SIDERANT

Dans le deuxième épisode de la série sur les piratages internet, des professionnels et experts expliquent comment se protéger dans un monde virtuel en pleine évolution.
Ce texte «visant à conforter l'économie du livre et à renforcer l'équité entre ses acteurs» a été adopté à l'unanimité au Sénat. Il impose des prix plancher pour les livraisons de livres, afin de protéger les librairies de vendeurs tels qu'Amazon.
Pour contrer un projet de loi, Amazon a proposé au gouvernement français de relever ses tarifs d’envoi. Actuellement Amazon les facture le plus souvent 1 centime d’euro, contournant l’esprit de la loi sur le prix unique du livre.
Le service de répression des fraudes a ordonné le déréférencement des principaux moteurs de recherche de la plateforme de commerce en ligne Wish basée aux Etats-Unis. Il lui est reproché de vendre des produits dangereux ou non conformes.
Amazon, dopé depuis le début de la pandémie par l'explosion du commerce en ligne, a dévoilé son intention de recruter 75 000 personnes supplémentaires aux Etats-Unis et au Canada. Elle promet de surcroît un bonus aux recrutés qui seraient vaccinés.
Le groupe de commerce en ligne a été accusé d'exiger l'exclusivité des commerçants souhaitant vendre leurs produits sur sa plateforme, en évitant ainsi les sites rivaux. L'amende correspond à 4% de son chiffre d'affaires de 2019.
«Bezos veut toujours plus de pesos» : entre 1 500 et 2 000 personnes ont manifesté près de Nantes contre l'implantation d'«une plateforme de transit» d'Amazon. Ils ont fustigé l'impact néfaste de ce projet pour l'économie locale.
Toujours contraints à la fermeture, les commerces dits non essentiels ont le sentiment d'être les sacrifiés du confinement. A l'approche des fêtes de fin d'année, un assouplissement des règles sera-t-il possible ?
Dans une tribune, quatre fédérations de commerces demandent au gouvernement de limiter les ventes en ligne «aux seuls produits de première nécessité», d'interdire le Black Friday et de rouvrir les commerces «non essentiels» dès le 12 novembre.
Le géant de la distribution en ligne, grand bénéficiaire des confinements au niveau mondial est de plus en plus pointé du doigt par les responsables politiques, notamment en France. A Paris, la maire a même appelé à son boycott.
A l'approche des fêtes de fin de d'année, les petits commerçants ont été contraints de fermer boutique dans le cadre du reconfinement. Quelles seront pour eux les conséquences économiques ?
Le capitalisme français survivra-t-il à une crise dont les effets sont encore largement dissimulés par le chômage partiel et l’endettement exponentiel de l’Etat ? Selon l'essayiste Eric Verhaeghe, une profonde mutation systémique est à l’œuvre.
Interpellée par le secrétaire d’Etat chargé de l’enfance et des familles, lui-même alerté par des associations et des internautes scandalisés, la plateforme a retiré de son site des poupées d'enfants classées dans la catégorie «sex toys».
Les mesures très strictes de confinement imposées en France et à l’étranger ont fortement affecté la santé de plusieurs enseignes de distribution de prêt à porter comme Célio, Camaïeu, la Halle etc. Des milliers d’emplois sont menacés.
Touchées de plein fouet par les mesures de confinement, de nombreuses enseignes de distribution de prêt-à-porter comme Naf Naf, Camaïeu ou les chaussures André pourraient disparaître. Des dizaines de milliers d’emplois en France sont menacés.
Le géant du meuble à monter soi-même ne semble pas effrayé par la guerre commerciale qui oppose Washington et Pékin. A la veille du sommet de Biarritz il a annoncé «l'investissement annuel le plus important jamais réalisé en Chine».
Afin de sensibiliser les citoyens aux conséquences climatiques liées au numérique, un think tank français a publié un rapport qui corrèle l'impact environnemental et le visionnage de vidéos en ligne. Le secteur pornographique est concerné.
Apparemment soucieux d'éviter les images chocs lors de la manifestation contre le géant Amazon, les gendarmes ont repoussé les journalistes avant d'évacuer les manifestants, en pleine polémique sur la dispersion d'un sit-in écologiste.
Le président des Etats-Unis a annoncé que l'Inde ne bénéficierait plus d’exemptions de taxes sur une partie de ses exportations. Cette décision répondrait aux restrictions d’accès au marché indien dont souffriraient les entreprises américaines.
Prise de court par la polémique, la chaîne de magasin d'articles de sports a finalement renoncé à commercialiser un hijab conçu pour les musulmanes pratiquant la course à pied. Au terme de plusieurs revirements et d'une communication brouillée.