John Bolton, ancien conseiller à la sécurité de Donald Trump raconte dans un livre de mémoires son travail à la Maison Blanche, et notamment un passage explosif sur les relations franco-américaine.
En dépit des multiples mesures punitives décrétées par Washington à l'encontre du Venezuela dans le but revendiqué de faire chavirer l'actuel président élu, celui-ci ne ferme pas la porte à une potentielle rencontre avec Donald Trump. Explications.
Mike Pompeo n'a visiblement pas apprécié les propos que lui a prêtés John Bolton dans son livre à charge contre Donald Trump. Dans un communiqué, il qualifie ces allégations de «mensonges» et l'auteur du livre de «traître».
Finie l'accointance avec Moscou ? Donald Trump est accusé de tentative de collusion avec la Chine par son ex-conseiller John Bolton. Des allégations qui ont de quoi surprendre dans un contexte de quasi-guerre froide entre Washington et Pékin.
Le limogeage par Donald Trump du conseiller à la sécurité nationale néoconservateur John Bolton, connu pour ses prises de position interventionnistes, aura-t-il un impact sur la politique étrangère américaine ? La Russie n'y croit guère.
Le conseiller à la sécurité nationale des Etats-Unis, le néoconservateur John Bolton, a été limogé par Donald Trump. Le président a souligné les «profonds désaccords» qui l'ont poussé à réclamer la démission de celui qui était surnommé le «faucon».
A la veille d'un rassemblement «pour la démocratie» au Venezuela, Washington a gelé les biens du gouvernement chaviste aux Etats-Unis. Il s'agirait de la première mesure d'un embargo total, plaçant Caracas aux côtés de la Corée du Nord ou de l'Iran.
L'ancien président Mikhaïl Gorbatchev a fait savoir qu'il déplorait le retrait américain du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire qu'il avait signé en 1987. Ce désengagement pourrait ouvrir une nouvelle course à l'armement.
Les Etats-Unis annoncent de nouvelles sanctions visant directement le chef de la diplomatie iranienne, Javad Zarif. Washington déclare geler ses avoirs américains et empêcher tout échange financier avec lui. L'intéressé ne semble pas impressionné.
Le ministre vénézuélien de la Communication, Jorge Rodriguez, a annoncé le 26 juin que les autorités de son pays avaient déjoué «une tentative de coup d'Etat militaire» dont l'objectif était d'assassiner le président Nicolas Maduro.
Les déclarations contradictoires de Donald Trump, notamment sur une possible action militaire contre l'Iran, ont peut-être une explication : dans une interview, le président américain a exposé qu'il avait besoin de plusieurs sons de cloche.
Sur le dossier iranien, l'administration de Donald Trump continue d'alterner apaisement et menaces. Après que Donald Trump a affirmé avoir renoncé à des représailles, son conseiller à la Sécurité nationale John Bolton a durci le ton.
Nouveau coup de pression : les Etats-Unis envoient un porte-avions et une force de bombardiers au Moyen-Orient, afin d'adresser un message «clair et indubitable» à l'Iran, selon le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, John Bolton.
Le Venezuela a été plongé pendant 30 heures dans le chaos par une panne géante de courant. Le pouvoir dénonce un «sabotage» ourdi par les Etats-Unis, qui saisissent quant à eux l'occasion pour réitérer leur opposition à Nicolas Maduro.
Le conseiller de Donald Trump John Bolton a défendu la politique américaine vis-à-vis du Venezuela en invoquant la «doctrine Monroe». Le chef de la diplomatie russe a vitupéré une théorie et une pratique de la politique étrangère «insultantes».
Alors que le président du Nicaragua Daniel Ortega s’apprête à ouvrir des négociations avec l'opposition pour mettre fin à la crise, le conseiller américain à la sécurité John Bolton a affirmé que les jours du dirigeant sud-américain étaient comptés.
Achat de systèmes de défense anti-missiles russes S-400, brut vénézuélien : Delhi résiste aux pressions de Washington. Les élections parlementaires d’avril devraient même stimuler l’intransigeance indienne.
Dans le cas où Nicolas Maduro serait chassé du pouvoir, l'opposition serait prête à privatiser une partie du géant pétrolier vénézuélien PDVSA. Washington, qui appuie un changement de régime, avait exprimé le même vœu le 24 janvier.
Nicolas Maduro acceptera-t-il l'aide humanitaire venue de pays qui ont juré sa perte, dont les Etats-Unis ? L'opposant Juan Guaido souhaite que l'armée laisse passer la collecte, mais Caracas pourrait y voir un piège tendu à son encontre.
Certainement boosté par la déclaration du général de l'armée de l'Air Francisco Yanez, qui ne reconnaît plus l'autorité du chef de l'Etat vénézuélien, John Bolton a appelé les militaires à rejoindre le camp du président par intérim Juan Guaido.