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Après avoir suscité de vives réactions à la suite de son propos qualifiant l’Union européenne de «grosse Suisse molle», la députée européenne Nathalie Loiseau a tenté d’en amenuiser la portée, tout en attribuant au Point une part de responsabilité.
Les propos de la députée européenne macroniste concernant la nécessité d'une implication militaire accrue de l'Union européenne aux côtés de l'Ukraine ont suscité des réactions défavorables, certaines critiquant une «insulte» envers la Suisse.
La députée européenne Nathalie Loiseau a confirmé rejoindre Horizons, le parti fondé par l'ex-Premier ministre Edouard Philippe en vue de donner du poids à l'aile droite de la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron.
«La liste est longue de ces crises que la Russie seule n’a pas réglées mais qui ne se régleront pas sans elle», a estimé la députée européenne Nathalie Loiseau, favorable à une reprise du dialogue avec Moscou, comme Emmanuel Macron et Angela Merkel.
De nombreuses personnalités, notamment issues de LREM, ont réagi au retrait d'une statue de Voltaire, y voyant un message politique. La mairie a réagi, assurant que le monument devait simplement être nettoyé. La Ville souhaite qu'il soit réinstallé.
Le 5 février, l'eurodéputée LREM Nathalie Loiseau a expliqué dans un entretien à la BCC qu’«il n’y [avait] plus de grèves en France». Le lendemain, 130 000 personnes selon la CGT ont défilé à Paris pour protester contre la réforme des retraites.
L'ex-tête de liste de la majorité présidentielle aux européennes n'a semble-t-il pas digéré le départ des Britanniques de l'UE. L'eurodéputée martèle que le Brexit est une «mauvaise décision» qui serait notamment due à la diffusion de «mensonge[s]».
La Française Nathalie Loiseau, chef de file des eurodéputés macronistes, a renoncé à briguer la présidence du groupe politique qui réunira les forces politiques centristes au sein du Parlement européen, a fait savoir son entourage.
Déroute de Jean-Luc Mélenchon, succès d'EELV... Djordje Kuzmanovic dresse le bilan des dernières élections européennes, dans lesquelles il ne voit qu'«un sondage en conditions réelles».
Les centristes de La République en marche, emmenés par Emmanuel Macron en fin de campagne, n'ont pas réussi leur pari : celui d'arriver en tête, devant le Rassemblement national. Le RN appelle à une dissolution de l'Assemblée.
Le Rassemblement national l'emporte devant Renaissance, la liste de la majorité présidentielle incluant LREM, soutenue par Emmanuel Macron. Le parti de Marine Le Pen a capitalisé sur la grogne sociale et la critique de l'UE.
Une nouvelle vague de journalistes ont été convoqués par la DGSI pour des révélations sur l'utilisation d'armes françaises au Yémen et sur l'affaire Benalla. Le camp présidentiel n'y voit aucune entrave à la liberté de la presse.
Après que la majorité présidentielle a réalisé un live de 12 heures sur Facebook, le directeur de campagne de LREM s'est félicité que 200 000 personnes aient suivi l'exercice. Un abus de langage selon la plateforme Checknews de Libération.
Lors d'un entretien sur RMC, la tête de liste de la majorité présidentielle a martelé qu'elle n'était «pas faite pour des grands shows à paillettes». Et déplore que l'on s'intéresse davantage à la forme qu'au fond durant cette campagne européenne.
Nathalie Loiseau a souhaité la fin du mouvement des Gilets jaunes au lendemain de l'Acte 27 marquant les six mois du mouvement. Elle a par ailleurs qualifié les forces de l'ordre d'«exemplaires» et vu une proximité entre des Gilets jaunes et le RN.
Le président des Républicains matraque que la liste de son parti s'oppose à l'élargissement de l'Union européenne, vu comme «une erreur». Et Laurent Wauquiez s'excuserait presque d'avoir été un ex-militant de l'élargissement lorsqu'il fut ministre ?
Lors d'un entretien accordé au Parisien, Steve Bannon a abordé la composition du paysage politique hexagonal, la victoire potentielle des populistes aux européennes mais aussi la conjoncture nécessaire à la réélection de Donald Trump en 2020.
Alors que les programmes des principaux partis mentionnent le réchauffement climatique et dégainent des solutions environnementales, RT France a demandé à 3 spécialistes, de l’environnement et des questions européennes, d’évaluer leur crédibilité.
Bien que non membre de l'UE, la Russie a joué un rôle de choix dans la campagne des européennes : celui d'épouvantail. La majorité présidentielle a en effet usé de plusieurs ficelles pour ériger ses adversaires en faux nez de Moscou.
Emmanuel Macron est opposé à la méthode du «Spitzenkandidat», où les parlementaires européens doivent choisir le président de la Commission parmi les candidats proposés par les principaux partis qui siègent à Strasbourg. Mais le Français est isolé.