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Alors que l'administration Biden s'apprêterait à demander au Congrès de valider une vente d'armes à Taïwan pour plus d'un milliard de dollars, la Chine a fermement mis garde Washington, soutenant que cela violerait le principe «d'une seule Chine».
Invité sur RT France à commenter la crise née de la visite de Nancy Pelosi à Taïwan, l'ambassadeur de Chine en France Lu Shaye a estimé que les Etats-Unis avaient «manqué à leur engagement» de ne pas nouer de relations officielles avec l'île.
En meeting pour soutenir un candidat à la primaire républicaine pour le poste de gouverneur du Wisconsin, l'ancien président américain a vivement critiqué la visite de Nancy Pelosi à Taïwan, qui a engendré des manœuvres militaires de Pékin.
Dans un contexte de fortes tensions entre Taipei, Pékin et Washington, Jean-Paul Tchang, spécialiste de la Chine, auteur de La Lettre de Chine, décrypte pour RT France la visite de Nancy Pelosi à Taïwan et la réaction chinoise.
Considérant que le déplacement de la présidente démocrate de la Chambre des représentants dans l'îlen le 4 août, a porté atteinte à la souveraineté et à l'intégrité territoriale de la Chine, Pékin a annoncé l'adoption de sanctions à son encontre.
Le leader de la France insoumise a qualifié de «provocation» le déplacement de la présidente démocrate de la Chambre des représentants à Taïwan, affirmant qu'il «n'y a qu'une seule Chine» et que toute ingérence devait être rejetée.
La Chine a annoncé le 3 août des sanctions commerciales contre Taïwan après des opérations militaires autour de l’île en réaction à la visite à Taipei de la présidente de la Chambre des représentants des Etats-Unis.
Le chef de la diplomatie russe s'est exprimé sur la visite très controversée de la présidente de la Chambre des représentants américaine Nancy Pelosi à Taïwan qui a provoqué la fureur de Pékin.
La Corée du Nord, alliée de la Chine, a vertement critiqué l'attitude américaine et la présence de la présidente de la Chambre basse des Etats-Unis à Taïwan. Pour Pyongyang, celle-ci menace la paix et la sécurité dans la région.
Pékin a averti Washington quant aux conséquences de l'éventuelle venue de la présidente de la Chambre des représentants sur l'île, tandis que Moscou a évoqué une «provocation absolue» et réaffirmé son soutien à la Chine.
Les revers se multiplient pour Joe Biden qui peine à faire voter son grand plan d'investissements dans les infrastructures, en raison des oppositions au sein même du parti démocrate. L'aile gauche du parti souhaite imposer un volet social au plan.
L'ex-président a estimé que l'attentat ayant tué 13 militaires américains était une tragédie qui «n'aurait jamais dû avoir lieu», et a appelé son successeur à la démission. Certains démocrates critiquent le maintien du retrait des troupes au 31 août.
Dans un podcast, la candidate défaite à l'élection de 2016 Hillary Clinton fait part de ses doutes quant à l'influence de... Poutine dans les incidents du Capitole. Nancy Pelosi se prononce pour sa part en faveur d'une commission sur le sujet.
Pour que la Chambre des représentants devienne «la plus inclusive de l'histoire», sa présidente a présenté de nouvelles règles qui visent à honorer «toutes les identités de genre». L'emploi des termes «père» et «mère» serait désormais proscrit.
La statue du général sudiste Robert Lee, commandant en chef de l'armée des Etats confédérés, partisans de l'esclavage, a été déboulonnée au Congrès américain à Washington. Une décision saluée par Nancy Pelosi, sa présidente démocrate.
Alors que le Congrès a décidé de supprimer les statues confédérées des institutions, jugées «racistes», l'élu républicain Louie Gohmert a proposé une résolution visant à interdire le parti démocrate, puisqu'il était esclavagiste à son origine.
Les parlementaires américains ont validé un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars pour soutenir l'activité aux Etats-Unis et la recherche médicale en pleine crise du Covid-19.
Alors que le président des Etats-Unis venait d'achever son discours annuel sur l'état de l'Union, la chef démocrate de la Chambre des représentants, Nancy Pelosi, s'est saisie d'une copie de la déclamation et l'a déchiré de façon ostentatoire.
Le procès en destitution de Trump peut-il écorner l'image du locataire de la Maison Blanche ? Ou au contraire remobiliser son électorat ? L'historien François Durpaire et Paul Reen, président de «Republicans in France», en discutent sur RT France.