BRAS DE FER

Dans son rapport annuel, le Secours catholique constate une augmentation continue du nombre d’étrangers sollicitant son aide depuis 2016. Ils représentaient 43% des 1,3 million de personnes que l'association a accueillies en 2018.
Selon Sylvie Canovas, procureur de la République de Saint-Nazaire, un homme a été grièvement blessé ce 22 mai alors qu'il tentait de ramasser une grenade au cours de heurts avec la gendarmerie mobile sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.
Selon Le Parisien, près de 3 000 migrants sont installés dans le nord de la capitale et près de 80 afflueraient chaque jour à Paris, vivant dans des tentes de plus en plus nombreuses. «Cette situation est inhumaine», selon le maire Anne Hidalgo.
Sur fond de nouveaux affrontements violents entre migrants aux abords de la ville de Calais, l'adjoint au maire de la ville a accepté de répondre aux questions de RT France. Il a notamment déploré l'absence de politique migratoire commune de l'UE.
Une opération d'évacuation de campements de plus d'un millier de migrants installés depuis plusieurs semaines porte de la Chapelle, dans le nord de Paris, a débuté le 7 juillet peu après 6h.
Différents collectifs et associations entendent protester contre l’insuffisance des capacités d'hébergement et contre «la répression policière» en remontant des campements non-autorisés dans le 18e arrondissement de Paris.
Pour la plupart revenus des Centres d'accueil et d'orientation où ils avaient été conduits après le démantèlement de la «Jungle», les migrants construisent de nouveaux camps plus discrets, dans des conditions toujours très précaires.
Dans la capitale française, où de nombreux migrants sont arrivés depuis le démantèlement de la Jungle de Calais, des centaines de personnes ont participé à une manifestation de solidarité avec les réfugiés, marquée par l'agression d'un journaliste.
A la halle Pajol, dans le 18e arrondissement de Paris, un campement de plusieurs centaines de migrants, reconstitué après une première évacuation musclée l'année dernière, a commencé à être évacué dans le calme ce mercredi 29 juin au matin.
Sur le parvis de la halle Pajol 150 à 200 jeunes hommes, originaires du Soudan ou d’Erythrée, ont installé un camps de fortune. En juin dernier, les forces de l'ordre avaient violemment démantelé une installation de réfugiés au même endroit.
Le tribunal administratif de Lille saisi en référé par deux ONG, a ordonné à l'Etat et à la ville de Calais de réaliser des aménagements sanitaires au sein de la «jungle» dans un délai de 8 jours sous peine de se voir infliger des amendes.
500 personnes ont défilé sans encombre en arborant un masque blanc tâché d'une larme de sang, symbole du collectif «Calaisiens en colère», malgré les craintes affichées par la maire de Calais.
La Maire de Calais souhaite interdire aux Calaisiens en Colère de manifester contre la crise migratoire dimanche 4 octobre. Mais le collectif ne compte pas se laisser faire et protestera avec, ou sans autorisation.
Un nouveau campement de migrants a été évacué, dans le XVIIIème arrondissement de Paris. Une opération sans violence, menée par des associations.