BRAS DE FER

L'ancien président iranien Mahmoud Ahmadinejad a envoyé des lettres aux belligérants du conflit au Yémen ainsi qu'au Secrétaire général de l'ONU pour se proposer comme médiateur dans la résolution du conflit au Yémen.
Le déploiement de soldats de l'OTAN en Europe, prévu en mai et juin, est pour l'heure maintenu malgré l'annonce d'une diminution du nombre de participants américains. L'organisation se dit consciente de la gravité de la pandémie de coronavirus.
Mettant en avant ses orientations géopolitiques et ses «très bonnes» relations avec l'Arabie saoudite, Donald Trump a rapporté que Riyad avait mis la main au portefeuille en échange d'un renforcement de la présence militaire américaine dans ce pays.
Berlin a vivement critiqué les déclarations d'Emmanuel Macron, qui jugeait l'OTAN en état de «mort cérébrale». Pour Angela Merkel, l'alliance militaire héritée de la guerre froide représente toujours un «rempart» garantissant «la liberté et la paix».
Le président serbe Alexandar Vucic a assuré que Belgrade ne rejoindrait aucune alliance militaire, que ce soit l'OTAN ou l'OTSC. Il a insisté sur le fait que son pays conserverait ses liens étroits avec Moscou, parlant de «relations fraternelles».
Le ministre d’Etat des Affaires étrangères saoudien Adel al-Jubeir a estimé l'Iran responsable de l'attaque contre deux sites pétroliers du royaume. Il s'est dit prêt à étudier «toutes les options», y compris une intervention militaire.
Après l'attaque qui a ciblé deux sites pétroliers d'Aramco le 14 septembre, la coalition militaire menée par l'Arabie saoudite a annoncé avoir frappé les rebelles houthis le 19 septembre. Quatre sites situés au nord d'Hodeida ont été détruits.
Les rebelles houthis ont annoncé dans un communiqué qu'ils étaient à l'origine des attaques au drone menées ce 14 septembre contre deux installations pétrolière d'Aramco en Arabie saoudite. C'est la troisième action du même type ces derniers mois.
Un groupe d'experts de l'ONU sur le Yémen fait état de «multitude de crimes de guerre» commis durant le conflit. Si la coalition saoudienne est directement visée, les ventes d'armes par les nations occidentales sont pointées du doigt.
Des affrontements ont éclaté le 7 août au sein même du camp hostile aux rebelles Houthis, opposant les séparatistes du Sud du Yémen aux unités gouvernementales. Des civils se seraient retrouvés piégés dans leurs maisons, sans nourriture et sans eau.
Donald Trump et Andrzej Duda se sont rencontrés le 12 juin. L'occasion de signer des contrats commerciaux dans l'armement et l'énergie, cela afin de renforcer la position de la Pologne dans l'OTAN et son indépendance vis-à-vis de la Russie.
Le Bahri Tabuk, cargo qui aurait pu charger des armes françaises à destination de l'Arabie Saoudite, n'a embarqué que du matériel civil selon des dockers de la CGT. Les ONG maintiennent la pression pour perturber ces livraisons de matériel militaire.
Le tension continue de monter dans le golfe Persique après un raid de la coalition saoudienne mené sur Sanaa, qui a fait au moins six morts, en réponse à l'attaque de deux stations de pompage par les Houthis. L'Iran tente elle de calmer le jeu.
Lors d'un sommet européen, Emmanuel Macron a déclaré assumer la vente d'armes à l'Arabie saoudite. Plusieurs associations ont déposé un référé au tribunal administratif de Paris contre une livraison devant avoir lieu dans le port du Havre.
LREM a diffusé son programme électoral européen. Exaltation de la menace russe, volonté de créer une armée européenne, souhait de fonder une agence de l'UE pour protéger les démocraties : les propositions dans le domaine de la défense interpellent.
L'Irak a proposé de réceptionner les djihadistes étrangers détenus en Syrie, qui ne peuvent y être jugés, et organiser leur procès moyennant finances, alors que les pays occidentaux rechignent à les rapatrier.
A l'issue de sa rencontre avec Jair Bolsonaro le 19 mars, le président américain a suggéré que le Brésil adhère à l'OTAN. Pour RT France, le spécialiste des questions stratégiques Philippe Migault analyse les enjeux liés à l'offre de Donald Trump.
Pour RT France, le spécialiste des questions stratégiques Philippe Migault revient sur l'idée d'un porte-avions européen. «Un projet complètement fou», explique-t-il avec, à la manœuvre, l'Allemagne.
Ancien député LREM, Sébastien Nadot, désormais parlementaire indépendant, a interrompu une séance à l'Assemblée en brandissant une banderole fustigeant le rôle de la France dans la guerre au Yémen car elle continue à vendre des armes aux Saoudiens.
Selon l'agence gouvernementale syrienne Sana, qui cite des sources sur place, 70 civils auraient été «tués ou blessés» dans des frappes effectuées le 11 février par la coalition militaire internationale menée par les Etats-Unis.