SIDERANT

Karine Bechet-Golovko est à la fois enseignante et juriste, spécialiste de la Russie. Elle est l'auteur du livre Russie. La tentation néolibérale sorti en 2018 aux éditions l'Harmattan ainsi que de nombreux articles sur la situation politico-juridique en Russie aujourd'hui.
Ce n’est pas la guerre des Ukrainiens, c’est une guerre internationale, la Première Guerre globale, qui se joue contre la Russie, mais aussi contre l’État, compris comme organisation nationale de gouvernance d’un peuple, estime Karine Bechet-Golovko.
Les Russes, pour entrer en Europe, devront-ils bientôt être des adeptes du nudisme ? La chronique sur le sujet de l'universitaire Karine Bechet-Golovko.
Washington va livrer des munitions à l’uranium appauvri à l'Ukraine. L'ambassadeur russe à Washington y voit un «signe d’inhumanité», Karine Bechet-Golovko aussi. Analyse.
Selon Karine Bechet-Golovko, l'hypocrisie de l'Occident atteint des sommets avec les livraisons d'armes. «Il pense la victoire... sans regarder la bataille», écrit-elle. Analyse.
Le sommet de Vilnius est un échec pour l'Ukraine, mais il illustre aussi toute la complexité de cette «Première Guerre globale», où se joue la survie des Etats contre des organes globaux de gouvernance, estime Karine Bechet-Golovko. Analyse.
L’Union européenne travaille à l’adoption d’une directive qui obligera les États membres à pénaliser, notamment d’une peine de prison de plus de cinq ans, les violations et l’aide à la violation des sanctions adoptées contre la Russie. Analyse.
Le sport est et doit demeurer apolitique, ce que semble avoir oublié le patron du Comité international olympique, estime Karine Bechet-Golovko, docteur en droit public, professeur à l'Université d'Etat de Moscou. Analyse.
Sanctions, munitions, armes et engins de guerre : l'Occident soutient depuis un an l'Ukraine, chaque Etat repoussant toujours davantage les limites qu'il s'était fixées. Pour Karine Bechet Golovko, pas de doute : ils sont parties au conflit.
L'Occident ne cesse de fournir davantage d'armes à Kiev. Une politique de cobelligérance, soutient Karine Bechet-Golovko, qui pourrait mener les dirigeants devant les tribunaux internationaux, pour complicité de crimes de guerre.
Karine Bechet-Golovko revient sur les possibles conséquences de l'annonce par la Commission européenne de son intention d'utiliser les avoir russes «confisqués». Une pratique qui s'apparente en réalité à... du vol, note l'analyste.
Pour Karine Bechet-Golovko, professeur invité à la faculté de droit de l'Université d'Etat de Moscou, la déclaration de mobilisation partielle de Vladimir Poutine répond à une radicalisation de la position atlantiste sur le conflit en Ukraine.
Alors que l'AIEA s'apprête à publier son rapport sur la centrale nucléaire de Zaporojié, l'analyste Karine Bechet-Golovko accuse les médias occidentaux de ne sélectionner que les informations favorables au narratif ukrainien sur le conflit.
Pour Karine Bechet-Golovko, docteur en droit public, le camp «globaliste» ne peut pas se permettre de soutenir l'Ukraine au nom de la démocratie et de l'Etat de droit, compte tenu du traitement réservé par Kiev à l'opposition.
Par la vente d'armes et les discours, nous faisons la guerre, au moins de manière indirecte, note Karine Bechet-Golovko. Selon elle, l'OTAN, menée par Washington, profite du conflit ukrainien pour garder une Europe atlantiste, donc soumise.
Le 17 avril 2022, un décret fixe les modalités de la mise à mort du corps diplomattique français. Cette extinction progressive fait perdre la souvraineté de notre pays ce qui déclenche des contestations nationales.
Dans une Europe où la guerre refait surface, la France devrait avoir un rôle de diplomate, pour calmer le conflit Ukraine et Russie, si elle ne menait pas une politique atlantiste, analyse Karine Bechet-Golovko.
Karine Bechet-Golovko, professeur invité à la faculté de droit de l'Université d'Etat de Moscou, revient sur l'étonnante partie de billard à trois bandes qui se joue actuellement à la frontière de la Pologne et de la Biélorussie.
Karine Béchet-Golovko revient pour RT France sur la figure politique d'Alexeï Navalny, vu par l'Occident comme le principal adversaire du président russe, alors que son vrai poids politique serait loin de l'image véhiculée par les médias.