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La France a annoncé qu'une rencontre franco-russe des ministres des Affaires étrangères et de la Défense, prévue le 14 septembre à Paris, avait été annulée en raison des tensions liées à l'affaire Navalny.
Alors que Moustapha Adib a été désigné Premier ministre du Liban, Emmanuel Macron est arrivé a Beyrouth pour sa deuxième visite depuis la tragique explosion dans le cadre de la célébration du premier centenaire de la proclamation du Grand-Liban.
La diplomatie française a condamné les mesures prises par les autorités biélorusses à l'encontre de journalistes, dont de l'Agence France Presse, les qualifiant d'«arbitraires» et de «répressives».
Tandis que Moscou s'est étonné de l'«empressement» des médecins allemands à évoquer des «traces d'empoisonnement» chez l'opposant russe Alexeï Navalny, Paris et Washington ont rapidement haussé le ton en réclamant des comptes aux autorités russes.
Dmitri Peskov a affiché des doutes quant à l'utilisation du terme «empoisonnement» par l'hôpital de Berlin dans lequel est soigné Alexeï Navalny. Le porte-parole a également assuré que les médecins russes avaient tout fait pour soigner l'opposant.
Visé par une affaire d'espionnage industriel, un diplomate russe a été expulsé d'Autriche. Moscou a «fermement protesté» contre son expulsion qu'elle juge «infondée», avant de renvoyer, en réponse, un diplomate de l'ambassade d'Autriche en Russie.
Lors d'une conférence de presse à Brégançon en compagnie d'Angela Merkel, Emmanuel Macron a proposé une médiation de l'Union européenne en Biélorussie incluant notamment la Russie. Le Mali et les tensions en Méditerranée ont été évoqués.
Le président russe Vladimir Poutine s'est entretenu avec Emmanuel Macron, Angela Merkel et Charles Michel lors d'échanges téléphoniques concernant la crise politique en Biélorussie. Il a notamment mis en garde contre les ingérences extérieures.
Le ministère russe des Affaires étrangères a convoqué la chargée d'affaires par intérim néerlandaise à Moscou, pour «protester fermement» contre ce qu'il considère être une manœuvre d'espionnage visant l'attaché militaire de la Russie aux Pays-Bas.
Répondant à l'appel à soutenir les manifestants biélorusses lancé par Emmanuel Macron, la porte-parole de la diplomatie russe a souligné le deux poids deux mesures du dirigeant français qui n'affichait pas le même soutien aux Gilets jaunes.
Le président de la République et le Premier ministre ont tous deux réagi à la mort de six humanitaires français lors d'une attaque au Niger, promettant de nouvelles mesures pour les Français dans la région.
La Grèce a demandé une réunion européenne d'urgence sur fond de tensions avec la Turquie depuis que cette dernière a envoyé un navire de prospection gazière dans une zone maritime contestée.
Alexandre Loukachenko a fustigé les heurts ayant suivi l'annonce de sa réélection, dénonçant des «appels depuis l'étranger» visant à «téléguider» la population. Dans le même temps, certains pays ont émis des doutes sur le déroulement du scrutin.
Deux jours après les explosions de Beyrouth, Emmanuel Macron s'est rendu dans la capitale libanaise. En visite dans le quartier chrétien de Gemmayzé, il a notamment assuré qu'il allait proposer un «nouveau pacte politique» aux dirigeants libanais.
Le gouvernement britannique a exhorté Paris à prendre des mesures plus vigoureuses afin de limiter le nombre de traversées de migrants en provenance de la France.
Le ministère belge des Affaires étrangères a fait savoir que les voyages n'étaient désormais «pas possibles ou pas autorisés» vers différentes régions d'Europe, dont certaines en France, en Espagne, au Royaume-Uni, en Suisse ou encore en Roumanie.
Lors des cérémonies du 67e anniversaire de l'armistice de Panmunjeon, le leader nord-coréen a défendu l'idée d'un «arsenal nucléaire de dissuasion efficace et sûr», permettant de garantir, selon lui, la «sécurité nationale [...] pour l'éternité».
A l'appel du Collectif du 10 novembre contre l’islamophobie, une centaine de personnes se sont réunies près de l'ambassade de Chine à Paris. Les manifestants dénoncent un «génocide» des Ouïghours, une accusation vigoureusement niée par la Chine.
Vladimir Poutine est au centre d'un contenu éducatif destiné aux élèves britanniques. Après une diatribe pour le moins engagée, les auteurs de l'article invitent les élèves à vérifier et approfondir leurs connaissances, via de surprenants exercices.
Jean-Yves Le Drian est au Liban pour une visite de deux jours dans ce pays plongé dans une grave crise économique. Le chef de la diplomatie française y a tenu une conférence de presse à Beyrouth, où les autorités espèrent des aides internationales.