Rex Tillerson
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Face au front commun de la majorité des médias, des agences de renseignement et même d'une partie de sa propre administration, Donald Trump peine à gouverner. Mais sa résilience lors des «midterms» augure d'un nouveau rapport de force.
Le Sénat américain auditionne ce 12 avril Mike Pompeo, ex-patron de la CIA, que Donald Trump a désigné pour succéder à Rex Tillerson. Le probable prochain secrétaire d'Etat devrait imprimer à la diplomatie américaine une ligne encore plus dure.
Donald Trump s'est séparé de Rex Tillerson pour le remplacer à la tête de la diplomatie américaine par Mike Pompeo, ex-directeur de la CIA. Sur tous les grands dossiers, ce dernier a pris des positions qui augurent d'une attitude intransigeante.
A quelques semaines d'une rencontre avec le chef de l'Etat nord-coréen Kim Jong-un, le président américain Donald Trump a mis son secrétaire d'Etat, Rex Tillerson, sur la touche. Le patron de la CIA, Mike Pompeo, lui succède.
Nicolas Maduro tend la main à Donald Trump, qui évoquait pour sa part la possibilité d'une intervention militaire au Venezuela en août 2017. Si la porte est ouverte du côté de Caracas, aucun signe de tempérance n'a en revanche filtré à Washington.
Alors que la pression occidentale pour un départ de Bachar el-Assad connaît un regain d'intensité après l'offensive de l'armée syrienne dans la Ghouta, Donald Trump a assuré que les Etats-Unis n'étaient en Syrie que pour une raison : vaincre Daesh.
Les Kurdes vont-ils être sacrifiés par Washington au profit de l'alliance entre la Turquie et les Etats-Unis ? Le chef du Pentagone a envoyé un signal fort à Ankara, reconnaissant «les menaces d'organisations terroristes» qui pèsent sur sa sécurité.
Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a évoqué dans un discours la possibilité d'une intervention de l'armée vénézuélienne pour renverser «le régime corrompu et hostile» de Nicolas Maduro, qui a «déçu ses citoyens».
Le secrétaire d'Etat Rex Tillerson a fait un discours empreint d'une inhabituelle franchise sur la stratégie de Washington en Syrie, justifiant la présence des troupes américaines par la lutte contre l'influence iranienne et contre Bachar el-Assad.
Alors que les Etats-Unis voient dans les manifestations en Iran l'opportunité d'un changement de régime, Emmanuel Macron cherche une voie médiane pour la diplomatie française. Et met en garde contre les propos de certains pays hostiles à Téhéran.
Les Etats-Unis sont prêts à s'asseoir à la table des négociations avec la Corée du Nord «sans condition préalable», a fait savoir le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson, alors que la tension reste extrême entre Pyongyang et Washington.
Alors que la Palestine s'embrase après la décision américaine sur le statut de Jérusalem, Washington se montre confiant quant à ses capacités à résoudre le conflit israélo-palestinien et laisse entendre que le «deal du siècle» est en préparation....
Le ministre des Affaires étrangères russe Sergueï Lavrov a laissé entrevoir une sortie de la crise coréenne par la diplomatie, assurant que Pyongyang était prêt à discuter des «garanties pour sa sécurité» avec Washington.
Le New York Times affirme dans son édition du 30 novembre que la Maison Blanche envisage de remplacer prochainement Rex Tillerson par l'actuel directeur de la CIA Mike Pompeo. Le département d'Etat a fini par démentir cette information.
Pour le chef de la diplomatie américaine, le destin de Bachar el-Assad est de quitter le pouvoir alors que les Etats-Unis continuent de souffler le chaud et le froid sur la Syrie.
Le président des Etats-Unis Donald Trump a annoncé la «non-certification» des engagements de l'Iran dans le cadre de l'accord sur son programme nucléaire. Washington, pour autant, ne s'en retirera pas.
Dans un interview au New York Times daté du 8 octobre, Bob Corker, sénateur républicain et ancien soutien de Donald Trump s'est ouvert sur ses doutes concernant le président, estimant qu'il menait son pays vers la Troisième Guerre mondiale.
Un message apparu sur Twitter au même moment sur le compte du président américain et sur celui du chef des réseaux sociaux de la Maison Blanche, le 4 octobre, semble indiquer que Donald Trump n'écrit pas toutes les saillies nocturnes qu'on lui prête.
Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a affirmé le 4 octobre qu'il n'avait «jamais envisagé de démissionner», contrairement aux informations faisant état de graves dissensions qu'il aurait avec Donald Trump que certains médias ont publiées.
Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a affirmé que Washington disposait de canaux de communication avec Pyongyang. Le département d'Etat a précisé que la Corée du Nord ne souhaitait pas engager de pourparlers sur la dénucléarisation.
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