SIDERANT

Un haut responsable militaire iranien a affirmé que son pays cherchait toujours à venger l'élimination par Washington du général Qassem Soleimani en 2020, espérant «pouvoir tuer» l'ancien président américain Donald Trump.
Les dirigeants iraniens ont rendu hommage à Qassem Soleimani, trois ans après son assassinat par un drone américain. De Gaza à l'Irak en passant par le Liban, des responsables ont également fait honneur au défunt général de la force al-Qods.
Le nouvel opus de Call of Duty commence par l'assassinat du général iranien «Ghorbrani», personnage fictif dont la ressemblance est frappante avec Qassem Soleimani. La saga est connue pour scénariser ennemis russes, chinois, nord-coréens ou arabes.
Publiée le 12 janvier, la vidéo montre l'ancien président américain Donald Trump sur le terrain de golf de Mar-a-Lago, pris pour cible dans une attaque de drone pour venger l'assassinat du général Qassem Soleimani en Irak, en janvier 2020.
Il y a deux ans, le général iranien Qassem Soleimani était assassiné en Irak par un drone sur ordre du président américain de l’époque Donald Trump. Ses partisans ont commémoré sa mort le 2 janvier en détruisant des drapeaux américains et israéliens.
A l'approche de l'anniversaire de l'assassinat de Qassem Soleimani, des manifestants ont mis le feu à une réplique de l'ambassade américaine ainsi qu'à des drapeaux des Etats-Unis et d'Israël.
Un compte Twitter lié à l'ayatollah Ali Khamenei a été suspendu après une publication réclamant la vengeance du général Soleimani et menaçant Donald Trump, commanditaire de son assassinat.
Dans la Grande Interview, Afshin Rattansi reçoit Zeinab Soleimani, fille du général Qassem Soleimani.
Un an après la frappe de drone commanditée par les Etats-Unis ayant tué le général iranien Qassem Soleimani et son bras droit irakien Abou Mehdi al-Mouhandis, des milliers d’Irakiens se sont réunis pour les honorer et dénoncer «l'occupant américain».
Ce 3 janvier, des centaines de personnes se sont rassemblées près de l'aéroport de Bagdad pour honorer la mémoire du général iranien Qassem Soleimani, tué non loin de cet endroit il y a un an dans une attaque américaine.
Un an après la mort de Qassem Soleimani, le chef de l'autorité judiciaire d'Iran a assuré que les auteurs de son assassinat ne seraient «nulle part en sécurité», y compris le président américain Donald Trump qui l'a commandité.
Un navire américain a pénétré dans le golfe Persique alors qu'un sous-marin israélien aurait fait une incursion en mer Rouge. Deux manœuvres qui pourraient inquiéter l'Iran à l'approche de l'anniversaire de la mort du général Qassem Soleimani.
Dans une interview sur RT, Zeinab, la fille du général Qassem Soleimani assassiné le 3 janvier à Bagdad, a commenté l'œuvre de son père et émis un jugement sans appel sur Joe Biden dont elle n'attend aucun changement de ton vis-à-vis de l'Iran.
Reconnu coupable d'avoir vendu des informations sur le programme de missiles iranien à la CIA, Reza Asgari a été exécuté. La mise à mort d'un autre Iranien accusé d'avoir aidé Washington à traquer le général Soleimani sera exécutée prochainement.
Agnès Callamard, rapporteur spécial de l'ONU, a affirmé qu'«aucune preuve n'a été fournie que le général Soleimani planifiait une attaque imminente contre des intérêts américains», faisant de son meurtre une violation des lois internationales.
Le procureur de Téhéran Ali Alqasimehr a annoncé que son pays avait émis des mandats d'arrêt à l'encontre de 36 personnes, dont le président des Etats-Unis Donald Trump, pour l'assassinat du général Qassem Soleimani.
Téhéran a condamné à mort un Iranien ayant fourni des informations aux Etats-Unis et à Israël sur les déplacements de Qassem Soleimani. Il avait été tué par une frappe de Washington début janvier à Bagdad, mettant le feu aux poudres dans la région.
Près de trois semaines après la mort du général iranien Soleimani dans une frappe américaine à Bagdad, un député iranien a proposé, devant le Parlement, d’offrir une récompense de trois millions de dollars à «quiconque tuera» le président américain.
Mahnaz Shirali, sociologue, répond dans La Grosse Question.
Contrairement aux affirmations de Donald Trump, onze soldats américains ont été blessés dans l'attaque de la base aérienne d'Aïn al-Assad en Irak, le 8 janvier dernier au cours d'une opération menée par l'Iran. Aucun mort n'est à déplorer.