BRAS DE FER

Plusieurs personnalités politiques ont fait part de leur ire après l'annonce de la distinction d'anciens ministres d'Emmanuel Macron à la Légion d'honneur, y voyant une décoration pour «copinage» davantage que pour services rendus à la nation.
Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand n'est pas parvenu à conserver son siège. Il a reconnu sa défaite. Mélanie Thomin, son adversaire de la Nupes, l'emporte avec 50,6% des voix, selon les premières estimations d'IFOP Fiducial.
Se présentant comme un opposant politique à Emmanuel Macron, un homme ayant pris la parole lors d'un meeting organisé par le parti présidentiel s'est fait évacuer de la salle avant d'être finalement raccompagné au premier rang de l'auditoire.
Alors que les nouvelles mesures anti-Covid proposées par le gouvernement sont examinées ce 3 janvier à l'Assemblée nationale, le président de l'institution, Richard Ferrand, a été testé positif au Covid-19 et placé à l'isolement.
Alors que le projet de loi visant à transformer le pass sanitaire en pass vaccinal est sur le point d'être voté par le Parlement, le gouvernement se préoccupe des menaces et des agressions à l’encontre des élus LREM.
Selon les informations de FranceInfo confirmées par BFMTV, des «poids lourds» de la majorité ont convenus le 17 novembre de faire maison commune en vue des prochaines élections législatives sous le nom de l'association «Ensemble citoyens !».
Des députés LREM ont déposé un amendement réclamant l'application à l'Assemblée nationale du projet de loi relatif à la crise sanitaire. Accusé de s'être opposé à ce principe, Richard Ferrand assure que le texte, une fois adopté, y sera appliqué.
Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand (LREM) a estimé qu'enterrer ou se précipiter sur la réforme des retraites serait une «folie», suggérant de reporter le projet au début du «deuxième quinquennat d'Emmanuel Macron».
Marlène Schiappa a publiquement critiqué la main tendue par la présidente du Rassemblement national aux militaires signataires du texte, jugeant sa position «dangereuse». Emmanuel Macron aurait estimé que cela révèle le «vrai visage» du parti.
Les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale dénoncent vigoureusement la méthode de Jean Castex visant à créer une commission pour réécrire l'article 24 de la loi Sécurité globale. Jean Castex assure qu'elle n'aura pas ce rôle-là.
Le président de l'Assemblée nationale n'a pas l'intention de modifier les règles du Palais Bourbon en raison de la polémique suscitée par l'audition de la syndicaliste étudiante Maryam Pougetoux, qui s'était présentée vêtue d'un hijab.
Des inscriptions taguées sur les murs d'une exploitation appartenant à un représentant de la FDSEA dénoncent l'élevage intensif, le comparant au nazisme. Plusieurs hommes politiques ont condamné ces dégradations.
Personnalités politiques et médiatiques ainsi qu'hommes de loi ont réagi à la dernière révélation sur l'affaire Alexis Kohler, mettant notamment en avant une attestation le dédouanant des suspicions le visant et rédigée en 2019 par Emmanuel Macron.
Les présidents des assemblées parlementaires française et allemande, Richard Ferrand et Wolfgang Schäuble, ont publié une déclaration commune pour inviter à rouvrir les frontières européennes et renforcer les investissements au sein de l'Union.
Le président de l'Assemblée nationale, manifestement lassé par les longueurs de l'intervention de Jean-Luc Mélenchon à la tribune, s'est permis un sarcasme qui n'est pas passé inaperçu pour le rappeler à l'ordre.
Le refus par le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand d'une demande de minute de silence en hommage à une infirmière poignardée dans les Deux-Sèvres a suscité un vif échange avec le chef de file de la France insoumise.
Sur le front intérieur, le président a vécu une année 2019 mouvementée : Gilets jaunes, réforme des retraites... La rue a grondé au fil des mois, surchauffée par les scandales entourant les proches du président.
La démission de Jean-Paul Delevoye constitue un nouveau revers pour un gouvernement qui se voulait exemplaire. Depuis l'élection d'Emmanuel Macron, les couacs se sont accumulés, fragilisant le quinquennat. Retour sur ces affaires.
A l'approche d'une grève interprofessionnelle annoncée comme massive, le président de l'Assemblée nationale se montre optimiste, tant sur le volet économique que social. Et ce, malgré la tendance à la hausse des indicateurs de la pauvreté en France.
Dans les pas d'Emmanuel Macron, le président de l'Assemblée Richard Ferrand qualifie la grève à venir de «mobilisation pour conserver des inégalités». Plutôt que de se morfondre, il appelle les Français à mesurer «le dynamisme» du pays.