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Le milliardaire de 85 ans faisait campagne en coulisses depuis des semaines pour remplacer le président sortant Sergio Mattarella. Il a finalement demandé à ses soutiens de retirer son nom, au motif que «l'Italie a besoin d'unité».
L'ancien Premier ministre italien Giuseppe Conte a officiellement pris les rênes du Mouvement 5 Etoiles (M5S), le plus grand parti au Parlement à Rome, aujourd'hui profondément divisé et à la traîne dans les sondages d'opinion.
Silvio Berlusconi a fait la proposition le 15 juin de créer un parti de centre-droit unique en Italie, qui comprendrait son parti Forza Italia et celui de ses alliés. Mais ces derniers lui ont opposé une fin de non-recevoir.
L'ex-président de la BCE a pris les rênes de l'Italie après s'être assuré une large majorité parlementaire. Il a présenté son gouvernement qui doit sortir le pays d'une crise politique doublée de la pandémie. Une union nationale solide ?
Anti-euro, anti-gouvernement, et ne croyant pas à l'épidémie du Covid-19, les Gilets oranges ont manifesté dans plusieurs villes d'Italie. Et ce, sans masque et sans respecter les règles de distanciation physique.
La Ligue de Matteo Salvini a perdu, d'environ 7%, les élections régionales en Emilie-Romagne : c'était le premier test pour l'ancien ministre de l'Intérieur depuis sa démission en août 2019. En Calabre, la coalition de centre-droite l'a emporté.
Une piñata représentant Matteo Salvini – l'ancien ministre italien de l'Intérieur – a été frappée le 16 septembre par des romains participant à un festival de musique dans la capitale. La maire de la ville a condamné une action «inacceptable».
Afin de passer outre la demande de Matteo Salvini d'organiser des élections anticipées, le président du Conseil des ministres a formé un nouveau gouvernement à rebours du résultat des dernières législatives, mais à la satisfaction de Bruxelles.
Une large majorité (80%) d'adhérents du Mouvement 5 Etoiles (M5S) ont voté ce 3 septembre en faveur d'une alliance avec le Parti démocrate (PD). Ce vote décisif éloigne ainsi la tenue d'élections anticipées réclamées par Matteo Salvini.
Le 31 août, le Parti démocrate et le Mouvement 5 Etoiles ont repris les négociations en vue de former un nouveau gouvernement sous la houlette de l'actuel Premier ministre Giuseppe Conte. En cas d'alliance, les Italiens ne retourneront pas aux urnes.
L'ancien ministre de l'Intérieur a vertement critiqué l'annonce de la nouvelle coalition gouvernementale entre le M5S et le Parti démocrate. Il a raillé un gouvernement «uniquement fondé sur les fauteuils ministériels» et appelé à la mobilisation.
Le Premier ministre italien sortant Giuseppe Conte a été officiellement chargé ce 29 août de former un nouveau gouvernement entre les sociaux-démocrates et le Mouvement 5 Etoiles, a annoncé le porte-parole de la présidence transalpine.
Au terme du deuxième round de consultations avec le président, pour trouver une résolution à la crise qui secoue l'Italie, Luigi di Maio a annoncé que le Mouvement 5 étoiles et le Parti démocrate s'étaient mis d'accord pour un gouvernement Conte bis.
En chute dans les sondages, le Mouvement 5 Etoiles veut tout faire pour éviter un retour aux urnes. Quitte à former une coalition avec ses ennemis d'hier, le Parti démocrate. Le président leur a laissé jusqu'au 27 août pour trouver un accord.
Pour le ministre allemand des Finances, la crise gouvernementale italienne ne menace pas la zone euro. En revanche, alors qu’on redoute une récession en Allemagne, il a évoqué la fin du «zéro noir», le principe budgétaire imposé par la CDU en 2015.
La crise politique devrait bénéficier à Matteo Salvini dans tous les cas de figure, mais ce dernier aura-t-il la volonté d’affronter vraiment Bruxelles le moment venu ?, s’interroge Pierre Lévy, rédacteur en chef du mensuel Ruptures.
Après la démission du président du Conseil italien Giuseppe Conte le 20 août, des consultations vont commencer ce 21 août pour déterminer quel sera le nouveau gouvernement. Plusieurs scénarios se dessinent déjà.
Le président du Conseil italien, Giuseppe Conte, a annoncé sa démission. Convoqué en urgence le 13 août, le Sénat italien avait pourtant rejeté la motion de censure déposée par la Ligue contre le gouvernement Conte.
Le philosophe italien Diego Fusaro analyse pour RT France la crise politique qui secoue actuellement l'Italie après l'appel à des élections anticipées de Matteo Salvini, et dresse le bilan du gouvernement de coalition entre la Ligue et le M5S.
Après l'appel à la tenue d'élections anticipées lancé par le ministre de l'Intérieur Matteo Salvini, l'Italie est de nouveau plongée dans une crise politique, mettant fin à l'alliance nouée il y a 14 mois entre la Ligue et le Mouvement 5 étoiles.