BRAS DE FER

Le Tribunal de l'UE a rétabli l'immunité parlementaire de trois eurodéputés indépendantistes catalans dont l'ex-président de la Catalogne Carles Puigdemont, installé depuis 2017 en Belgique pour échapper à des poursuites de la justice espagnole.
Accusé d'avoir recouru au logiciel-espion pour surveiller des dizaines d'indépendantistes, le gouvernement de Pedro Sanchez a catégoriquement démenti. Le Parlement européen va créer une commission d'enquête sur l'emploi de Pegasus sur le continent.
A la suite de sa libération, Carles Puigdemont sera bien présent à la commission du commerce extérieur du Parlement Européen. Il devra toutefois revenir en Italie pour assister à à l'audience judiciaire au sujet de son extradition en Espagne.
L'ex président catalan a quitté ce 24 septembre la prison de Sassari, en Sardaigne, au lendemain de son arrestation à la demande de l'Espagne, qui réclame son extradition. Selon son avocat, il a été autorisé à quitter l'Italie.
L'ancien président catalan et eurodéputé a été arrêté par les autorités italiennes, selon son avocat. Il est sous le coup d'un mandat d'arrêt de la justice espagnole pour l'organisation d'un référendum illégal sur l'indépendance de la Catalogne.
Le gouvernement espagnol s'apprête à gracier les indépendantistes catalans incarcérés pour tentative de sécession en 2017, a annoncé le premier ministre Pedro Sanchez le 21 juin à Barcelone. Une «réconciliation» ne faisant toutefois pas l'unanimité.
Le Parlement européen a voté la levée de l'immunité de trois eurodéputés indépendantistes catalans, dont l'ex-président de la Catalogne, Carles Puigdemont, réclamés par l'Espagne pour la tentative de sécession de 2017.
L'indépendantiste catalan Carles Puigdemont, qui a fui l'Espagne après une tentative de sécession en 2017, a fait un bain de foule et discouru devant ses partisans à Perpignan, non loin de la Catalogne espagnole où le contexte politique est sensible.
Le juge belge ayant engagé la procédure de remise à l'Espagne du responsable indépendantiste catalan Carles Puigdemont estime que ce dernier bénéficie d'une immunité en tant qu'eurodéputé et a décidé de suspendre le dossier.
Au micro de RT France, Manuel Valls, candidat malheureux à la mairie de Barcelone, a exprimé son opposition ferme et sans concession aux velléités d'indépendance de la Catalogne.
Barcelone a connu un regain de tension dans la nuit du 17 au 18 octobre. Des barricades ont été dressées en ville et des manifestants se sont affrontés aux forces de l'ordre. Notre reporter Frédéric Aigouy était au plus près des heurts.
Une structure opaque et des dirigeants inconnus : la plateforme Tsunami Democràtic qui mobilise des milliers d'indépendantistes catalans via l'application Telegram, a pris de court les autorités espagnoles. Son origine soulève des interrogations.
Neuf responsables indépendantistes ont été condamnés à des peines allant de neuf à 13 ans de prison pour tentative de sécession de la Catalogne en 2017. Des manifestations visant à contester cette condamnation ont débuté dans la foulée.
D'abord privé de canditature aux élections européennes par les autorités électorales espagnoles, Carles Puigdemont a finalement été autorisé à s’y présenter à la faveur d’une décision de justice rendue par un tribunal administratif.
L'ancien président du gouvernement de Catalogne, leader des indépendantistes de la région, a été choisi, en amont des élections européennes, pour être la tête de liste d'un parti indépendantiste. Sur Twitter, il a justifié la création de celle-ci.
Un an après le référendum sur l’indépendance de la Catalogne et la proclamation symbolique d’une «République Catalane» le 27 octobre 2017, la population reste divisée, et un sentiment de déception prédomine. Analyse d'Emmanuel Razavi, grand reporter.
Des échauffourées ont éclaté en marge de manifestations à Barcelone et dans d'autres villes de Catalogne, organisées à l’occasion de l’anniversaire du référendum interdit sur l'indépendance catalane. Madrid a rappelé à l'ordre le président catalan.
Alors que les indépendantistes catalans célèbrent le premier anniversaire du référendum d'autodétermination interdit, deux journalistes espagnols évoquent pour RT France le difficile dialogue entre les autonomistes et le pouvoir central.
La justice espagnole a retiré le mandat international visant l'ex-président catalan Carles Puigdemont, actuellement en Allemagne. La semaine précédente, la justice de ce pays avait refusé de procéder à son extradition pour rébellion.
Le chef de file de l'indépendance catalane, Carles Puigdemont, qui a été interpellé en Allemagne en mars 2018 alors qu'il retournait en Belgique, pourrait être extradé en Espagne pour être jugé... mais pas pour rébellion.