SIDERANT

Le prix du nickel, utilisé notamment dans la production de véhicules électriques, a brièvement passé la barre des 100 000 dollars la tonne, en raison de la crainte que la Russie, l'un des grands producteurs mondiaux, ne puisse plus en exporter.
Alors que les grandes économies sont à la peine, sur fond de persistance du Covid, les grands indices boursiers, eux, ont retrouvé, voire largement dépassé leurs niveaux d’avant la crise. Les explications de Jacques Sapir.
Cette semaine dans C'est Cash, Estelle Farge et Olivier Delamarche se questionnent sur la manipulation des marchés boursiers.
Le titre GameStop s'est envolé de plus de 100% en fin de séance le 24 février alors que son responsable financier, Jim Bell, a annoncé quitter ses fonctions le 26 mars. Le titre avait atteint 347 dollars le 27 janvier.
+ 20% ! C’est le gain que prévoit la banque américaine pour l’indice phare de la bourse en cas de réélection du président sortant. Mais pour le moment, les marchés d’actions ont parié sur sa défaite.
Stimulés par une vigoureuse consommation intérieure, les indices boursiers de Shanghai et Shenzhen ont franchi un record. En 2020, la Chine sera la seule économie majeure en croissance.
Faut-il voir un lien de cause à effet entre les menaces brandies par Donald Trump à l'encontre de la Chine le 30 avril et la chute des indices boursiers à Wall Street le 1er mai ?
Promettant «qu'aucune entreprise, aucune municipalité, aucun emprunteur insolvable ne fera faillite dans un avenir prévisible», la Fed entend éradiquer toute perspective de marasme économique grâce à un plan de soutien de 2 300 milliards de dollars.
Les Etats du nord de l’Europe, Allemagne en tête, se sont toujours opposés à l’idée d’obligations émises au nom de la zone euro. Mais le représentant du Portugal au conseil de la BCE estime que le moment est venu de briser ce tabou.
Pour cette émission spéciale, Olivier Delamarche et Thomas Bonnet reviennent sur l’actualité du moment : la dégringolade des marchés financiers.
Effondrement des cours du pétrole et des actions, baisse du prix des billets d’avions : les effets économiques de l'épidémie de coronavirus semblent offrir quelques opportunités. Mais ces dernières pèsent peu face au risque de récession.