SIDERANT

Une émission animée par Amira Bendjaballah Jean-Pierre et décryptée par Olivier Delamarche, avec Philippe Murer, économiste.
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné l'ex-député UDI de Seine-Saint-Denis Jean-Christophe Lagarde à dix mois de prison avec sursis pour avoir fourni à sa belle-mère un emploi fictif d'assistante parlementaire entre mai 2009 et août 2010.
Le chef économiste de l'institution chargée des politiques monétaires a proposé d'imposer davantage les plus aisés et les grandes entreprises afin d'aider ceux qui souffrent le plus de l'inflation et d'éviter de creuser les déficits publics.
La zone euro s'expose à une «récession» pour l'année 2023 en cas de «coupure totale» des livraisons de gaz russe, a prévenu lors d'une conférence de presse la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde.
Depuis un forum au Portugal, la présidente de la Banque centrale européenne a reconnu que l’inflation était un défi pour sa politique monétaire. Sa préoccupation : relever les taux sans plonger la zone euro dans la récession.
La présidente de la banque centrale européenne s'est attaquée frontalement aux cryptomonnaies qui, selon elle, «ne valent rien». Avec l'idée de voir un jour l'émergence d'un euro numérique dont la BCE aurait le contrôle.
Cette semaine dans C’est Cash Actu, Olivier Delamarche et Amira Bendjaballah Jean-Pierre reviennent sur l’actualité économique de la semaine.
La présidente de la BCE a été promue commandeur de l'ordre national du Mérite par le président. Quelques jours plus tôt, selon Les Echos, Nicolas Sarkozy aurait soufflé à Emmanuel Macron le nom de Christine Lagarde comme potentiel Premier ministre.
La monnaie unique européenne va bientôt fêter son vingtième anniversaire. Pour l’occasion, la Banque centrale va lancer une consultation visant à modifier l’aspect des billets afin que les Européens puissent s’y identifier plus facilement.
La Banque centrale européenne est passée outre les juges allemands qui lui reprochaient de financer directement les Etats. Entre avril et mai, elle a froidement racheté 100% de la nouvelle dette émise par l’Italie.
Dans une interview, Christine Lagarde a salué le projet de relance de 500 milliards d'euros proposé lundi par les dirigeants français et allemand. Elle a aussi appelé à moderniser le Pacte de stabilité et de croissance.
Les 27 pays de l'UE se sont accordés sur un plan de relance commun face à la pandémie de coronavirus. Les Pays-Bas, dernier pays à résister, auront finalement lâché sous la pression de leurs homologues.
L’idée d’une émission de dette au nom de la zone euro fait son chemin. Elle est soutenue par neuf dirigeants européens dont Emmanuel Macron et a été évoquée en visio-conférence par la présidente de la BCE Christine Lagarde.
Les Etats du nord de l’Europe, Allemagne en tête, se sont toujours opposés à l’idée d’obligations émises au nom de la zone euro. Mais le représentant du Portugal au conseil de la BCE estime que le moment est venu de briser ce tabou.
Après un faux pas la semaine passée, la Banque centrale européenne a annoncé un plan massif de rachat de dette censé rassurer les marchés financiers. Si la nouvelle a été bien accueillie par le secteur, la méthode semble montrer ses premières limites
Près d’une banque allemande sur quatre applique désormais des taux de rémunération négatifs aux comptes épargne au-delà de plusieurs dizaines de milliers d’euros. Mais une petite banque coopérative bavaroise vient de franchir un nouveau cap.
Magali Forestier reçoit Patrick Mennucci, conseiller municipal de Marseille (PS) et Aurélie Gros, conseillère régionale d'Île-de-France ainsi que François Asselineau, président de l’UPR et Patricia Gouault, professeur des écoles.
Le passage de témoin à la tête de la Banque centrale européenne va se faire dans un contexte de menace déflationniste et de croissance atone. Mais surtout, il n’y a plus de consensus pour faire repartir l’économie européenne.
Répondant aux questions du Parlement européen, Christine Lagarde a dit vouloir maintenir à la BCE la politique de soutien à l'économie de la zone euro imposée par Mario Draghi, malgré les réserves de l’Allemagne et des Pays-Bas.
Appelés à choisir le candidat européen pour présider le FMI, les gouvernements européens ont désigné la Bulgare Kristalina Georgieva. Un choix loin de faire l'unanimité et qui pourrait potentiellement être refusé par l'institution financière.