BRAS DE FER

La célèbre messagerie Whatsapp est victime d'une panne mondiale ce matin, de nombreux utilisateurs ne pouvant utiliser ses services. Le groupe Meta, qui détient cette plateforme, a annoncé en fin de matinée la résolution de l'incident.
Après de nouvelles failles de sécurité constatées par WhatsApp, Pavel Durov, cofondateur et directeur général de Telegram, accuse l'application concurrente de ne pas être sûre pour ses utilisateurs... même quand elle est à jour.
La DEA aurait demandé à Whatsapp de fournir les données concernant l'utilisation de l'application de sept personnes basées en Chine et à Macao, sans avoir de preuve qu'ils aient commis une infraction. Ce à quoi se serait pliée l'entreprise.
L'armée suisse a interdit l'utilisation de messageries cryptées étrangères pour les communications officielles. En cause, la possibilité pour les autorités américaines d'accéder aux données des entreprises soumises à sa législation.
WhatsApp a annoncé repousser de 3 mois le changement de ses conditions d'utilisation. De nombreux utilisateurs avaient exprimé leurs craintes que le service de messagerie mobile ne partage des données confidentielles avec sa maison mère, Facebook.
WhatsApp a demandé à ses deux milliards d'utilisateurs d'accepter de nouvelles conditions d'utilisation, lui permettant de partager plus de données avec sa maison-mère Facebook. Une mise à jour qui inquiète les usagers de l'application de messagerie.
Laissant supposer une manigance politique à l'encontre du chef de la Ligue, un échange privé entre deux hauts magistrats italiens a été divulgué par voie de presse. L'affaire remonte à 2018, quand Matteo Salvini était ministre de l’Intérieur.
Le groupe NSO, une société israélienne spécialisée dans les logiciels d’espionnage, fait l’objet d’une plainte déposée par WhatsApp. L'application de messagerie cryptée avait déclaré quelques mois plus tôt avoir été infectée par un logiciel espion.
Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, a invité ses partisans au calme et à la retenue. S'il a reconnu la légitimité du mouvement de contestation, il a néanmoins mis en garde contre une manipulation malveillante venant de pays étrangers.
Le 18 octobre, pour la deuxième journée consécutive, des manifestations ont eu lieu au Liban pour réclamer le départ du Premier ministre. De son côté, Saad Hariri a donné 72 heures à son gouvernement pour valider ses réformes.
Indignés par la décision du gouvernement de taxer des applications de messagerie instantanée, des milliers de Libanais sont descendus dans les rues de plusieurs villes. Ce mouvement de protestation intervient dans un contexte économique morose.
Le parti de gauche espagnol Podemos s'est vu suspendre son compte WhatsApp à quelques jours des élections générales. L'entreprise a fait valoir qu'elle n'autorisait pas «les messageries de masse ou les programmes d'automatisation des messages».
L'Etat a déployé sa messagerie privée sécurisée, Tchap, destinée à remplacer Telegram pour les échanges entre agents de l'Etat ou du gouvernement. Disponible via Apple et Google, l'application n'est accessible qu'à peu de personnes.
Le 1er juillet, la police indienne a arrêté 23 personnes pour le lynchage à mort de cinq individus. En cause, de fausses rumeurs circulant sur l'application WhatsApp au sujet d'enlèvements d'enfants.
Un million de personnes, en pensant mettre à jour Whatsapp, ont téléchargé une fausse application qui était un malware publicitaire. En cause : une faille dans le Play Store de Google.
Accusée d'avoir masqué ses intentions d'échanger les données confidentielles des utilisateurs de WhatsApp avec Facebook, la société de Mark Zuckerberg a été condamnée par Bruxelles à payer une amende d'une centaine de millions d'euros.
Une multitude d'internautes ont manifesté leur inquiétude ou leur colère, dans la soirée du 3 mai, en raison du dysfonctionnement soudain de l'application Whatsapp. Un bug survenu en plein débat entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen...
Selon les dernières fuites de WikiLeaks, l’Agence centrale de renseignement américain (CIA) est en mesure d’intercepter les messages de WhatsApp et d’autres applications, car elle surveille bel et bien la majorité des smartphones dans le monde.
Le service de messagerie cryptée a qualifié de «fausses» les accusations d’un article du Guardian assurant qu’une faille dans l’application permettait aux agences de renseignements d’intercepter ses messages, pourtant protégés par le chiffrement.
La banque allemande met en place de nouvelles règles pour la sécurité numérique. Malgré les inconvénients, elle a décidé d’interdire à ses employés d'utiliser WhatsApp et d’autres applications de messageries à ses employés.