BRAS DE FER

Jean Messiha, membre du bureau national du Rassemblement national, a vu sa page Facebook supprimée du réseau social. Une sanction qu'il impute à des «black blocs virtuels qui agissent en meute» pour provoquer des bannissements automatiques.
Souhaitant que la législation sur la fin de vie soit modifiée, Alain Cocq, atteint d'une maladie incurable, a mis fin à ses traitements et renoncé à toute alimentation. Facebook empêche que son agonie soit retransmise en direct comme il l'espérait.
Une Australienne a été interpellée à son domicile, devant ses enfants, après avoir publié sur Facebook un appel à se rassembler pacifiquement et en respectant les règles de distanciation physique, afin de protester contre le confinement.
Le maire de Perpignan, Louis Aliot, n'écarte pas de porter plainte contre le conseiller départemental, Charles Chivilo, qui a comparé le port du masque obligatoire dans la ville, aux actions du nazisme.
Twitter a interdit au compte de campagne de Trump de tweeter, tant qu'il ne retirait pas une vidéo dans laquelle on entendait le président dire que les enfants étaient «presque totalement» immunisés contre le Covid. Facebook a supprimé la même vidéo.
Contraint par la Cour suprême brésilienne à bloquer 12 comptes de soutiens du président Jair Bolsonaro, Facebook a promis de faire appel.
Le géant américain du numérique a fustigé les demandes d’informations formulées à son adresse par la Commission européenne. D'après lui, les documents requis sont «sans rapport avec leur enquête» et contiennent «des informations privées».
Twitter et Facebook ont suspendu les comptes d'alliés du président brésilien Jair Bolsonaro, en application d'une décision d'un juge de la Cour suprême auriverde, dans le cadre d'une enquête sur une campagne présumée de désinformation.
La justice européenne a invalidé le 16 juillet le mécanisme permettant le transfert de données personnelles entre l'UE et les Etats-Unis, le «Privacy Shield», face au risque trop élevé que présentent les programmes de surveillance américains.
Florian Philippot, président des Patriotes, et Julie Garnier, oratrice nationale de La France insoumise, débattent de la question de la censure sur les réseaux sociaux alors que 400 grandes marques accusent Facebook d'être un vecteur de haine.
Depuis plusieurs semaines, Facebook subit la pression d'activistes et d'une partie de ses employés, qui exigent une modération plus intransigeante des contenus jugés haineux. Mark Zuckerberg a annoncé de nouvelles mesures allant dans ce sens.
Après avoir publié un tweet provocateur visant Jérôme Rodrigues, le député Joachim Son-Forget a accepté l’invitation du Gilet jaune à débattre face à plusieurs militants dans le cadre d'une diffusion en direct, qui a duré plus de deux heures.
Quelques jours après la révélation de messages racistes publiés sur Facebook dans un groupe privé réunissant des membres des forces de l'ordre, le média StreetPress a divulgué l'existence d'un second groupe similaire sur Facebook de 9 000 individus.
Saisi par le ministre de l'Intérieur, le parquet de Paris a annoncé l'ouverture d'une enquête préliminaire après la révélation de messages racistes publiés sur Facebook dans un groupe privé réunissant des membres des forces de l'ordre.
Le réseau social a supprimé une vidéo publiée par l'équipe de campagne du président américain, dans laquelle il rend hommage à George Floyd, affirmant qu'elle enfreignait les droits d'auteurs. L'équipe de Donald Trump dénonce une «censure».
Plusieurs cadres et employés du géant américain Facebook ont ouvertement contesté la décision de leur directeur Mark Zuckerberg de ne pas masquer ou signaler sur le réseau social certains propos du président américain qu'ils jugent haineux.
Le président américain a ratifié un décret visant à lever l'immunité contre toute poursuite judiciaire dont bénéficient les réseaux sociaux sur les contenus publiés par des tiers si ces derniers cessent de se comporter en simple hébergeur.
Faites ce que je dis, pas ce que je fais ? Une nouvelle photographie montre Christophe Castaner ne respectant pas les gestes barrières et la distanciation physique. Un cliché où il déguste des huîtres n'a pas manqué de faire réagir sur internet.
Au cours d'une discussion sur la régulation des réseaux sociaux, le Commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton a imploré le patron de Facebook, de marbre, à ce que son entreprise n'aille pas «dans les paradis fiscaux».
Alors que nombreux opposants à Emmanuel Macron craignent que la loi Avia ne permette une censure sur internet, d'aucuns s'inquiètent de la nomination d'une Yéménite proche des Frères musulmans au conseil de surveillance des contenus de Facebook.