ANALYSE

Interrogé sur l'affaire Quatennens après deux heures de débat sur la réforme des retraites, Mélenchon s'est insurgé contre ce qu'il a qualifié de «plaisir malsain à voir souffrir un jeune député». L'Insoumis a ensuite quitté le plateau de BFM TV.
Des militants de La France insoumise et de la Nupes ont signé une tribune dans Le Monde demandant l'exclusion définitive d'Adrien Quatennens. Condamné à quatre mois de sursis pour violences conjugales, le député du Nord avait refusé de démissionner.
Dans un entretien à La Voix du Nord, le député insoumis, condamné à quatre mois avec sursis pour violences conjugales, n'entend pas démissionner malgré les appels en ce sens de certains responsables politiques.
Le député LFI du Nord, Adrien Quatennens, a été condamné dans une procédure de plaider-coupable à quatre mois de prison avec sursis pour des «violences» sur son épouse, ainsi que pour l'envoi de SMS «malveillants» dans le cadre de leur séparation.
Plusieurs figures de la coalition de gauche ont jugé impossible le retour de Quatennens dans l'hémicycle après les déclarations de son épouse mettant en cause «des violences physiques et morales» sur plusieurs années. LFI en appelle à la justice.
Le député LFI du Nord Adrien Quatennens sera le 13 décembre prochain devant le tribunal de Lille dans l'affaire de violences envers son épouse pour un plaider-coupable. La gifle qu'il a avoué avoir donné à cette dernière a été retenue à son encontre.
Après avoir avoué des violences conjugales et au terme d'un arrêt maladie, le retour à l'Assemblée nationale d'Adrien Quatennens est évoqué au sein de LFI. Une perspective qui ne réjouit pas tous les membres de la Nupes.
La rentrée parlementaire se poursuit avec son lot de tensions : alors que la députée de la majorité Aurore Bergé faisait allusion aux premières réactions de LFI concernant l'affaire Adrien Quatennens, des élus insoumis ont vertement protesté.
Le député LFI Manuel Bompard a suscité une vague de réprobations après ses propos sur CNews, évoquant la polémique autour de la gifle d'Adrien Quatennens à l'encontre de sa femme. Pour certains, le cadre de LFI a minimisé l'acte de son collègue.
Après la révélation dans le Canard enchaîné du dépôt d'une main courante par son épouse, le député du Nord a annoncé ce 18 septembre qu'il se mettait «en retrait de sa fonction de coordinateur» du mouvement. Jean-Luc Mélenchon a salué «son courage».
Le candidat putatif à la présidentielle a annoncé qu'il ne souhaitait pas rétablir l'ISF, et a jugé l'IFI «confiscatoire». Eric Zemmour a aussi estimé que posséder un logement de 100 m2 à Paris ne faisait pas d'un propriétaire un «riche».
Entre 50 et 100 personnes se sont rassemblées à proximité du ministère des Affaires étrangères à l'appel du Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples. Ils ont dénoncé l'attitude d'Israël à l'encontre des Palestiniens.
Suite à l'adoption du pass sanitaire par l'Assemblée nationale à l'issue d'un second vote, l'opposition a vivement critiqué tant ce certificat sanitaire controversé que les conditions dans lesquelles se sont déroulées ce vote.
De nombreux salariés de l'usine Bridgestone de Béthune se sont réunis devant le site dont la fermeture avait été annoncée mi-septembre par le fabricant de pneus japonais.
LFI a organisé une manifestation sur les réseaux sociaux afin de «proposer des solutions pour que plus jamais une crise comme celle du coronavirus ne se reproduise». Les Insoumis ont été rejoints dans leur démarche par des personnalités de droite.
Après les vœux d'Emmanuel Macron, à la veille de 2020, la classe politique a réagi. La République en Marche a loué le discours du président, à l'inverse de l'opposition politique qui dénonce notamment sa volonté de réformer les retraites.
Mis en cause pour avoir omis de déclarer plusieurs postes dans sa déclaration d'intérêts, Jean-Paul Delevoye a présenté sa démission à Emmanuel Macron, ce 16 décembre, ce que le chef de l'Etat a accepté. La classe politique n'a pas tardé à réagir.
L'«omission» de Jean-Paul Delevoye, Haut-commissaire aux retraites, de mentionner son poste d'administrateur de l'Institut de formation de la profession de l'assurance depuis 2016 à sa déclaration d'intérêts, a suscité l'ire de l'opposition.
Interpellée par Jean-Luc Mélenchon à propos d'un manquement dans sa déclaration de patrimoine en 2017, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet a reconnu des «oublis» rectifiés. Elle s'est néanmoins défendue d'une quelconque volonté de fraude.
De la perquisition des locaux de LFI, on avait surtout retenu une phrase de Jean-Luc Mélenchon : «La République c'est moi !» Mais Quotidien a finalement diffusé l'intégralité de la vidéo, montrant une attitude plus nuancée de l'homme politique.