la «violence révolutionnaire». Selon lui, en raison de la complexité de la crise, il n'y a pas de solution politique immédiate. Mais alors, quelle issue ?
Face aux revendications des Gilets jaunes et à la réponse du gouvernement, Henri Guaino analyse les risques que posent le référendum d'initiative citoyenne et le grand débat national voulu par Emmanuel Macron.
Henri Guaino était l'invité ce 10 octobre de l’émission Interdit d’interdire. L’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy a estimé que la France était confrontée à une crise démocratique profonde en raison des modifications constitutionnelles successives.
Frédéric Taddeï reçoit Henri Guaino, ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Yves Sintomer, professeur de Sciences politiques à Paris VIII, Jacques de Saint-Victor, historien du droit, et Dominique Rousseau, professeur à Paris I.
Contrairement à un Nicolas Dupont-Aignan qui souhaite rallier, à droite, de Laurent Wauquiez à Marine Le Pen, Florian Philippot tend «fraternellement la main» à des personnalités aussi variées politiquement que Jean Lassalle ou François Asselineau.
Henri Guaino a annoncé l'arrêt de sa chronique, Libre comme Guaino, diffusée sur Sud Radio depuis septembre. En effet, la station l'a écarté de l'antenne après que l'ancien député a pris position pour l'ex-président, mis en examen, Nicolas Sarkozy.
Privé d'investiture par LR et battu à Paris sous une candidature dissidente, Henri Guaino n'était pas contraint de faire cavalier seul. Le FN aurait tenté de l'attirer dans ses filets en lui proposant une circonscription dans le Var, en vain.
Avec moins de 5% des suffrages, Henri Guaino n'accède pas au second tour dans la circonscription parisienne jusqu'ici tenue par François Fillon. Annonçant son retrait de la politique, il en a profité pour dire leur quatre vérités à ses électeurs.
Après le refus de son parti de l'investir dans les Yvelines, Henri Guaino, qui avait refusé de participer à la campagne présidentielle de François Fillon, sera candidat à Paris face à Nathalie Kosciusko-Morizet, elle aussi membre des Républicains.
Henri Guaino serait-il devenu un abstentionniste convaincu ? Le candidat à l'Elysée a choisi de laisser planer le suspens sur son choix électoral en cas de duel au sommet entre Emmanuel Macron et Marine le Pen.
Après Henri Guaino qui se plaignait récemment de ne «rien» pouvoir mettre de côté avec son salaire de 5 100 euros nets par mois, c’est au tour du maire, cumulard, de Lyon de déplorer ses conditions de travail.
La crise des migrants, à Calais, a été marquée par de nouveaux rebondissements, lundi 3 août. Des tentatives d'intrusion, un CRS blessés, mais surtout, des réactions politiques.