Les présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale dénoncent vigoureusement la méthode de Jean Castex visant à créer une commission pour réécrire l'article 24 de la loi Sécurité globale. Jean Castex assure qu'elle n'aura pas ce rôle-là.
Le président de l'Assemblée nationale n'a pas l'intention de modifier les règles du Palais Bourbon en raison de la polémique suscitée par l'audition de la syndicaliste étudiante Maryam Pougetoux, qui s'était présentée vêtue d'un hijab.
Des inscriptions taguées sur les murs d'une exploitation appartenant à un représentant de la FDSEA dénoncent l'élevage intensif, le comparant au nazisme. Plusieurs hommes politiques ont condamné ces dégradations.
Personnalités politiques et médiatiques ainsi qu'hommes de loi ont réagi à la dernière révélation sur l'affaire Alexis Kohler, mettant notamment en avant une attestation le dédouanant des suspicions le visant et rédigée en 2019 par Emmanuel Macron.
Les présidents des assemblées parlementaires française et allemande, Richard Ferrand et Wolfgang Schäuble, ont publié une déclaration commune pour inviter à rouvrir les frontières européennes et renforcer les investissements au sein de l'Union.
Le président de l'Assemblée nationale, manifestement lassé par les longueurs de l'intervention de Jean-Luc Mélenchon à la tribune, s'est permis un sarcasme qui n'est pas passé inaperçu pour le rappeler à l'ordre.
Le refus par le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand d'une demande de minute de silence en hommage à une infirmière poignardée dans les Deux-Sèvres a suscité un vif échange avec le chef de file de la France insoumise.
Sur le front intérieur, le président a vécu une année 2019 mouvementée : Gilets jaunes, réforme des retraites... La rue a grondé au fil des mois, surchauffée par les scandales entourant les proches du président.
La démission de Jean-Paul Delevoye constitue un nouveau revers pour un gouvernement qui se voulait exemplaire. Depuis l'élection d'Emmanuel Macron, les couacs se sont accumulés, fragilisant le quinquennat. Retour sur ces affaires.
A l'approche d'une grève interprofessionnelle annoncée comme massive, le président de l'Assemblée nationale se montre optimiste, tant sur le volet économique que social. Et ce, malgré la tendance à la hausse des indicateurs de la pauvreté en France.
Dans les pas d'Emmanuel Macron, le président de l'Assemblée Richard Ferrand qualifie la grève à venir de «mobilisation pour conserver des inégalités». Plutôt que de se morfondre, il appelle les Français à mesurer «le dynamisme» du pays.
Lors d'une session de questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, les Insoumis ont demandé le départ du préfet Didier Lallement. Une vive passe d'armes a suivi, opposant la France insoumise et les membres de la majorité.
Couac à l'Assemblée nationale lors des discussions sur l'accès à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes sans condition. Richard Ferrand a fait adopter un amendement contre lequel les députés s'étaient prononcés.
Eric Alt peut-il être magistrat et vice-président d'Anticor ? Ce dernier a représenté l'association anti-corruption lors d'une audience dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne, ce qui pourrait à présent lui être reproché.
Dans une interview accordée au Télégramme, le président de l'Assemblée nationale a confirmé qu'il ne démissionnerait pas après sa mise en examen. Il s'est dit «serein et déterminé», insistant sur le fait qu'un «mis en examen n’est coupable de rien».
Richard Ferrand a fait savoir qu'il resterait président de l'Assemblée après sa mise en examen. Or, d'anciennes déclarations de l'intéressé et d'autres membres du camp Macron, datant de 2017, semblent s'inscrire en porte-à-faux avec cette décision.
Mis en examen pour «prise illégale d'intérêts», Richard Ferrand a s'est dit «déterminé à poursuivre [sa] mission» à la tête du palais Bourbon. Si le chef d'Etat lui garde toute sa confiance, des membres de l'opposition ont appelé à sa démission.
Selon la porte-parole du gouvernement, le président de la République conserve «toute sa confiance» en Richard Ferrand, après que celui-ci a été mis en examen pour «prise illégale d'intérêts» dans l'affaire des Mutuelles de Bretagne.
Le président de l'Assemblée nationale a été mis en examen pour «prise illégale d'intérêts» dans l'affaire immobilière des Mutuelles de Bretagne. Il s'est dit «déterminé à poursuivre [sa] mission» à la tête du palais Bourbon.
Ce 11 septembre, le président de l'Assemblée nationale a été auditionné par la justice à Lille dans l’affaire immobilière des Mutuelles de Bretagne après une plainte d'Anticor. Le titulaire du perchoir est soupçonné de prise illégale d'intérêts.