SIDERANT

Les Houthis ont célébré le huitième anniversaire de la prise de Sanaa. Des rebelles yéménites qui ont su s'imposer comme un puissant groupe armé face à la coalition arabe menée par l'Arabie saoudite : retour sur l'histoire d'une milice méconnue.
Au moment où la pandémie du coronavirus se propage à travers le monde, certains pays vont devoir gérer cette crise sanitaire dans des situations déjà compliquées. De fait, le CoviD-19 pourrait frapper des zones déjà ravagées par la guerre. Exemples.
Après plusieurs jours de combats, l'armée syrienne a annoncé avoir repris une vingtaine de localités dont celle de Ma'arrat al-Numan. Située entre Alep et Damas, cette ville stratégique était contrôlée par les terroristes de Hayat Tahrir al-Cham.
Dans une interview exclusive à RT France, l'ambassadeur du Yémen en France Riyad Yassin évoque l'enlisement du conflit dans son pays. Il accuse notamment les rebelles houthis de refuser tout dialogue pour la mise en place d'un processus de paix.
Dans un communiqué publié le 19 mai, l'armée russe a annoncé que les forces gouvernementales syriennes avaient décrété un cessez-le-feu dans la province d'idleb. Selon SANA, des attaques terroristes ont été recensées dans des provinces limitrophes.
Une explosion survenue à Sanaa le 7 avril a causé la mort de 14 enfants, selon un bilan de l'Unicef. Les rebelles Houthis accusent la coalition menée par Riyad d'être responsable du drame mais celle-ci nie toute implication.
Selon l'agence gouvernementale syrienne Sana, qui cite des sources sur place, 70 civils auraient été «tués ou blessés» dans des frappes effectuées le 11 février par la coalition militaire internationale menée par les Etats-Unis.
Alors qu'un accord entre le gouvernement yéménite soutenu par l'Arabie saoudite et les rebelles Houthis a été conclu le 13 décembre dernier, la coalition militaire conduite par Riyad a annoncé avoir mené un raid sur l'aéroport de Sanaa.
Le projet de résolution du Royaume-Uni appelant à une trêve au Yémen sera-t-il discuté par le Conseil de sécurité de l'ONU ? Washington, souhaitant ménager son allié saoudien, tente de retarder son étude et souhaite plutôt organiser des pourparlers.
L'armée russe a ciblé des positions de groupes rebelles qu'elle accuse d'être à l'origine d'une attaque chimique menée la veille contre la ville d'Alep, et après laquelle plus de 100 personnes ont été hospitalisées.
En 24 heures, les combats pour le contrôle de la ville portuaire stratégique de Hodeida, dans l'ouest du Yémen, ont fait au moins 149 morts. Les rebelles houthis opposent une farouche résistance à la progression des forces pro-gouvernementales.
Malgré les appels internationaux à cesser les combats au Yémen, les affrontements se poursuivent et la coalition sous commandement saoudien poursuit ses bombardements, qui ont fait 53 morts parmi les combattants houthis depuis le 3 novembre.
Une enquête menée par Human Appeal et YouGov révèle que 42% des Britanniques ignorent qu'une guerre a lieu actuellement au Yémen. RT France est allé à la rencontre de quelques Français pour les interroger sur ce conflit.
Venant illustrer l'échec des pourparlers de Genève, la ville stratégique d'Hodeida a été secouée par de violents combats entre les forces pro-gouvernementales soutenues par la coalition militaire menée par l'Arabie saoudite, et des rebelles Houthis.
Pour montrer sa reconnaissance envers «l'héroïsme et les sacrifices» de ses soldats, le roi Salmane d'Arabie saoudite a fait passer un décret qui les exonère de toute responsabilité dans le conflit au Yémen, où des milliers de civils ont été tués.
Le 7 mai, la coalition arabe dirigée par Riyad bombardait Sanaa, la capitale du Yémen, tuant six personnes. Témoignant de l'horreur du conflit, une vidéo montre plusieurs enfants coincés sous les débris d'un immeuble touché par ces frappes.
La «pire crise humanitaire de la planète» se joue dans ce pays secoué par un conflit qui ne cesse de s’aggraver. La communauté internationale saura-t-elle trouver une voie de règlement à la crise et aider les populations au bord de la famine ?
Deux versions s'opposent sur le crash d'un avion de chasse de la coalition menée par l'Arabie saoudite au Yémen : les rebelles houthis assurent l'avoir abattu, alors que Riyad affirme qu'il a été victime d'un problème technique.
Au moins 14 civils ont perdu la vie et 16 autres ont été blessés dans un bombardement attribué à l'aviation de la coalition dirigée par Riyad au Yémen, dans la ville d'al-Haima. Un responsable local évoque une «erreur».
La coalition dirigée par l'Arabie saoudite a mené deux raids aériens contre le ministère de la Défense à Sanaa, capitale du Yémen contrôlée par les rebelles, selon des témoins cités par l'AFP et un correspondant de RT Arabic.