SIDERANT

Le gouvernement espagnol vient d'approuver l'idée qu'un mineur de 16 ans ou, selon certaines conditions, de 12 ans pourra demander à changer la mention de son sexe au registre de l'état-civil. Un projet qui doit être encore approuvé par le Parlement.
Dix ans plus tard que reste-t-il du mouvement des Indignés dans le paysage politique espagnol ? Le parti Podemos, censé en être l'héritier, n'affiche pas les résultats attendus et s'essouffle selon José Rojas-Alonso, juriste et ancien membre du PSOE.
Des milliers d'Espagnols ont répondu le 23 mai à l'appel du parti de droite radicale Vox en manifestant – dans leur voiture – contre le gouvernement de coalition socialistes/Podemos. Ils dénoncent sa gestion de la pandémie de Covid-19.
Le socialiste Pedro Sanchez a été reconduit ce 7 janvier à la tête du gouvernement espagnol. Il va former un gouvernement avec Podemos, dont le leader du parti Pablo Iglesias sera numéro deux. Le patronat s'inquiète de cette coalition.
Les députés espagnols ont refusé d'accorder leur confiance au socialiste Pedro Sanchez, aux affaires depuis 2018. Si la gauche ne parvient pas à former une coalition, elle pourrait bien perdre le Parlement lors des prochaines élections anticipées.
Les Espagnols votent le 28 avril pour élire leurs députés et sénateurs. Dans un contexte inédit, entre difficulté à former une coalition et poussée de Vox, le pays pourrait basculer dans l'instabilité parlementaire.
Le parti de gauche espagnol Podemos s'est vu suspendre son compte WhatsApp à quelques jours des élections générales. L'entreprise a fait valoir qu'elle n'autorisait pas «les messageries de masse ou les programmes d'automatisation des messages».
Evincé de la liste des candidats pour les européennes de 2019 pour avoir émis des critiques sur la stratégie au sein de La France insoumise, François Cocq réagit pour RT France. Il maintient sa confiance envers Jean-Luc Mélenchon. Entretien.
Dans une lettre, le philosophe voit dans le mouvement des gilets jaunes la révolte «de ceux d’en bas». Il y décèle « un mouvement révolutionnaire», estimant que «cette colère soutenue par 75 % de la population ne retombera plus».
Candidat pressenti à la mairie de Barcelone pour le parti Ciudadanos, Manuel Valls risque d'avoir une mauvaise surprise. En effet, sa formation politique n'obtiendrait que 5,2 % d'intention des votes selon les sondages du 12 juillet.
Après avoir mené le PSOE à deux déroutes électorales historiques, Pedro Sanchez avait été poussé vers la sortie par les cadres du parti mais, fort du soutien de la base, il y avait repris le pouvoir. Il se retrouve aujourd'hui à la tête du pays.
Le chef du gouvernement espagnol Mariano Rajoy se retrouve isolé, menacé par une motion de censure de l'opposition socialiste et lâché par ses alliés centristes de Ciudadanos, après la condamnation de son parti, le PP, dans un procès pour corruption.
Figure de proue de la contestation anti-système en Espagne, Pablo Iglesias, qui dirige le groupe Podemos, est attaqué sur le sujet de son patrimoine : une villa récemment acquise pour une valeur de 600 000 euros. Jean-Luc Mélenchon s'insurge.
Le discours du président catalan a accouché d'une déclaration ambiguë, ni appréciée par Madrid qui dénonce une déclaration implicite d'indépendance, ni par les indépendantistes, pour qui la république catalane n'a pas été proclamée solennellement.
En insinuant que Carles Puigdemont pourrait finir comme Lluis Companys, condamné à 30 ans de prison puis torturé et fusillé pour avoir déclaré l'indépendance de la Catalogne en 1934, le porte-parole du parti au pouvoir a créé un fort émoi en Espagne.
Le candidat de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a souhaité «ne pas interrompre le processus de la démocratie» et aller à la rencontre de ses soutiens, à Paris, à l’occasion d’un nouvel «apéro insoumis», à Paris.
Le parti de gauche veut véhiculée une image innovante et dynamique à deux semaines des élections espagnoles lors desquelles Podemos devrait se faufiler devant les socialistes du PSOE, selon dans les sondages.
Le mouvement altermondialiste était d'emblée condamné à une impasse, constate Pierre Lévy, spécialiste des questions européennes .
Coordonnateur du Parti de gauche, Éric Coquerel ne mâche pas ses mots sur la gauche et l'extrême gauche. Fidèle soutien de Jean-Luc Mélenchon, il confie à RT France ses coups de gueule, sa vision et ses espoirs pour le pays.
Le chef du parti socialiste espagnol Pedro Sanchez a exclu vendredi d'apporter son soutien au Premier ministre par intérim Mariano Rajoy pour un second mandat, soutien qui aurait pu mettre fin à l'impasse politique du pays.