BRAS DE FER

L'Assemblée nationale a adopté une proposition de loi LREM interdisant l'organisation des «thérapies de conversion» visant à imposer l'hétérosexualité aux personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et trans (LGBT).
Le collectif La Manif pour tous a organisé une action pour dénoncer la tenue du salon Désir d'enfant, le 4 et 5 septembre à Paris. Pendant le rassemblement, de nombreuses piques ont été adressées au gouvernement.
Avant le retour dès le 2 février au Sénat du projet de loi bioéthique avec sa mesure phare ouvrant la PMA à toutes les femmes, les opposants ont manifesté dans plusieurs villes de France le 31 janvier. Ils étaient plusieurs centaines à Paris.
La Manif pour tous a réalisé un happening ce 16 janvier afin de démontrer son opposition au projet de loi bioéthique qui doit être débattu au Sénat : un «bébé géant» de 10 mètres de haut a été déployé devant le ministère de la Santé à Paris.
En deuxième lecture à l'Assemblée nationale, l'ouverture de la PMA à toutes les femmes, objet du premier article du projet de loi bioéthique, a été adoptée le 29 juillet à 66 voix contre 27.
Une centaine de militantes de la Manif pour tous, opposées à l'ouverture de la PMA «sans père» et à la GPA se sont rassemblées, ce 8 mars, devant l'Assemblée nationale, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes.
Après des débats enflammés, les sénateurs ont adopté l'article premier du projet de loi bioéthique. Si le texte prévoit l'extension de la PMA à toutes les femmes, les élus la chambre haute ont refusé son remboursement par la Sécurité sociale.
A Caen, un bus transportant des pèlerins catholiques a été assailli par une vingtaine d'individus. Ces derniers pourraient avoir pris les pèlerins pour des militants de la Manif pour tous, selon le porte-parole de l'évêque du diocèse local.
Avec 21 autres associations, la Manif pour tous est de retour dans les rues pour protester contre le projet de loi bioéthique, qui prévoit notamment l'ouverture de la procréation médicalement assistée aux lesbiennes et femmes célibataires.
Les opposants à la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes défilent ce 6 octobre dans la capitale française. La loi bioéthique débattue au Parlement prévoit l’ouverture de la PMA aux femmes seules et aux couples de lesbiennes.
Les opposants à la procréation médicalement assistée (PMA) pour toutes les femmes défilent ce 6 octobre dans la capitale française. La loi bioéthique débattue au Parlement prévoit l’ouverture de la PMA aux femmes seules et aux couples de lesbiennes.
L'Assemblée a voté un amendement visant à la reconnaissance automatique en France de la filiation d’enfants conçus par GPA à l'étranger. Une décision qui a provoqué un tollé à droite alors que le gouvernement assure vouloir revenir sur la mesure.
Sujet sociétal explosif de la rentrée, la PMA pour les couples de femmes et femmes seules soulève de nombreux enjeux. L'Académie de médecine a par exemple émis des réserves sur le projet, balayées par le gouvernement. Eclairage.
Dans un avis officiel sur l'ouverture de la PMA aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires, l'Académie nationale de médecine a jugé que «la conception délibérée d'un enfant privé de père» n'était «pas sans risques» pour l'enfant.
Le vice-président du Rassemblement national Nicolas Bay participera à la marche contre la «PMA pour toutes», comme d'autres personnalités politiques telles Marion Maréchal et François-Xavier Bellamy ou une grande partie de l'Eglise catholique.
Frédéric Taddeï reçoit Daniel Borrillo, juriste, Dominique Folscheid, philosophe, Marie-Jo Bonnet, historienne, ainsi que Carine Delahaie, porte-parole de l'association Femmes Solidaires et rédactrice en cheffe de Clara Magazine.
L'ancienne tête de liste des Républicains pour les européennes 2019 a sans surprise réitéré son opposition à l'ouverture de la PMA à toutes les femmes. Il confirme par ailleurs qu'il se mobilisera dans la rue pour dénoncer le projet de loi.
Le gouvernement ouvre le chapitre de la loi de bioéthique, promesse de campagne du candidat Macron. Les sujets les plus sensibles seront débattus jusqu'en 2020, avant un vote sur la loi dont le projet est porté par trois ministres différents.
La vie de l'ancien infirmier psychiatrique s'est finalement achevée, dernier acte d'une bataille juridique acharnée qui aura vu une famille se déchirer autour d'un débat sur la fin de vie ayant pris une envergure nationale.
Alors que le gouvernement souhaite accélérer dans son projet de loi pour l'extension de la PMA aux femmes seules et couples homosexuelles, la présidente de La manif pour tous Ludovine de La Rochère met en garde : «C'est l'individualisme suprême.»