SIDERANT

Trente-cinq députés, du centre-gauche au Parti communiste, réclament la régularisation des travailleurs sans papiers dans les métiers en tension. Parmi les signataires se trouve le président Renaissance de la commission des Lois, Sacha Houlié.
Après Marlène Schiappa , c’était au tour de Mohammed Sifaoui d’être auditionné ce 15 juin au Sénat. Le plus gros bénéficiaire du fonds Marianne s’est emporté face aux membres de la commission et chargé la ministre.
La permanence du parlementaire Territoires de progrès (macroniste) Stéphane Travert a été vandalisée le 23 mars par des manifestants. Ceux-ci reprochent à l'ancien ministre d'avoir soutenu la réforme controversée des retraites.
La permanence de la députée Isabelle Rauch (LREM), à Thionville, a été vandalisé dans l'après-midi du 29 janvier. L'élue est régulièrement victime de menaces sur les réseaux sociaux. Elle a annoncé qu'elle déposerait plainte.
«Manger du foie gras !» : tel est le slogan tagué dans la nuit du 26 au 27 décembre sur la vitrine du local du député Jean-Pierre Cubertafon, à Lanouaille. L'élu MoDem avait co-signé une tribune de soutien aux producteurs artisanaux mi-décembre.
La vitrine de la permanence de Muriel Roques-Etienne, députée LREM du Tarn à Albi, a été recouverte de tags le 23 octobre. Dans un tweet, l'élue dénonce des «dégradations honteuses». Elle a également annoncé qu’elle comptait déposer plainte.
Les locaux de la permanence de Sacha Houlié ont été en proie à un incendie, apparemment déclenché de façon volontaire. Une enquête a été ouverte et le député de la majorité a reçu le soutien d'élus de tous bords.
Au cours d'une séance électrique, l'Assemblée nationale a entamé le 21 juillet l'examen du contesté projet de loi prévoyant d'étendre le pass sanitaire et d'imposer la vaccination aux soignants. L'opposition a donné de la voix contre le projet.
Marlène Schiappa a fait l'objet de tweets taquins, après avoir chanté et dansé lors d'un rassemblement de soutien au candidat LREM Laurent Saint-Martin. «Ce n'est pas parce qu'on est ministre qu'on doit être sinistre», a rétorqué l'intéressée.
Les députés Denis Masséglia de La République en marche et Ugo Bernalicis de La France insoumise s'affronteront le 14 juin en ligne et en direct sur ce jeu vidéo de type arène de bataille, une première pour des parlementaires.
Le 18 mars sur France 2, la députée LREM Aurore Bergé a décrit une situation sanitaire «douloureuse pour ceux qui ont perdu la vie, pour leur famille, pour les soignants». Il n'en fallait pas moins pour déclencher une avalanche de tweets facétieux.
Anne-Christine Lang, députée La République en marche, a dénoncé sur Twitter la dégradation de sa permanence à Paris. Si les motivations de cet acte ne sont pas connues, les incidents de ce genre, visant les membres de la majorité, se multiplient.
Sur LCI, Daniel-Cohn Bendit a accusé des militants, dont la candidate LFI à la mairie de Clermont-Ferrand, d'avoir participé à des violences lors des vœux du candidat LREM. Cette dernière n'ayant pas été présente, l'ex-eurodéputé dit «s'être trompé».
Guillaume Rouger, le candidat LREM aux municipales à Evreux, a découvert devant sa permanence des inscriptions comparant son parti au régime nazi et des croix gammées. Il a porté plainte et a reçu le soutien de politiques de différents bords.
Syndicalistes et Gilets jaunes ont protesté devant le siège de LREM à Paris. Alors qu'ils ont été dispersés par les forces de l'ordre, le député Stanislas Guérini a dénoncé une «tentative d'intrusion». Jean-Luc Mélenchon lui a répondu.
Ce 12 décembre, des individus se sont introduits dans les permanences de plusieurs députés LREM, d'autres sont allés devant le domicile familial de ces derniers. Des «actes inqualifiables» pour la classe politique.
Violette Spillebout, qui brigue la mairie de Lille en 2020 pour LREM, a dû se réfugier dans sa permanence à cause d'un homme qui la suivait. L'individu, qui l'avait menacée, a été placé en garde à vue et va subir une expertise psychiatrique.
Présents à Lille où ils tenaient un stand lors de la traditionnelle Braderie de Lille, des militants de la République en Marche ont été la cible de projectiles et d'invectives. Selon des responsables du mouvement, un membre du parti a été blessé.
Après la récente vague de dégradations de permanences LREM, des membres du RN ont dénoncé ce qu'ils estiment être de l'«indifférence» quand leur parti est visé par de tels actes de vandalisme. Dernière dégradation en date : Saint-Brieuc, en Bretagne.
Jean-Baptiste Moreau a indiqué avoir porté plainte après que des avis de recherche façon Western le concernant ont été retrouvés. Un événement qui survient dans le contexte de multiple dégradations de permanences des députés de la majorité.