BRAS DE FER

En amont de l'Assemblée générale de l'ONU, le chef de la diplomatie russe a évoqué les grandes lignes de la politique internationale de Moscou. Il prône le multilatéralisme et dénonce le «révisionnisme» de l'Occident en matière de sécurité.
Les conclusions des sommets arabes qui se sont tenus fin mai accablent l'Iran, notamment sur la question syrienne. Le Qatar, qui a participé à ce sommet, a rejeté ses conclusions. La Russie, la Syrie et l'Iran ont aussi exprimé leur désaccord.
Les présidents français et russe ont eu un entretien téléphonique durant lequel ils ont parlé de la situation en Syrie, évoquant les rôles de l'Iran et de la Turquie. Ils ont en outre abordé la question ukrainienne.
Depuis la capitale libanaise, les 22 membres de la Ligue arabe ont appelé les pays donateurs à soutenir les Etats accueillant des réfugiés victimes des guerres en Syrie et au Yémen. Ils ont aussi évoqué la création d’une zone de libre-échange.
En décidant de retirer ses forces de Syrie, l'administration Trump a semé le trouble parmi les alliés des Etats-Unis. Ce 1er janvier 2019, le secrétaire d'Etat américain Mike Pompeo a tenu à réaffirmer le soutien de Washington à Israël.
Des centaines de Syriens sont descendus dans les rues d'Alep pour fêter Noël, deux ans après la libération de leur ville.
Un juge d'instruction français a lancé des mandats d'arrêt internationaux contre trois hauts responsables syriens, dont un proche conseiller de Bachar el-Assad, soupçonnés d'être impliqués dans la mort de deux ressortissants franco-syriens.
Alors que le délai pour la mise en œuvre de l'accord russo-turc pour évacuer la zone démilitarisée d'Idleb a pris fin le 14 octobre, le principal groupe djihadiste, Tahrir al-Cham, refuse de déposer les armes.
Pillage, enlèvements, torture : Ibrahim A., un Syrien qui dirigeait un groupe affilié à l'Armée syrienne libre dans la région d'Alep a été condamné à perpétuité par un tribunal allemand. Il avait été arrêté deux ans auparavant en Westphalie.
Soutenu par la Russie, Damas a expliqué son intention de libérer la ville d'Idleb, encore aux mains de groupes rebelles. Mais, si une intervention des forces gouvernementales se dessine, les djihadistes empêcheraient des Syriens de se rendre.
Washington a décidé de mettre en œuvre un énième train de sanctions contre la Russie avec l'assentiment de Donald Trump. Mais les motivations de ces mesures semblent de plus en plus déconnectées de la réalité.
Invité de RT France le 14 août, l'analyste politique Bruno Guigue a livré son analyse de la situation actuelle en Syrie évoquant les perspectives d'une fin de conflit, le retour des réfugiés et la reconstruction du pays après sept ans de guerre.
Situé à la frontière israélo-syrienne, l'ouest du plateau du Golan a été annexé unilatéralement en 1981 par Israël. Non reconnue par la communauté internationale, cette annexion est au centre des rivalités stratégiques entre puissances régionales.
Alors que Reuters a rendu public un échange confidentiel entre Moscou et Washington, la Russie a accusé les Etats-Unis d'avoir permis la fuite de ce document envoyé par le chef d'état-major russe à son homologue américain.
Annonçant qu'une dizaine de points de passage étaient déjà ouverts en Syrie, le chef du centre de réconciliation de la Russie en Syrie a fait savoir que dans les mois à venir, environ 890 000 citoyens syriens pourraient retourner dans leur pays.
Paris a annoncé le 23 juillet qu'elle accueillerait un certain nombre de Casques blancs, une organisation controversée se présentant comme humanitaire, dont plusieurs centaines de membres ont été récemment exfiltrés de Syrie en Jordanie.
Selon un général syrien à la retraire interrogé par Sputnik, le plateau du Golan, occupé illégalement depuis 1967 par Israël, pourrait être rendu aux autorités syriennes grâce à un rapport de force entre Syriens et Israéliens en faveur des premiers.
Les troupes gouvernementales sont entrées et ont hissé le drapeau syrien dans le secteur rebelle de Deraa al-Balad, la ville qui a vu naître la révolte contre le président Bachar el-Assad en 2011.
Le groupe cimentier Lafarge pourrait se voir poursuivi en justice pour complicité de crimes contre l'humanité pour ses liens supposés avec Daesh. Les deux ONG, ECCHR et Sherpa, ont transmis une note aux magistrats.
Une semaine après les frappes françaises sur le territoire syrien, des dizaines de personnes se sont rassemblées à Paris pour dénoncer «les prétextes mensongers» de cette intervention et afficher leur soutien au gouvernement de Bachar el-Assad.