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Couvre-feu pour 20 millions de Français, interdiction de se réunir à Londres, écoles fermées en Pologne: des mesures draconiennes sont entrées en vigueur en Europe dans l'espoir de juguler la deuxième vague de la pandémie de Covid-19.
Selon l'AFP, les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se sont entendus sur la base de propositions de la France et l'Allemagne pour sanctionner la Russie dans le cadre de l'affaire Navalny.
Alors que la Turquie et la Grèce se disaient «prêtes pour commencer des pourparlers exploratoires» au sujet de la Méditerranée orientale, Ankara annonce que son navire de recherche a quitté son port turc pour mener de nouvelles recherches de gaz.
A peine était-il placé sur un lit d'hôpital le 20 août 2020, qu'Alexeï Navalny faisait l'objet d'un puissant phénomène médiatique en Occident. Celui-ci s'est parfois traduit par des conclusions hâtives, privilégiant l'idéologie aux faits.
Réagissant à la «preuve» avancée par les proches d'Alexeï Navalny, à savoir une bouteille censée porter des traces de Novitchok, l'ambassadeur russe en Allemagne s'est interrogé sur les incohérences, selon lui, du récit de l'entourage de l'opposant.
Le secrétaire d'Etat américain a annoncé le retour des sanctions de l'ONU contre l'Iran avant de menacer tout pays ou entité qui les violerait. La Russie, les Européens et l'Iran contestent cette décision.
A rebours de certaines voies en Europe – et en dépit de la pression de Washington –, le président autrichien Alexander Van der Bellen a catégoriquement refusé de lier le destin du projet de gazoduc Nord Stream 2 à l'affaire Navalny,
L'opposant russe Alexeï Navalny a publié sur Instagram son premier message depuis son hospitalisation, se réjouissant de pouvoir respirer sans assistance. Sa porte-parole a par ailleurs précisé qu'il reviendrait en Russie une fois remis.
Alexeï Navalny, hospitalisé à Berlin, peut désormais sortir temporairement de son lit, d'après l'établissement de santé berlinois dans lequel il est traité. Il a été «sevré de la ventilation artificielle», selon la même source.
Plusieurs organisations avaient installé 13 000 chaises devant le parlement allemand à Berlin le 7 septembre pour interpeller les autorités sur le sort des réfugiés du camp de Moria, à Lesbos, où des cas de Covid-19 confirmés y apparaissent.
Dmitri Peskov s'est exprimé lors d'une conférence de presse, réfutant fermement les accusations «d’empoisonnement» formulées par l'Allemagne à propos d'Alexeï Navalny, alors que le gouvernement allemand continue de mettre la pression sur la Russie.
L'hôpital berlinois de la Charité annonce que l'opposant russe Alexeï Navalny, victime présumée de l'empoisonnement à l'agent neurotoxique, est sorti du coma artificiel.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, lors d'un discours traditionnel devant les étudiants de MGIMO, a démenti les allégations selon lesquelles la Russie n’enquête pas sur l'empoisonnement présumé de l'opposant Alexeï Navalny.
La police russe a annoncé l'ouverture d'un «examen préliminaire» sur l'hospitalisation de l'opposant russe Alexeï Navalny, au sujet de laquelle des Etats occidentaux dénoncent un empoisonnement.
La ville de Berlin a décidé le 26 août d'interdire une manifestation d'opposants au port du masque et aux mesures de restrictions contre la pandémie de Covid-19, suscitant l'indignation de la droite radicale qui appelle à «résister».
Tandis que Moscou s'est étonné de l'«empressement» des médecins allemands à évoquer des «traces d'empoisonnement» chez l'opposant russe Alexeï Navalny, Paris et Washington ont rapidement haussé le ton en réclamant des comptes aux autorités russes.
Dmitri Peskov a affiché des doutes quant à l'utilisation du terme «empoisonnement» par l'hôpital de Berlin dans lequel est soigné Alexeï Navalny. Le porte-parole a également assuré que les médecins russes avaient tout fait pour soigner l'opposant.
Le vice-directeur de l'hôpital où est soigné Alexeï Navalny a déclaré que l'équipe médicale ne s'opposerait pas à son transport «vers un autre hôpital», son état étant «stable». L'entourage de l'opposant souhaite son transfert en l'Allemagne.
A l'issue du sommet extraordinaire de l'UE sur la crise politique en Biélorussie, la chancelière allemande a déclaré que l'UE ne reconnaissait pas le résultat de la présidentielle dans ce pays qui a consacré la victoire du président Loukachenko.
Alexandre Loukachenko a fustigé les heurts ayant suivi l'annonce de sa réélection, dénonçant des «appels depuis l'étranger» visant à «téléguider» la population. Dans le même temps, certains pays ont émis des doutes sur le déroulement du scrutin.