François de Rugy
SIDERANT

Pour Pierre-Yves Rougeyron, président du Cercle Aristote, «il n'y a plus de moyen politique classique de surmonter les contradictions de la société». Et selon lui, c'est bien le blocage de celle-ci qui amène à une violence spectaculaire.
En pleine campagne pour les élections régionales à Nantes le 11 juin, François de Rugy avait été enfariné par une jeune femme de 24 ans. Placée en garde à vue le jour même, elle aurait été remise en liberté, selon nos confrères de Ouest France.
Attaqué en diffamation par François de Rugy, Mediapart a été relaxé par le tribunal judiciaire de Paris. Le média avait révélé en 2019 plusieurs affaires autour du train de vie de l'ancien ministre de la Transition écologique.
Accusé de viol, Gérald Darmanin a été en pleine commission l'objet d'une curieuse remarque de la part de François de Rugy, une allusion à ces accusations créant un certain malaise en commission.
L'ancien président de l'Assemblée nationale prendra la tête de la commission spéciale de députés qui sera chargée dès janvier 2021 d'examiner le projet de loi contre les séparatismes, renommé «loi confortant les principes républicains».
Dans un entretien accordé au Figaro, le député de la 4e circonscription de Savoie Patrick Mignola appelle ceux «de la majorité et de l'opposition» à rejoindre le centre pour «élargir son groupe». Une initiative qui inquiète les Marcheurs.
Après François de Rugy et Christophe Castaner, la députée LREM des Yvelines Aurore Bergé a annoncé son «envie» d'être présidente du groupe LREM à l'Assemblée, en vue de la succession de Gilles Le Gendre qui quittera ses fonctions à la rentrée.
Sur le front intérieur, le président a vécu une année 2019 mouvementée : Gilets jaunes, réforme des retraites... La rue a grondé au fil des mois, surchauffée par les scandales entourant les proches du président.
La démission de Jean-Paul Delevoye constitue un nouveau revers pour un gouvernement qui se voulait exemplaire. Depuis l'élection d'Emmanuel Macron, les couacs se sont accumulés, fragilisant le quinquennat. Retour sur ces affaires.
Des opposants au grand projet EuropaCity vont marcher pendant deux jours depuis Gonesse jusqu'aux bureaux du Premier ministre à Paris. Les participants à cette marche citoyenne dénoncent notamment des nuisances sur le plan écologique.
Les Gilets jaunes se sont rassemblés à Nantes pour leur acte 44, fief de l'ancien ministre François de Rugy mais était aussi celui de Steve, retrouvé mort fin juillet, dans la Loire. Des heurts ont éclaté dès le début de la manifestation.
Dans une interview accordée au Télégramme, le président de l'Assemblée nationale a confirmé qu'il ne démissionnerait pas après sa mise en examen. Il s'est dit «serein et déterminé», insistant sur le fait qu'un «mis en examen n’est coupable de rien».
Un mois et demi après sa démission du gouvernement, le désormais simple député de la majorité François de Rugy se défend d'avoir fauté, au micro de France 5. Il accuse Mediapart d'avoir mené une «entreprise de démolition» à visée politique.
Plus d'un mois après sa démission du gouvernement à la suite du scandale, l'ancien ministre de la Transition écologique récupère le 17 août son siège à l'hémicycle en tant que député de la majorité.
L'hebdomadaire conservateur Valeurs actuelles publie un numéro à charge contre le site d'investigation Mediapart. Parmi les personnes interrogées, on retrouve des contributions étonnantes et variées, de Bernard Tapie à Alexandre Benalla.
François de Rugy s'est fermement défendu ce 29 juillet sur le plateau de BFM TV. Dénonçant une «cabale» et «un lynchage médiatique inadmissible», l'ancien ministre s'est posé la question d'une régulation des médias sur Internet.
En sortie dans les rues de Bormes-les-Mimosas (Var), où il séjourne cet été, le président de la République s'est montré quelque peu mordant à l'égard de la presse, l'invitant à «s'interroger» sur elle-même et à prendre «un peu de repos et de recul».
Réagissant à l'affaire Rugy sur RTL, la secrétaire d'Etat chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes a assuré comprendre que l'ancien ministre «se sente harcelé», mais a personnellement fait montre d'un mode de vie loin du faste.
L'ancien ministre François de Rugy, contraint à la démission après des révélations sur de fastueux dîners et travaux financés par de l'argent public, s'estime blanchi par les enquêtes de l'Assemblée et du gouvernement.
Rugy blanchi ? Alors que l'enquête commandée par Matignon rend ses conclusions, l'ancien ministre de l'Ecologie entend laver son honneur et un membre de son entourage menace : «Maintenant, il veut un procès pour faire condamner les journalistes.»
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