REVELATIONS

L'Albanie a rompu ses relations avec l'Iran accusé d'avoir perpétré une cyberattaque. Alors que Téhéran dément ces allégations, Washington vient en aide à son allié balkanique au sein de l'OTAN et promet des représailles.
Un rapport rendu public par le Centre national chinois d'intervention d'urgence contre les virus informatiques affirme que la NSA a «mené des dizaines de milliers de cyberattaques malveillantes» contre la Chine au cours de ces dernières années.
Dans Africonnect, Samantha Ramsamy reçoit Baka Diop, architecte cybersécurité et gérante de BluePinkSecurity, et Hamza Waraki, co-fondateur de Techso Group.
Avec 38% de sa population connectée, le continent africain doit faire face à un nouveau danger : la cybercriminalité
«La Russie n'a rien à voir» avec les cyberattaques qui ont mis à mal des sites gouvernementaux ukrainiens, selon le porte-parole du Kremlin, soulignant que Kiev, qui dit avoir des «preuves» de l'implication de la Russie, n'en avait fourni aucune.
Avec le développement de la technologie et des services en ligne, les internautes sont de plus en plus vulnérables à de potentielles attaques. Mais si menaces il y a, il existe également des moyens de les contrer.
Depuis trois semaines, les mairies de plusieurs villes de Seine-Saint-Denis se rabattent sur les moyens du bord pour assurer le service public après une importante attaque informatique. Une menace croissante pour les collectivités locales.
Le ministère belge de la Défense a été la cible d'une cyberattaque exploitant une vulnérabilité récemment découverte dans le logiciel de connexion Log4j. Selon un porte-parole, le réseau est toujours en train d'être sécurisé.
Meta a expliqué avoir «mis hors d'état de nuire» des entreprises qui pratiquaient «la surveillance pour le compte d'autrui» sur les réseaux sociaux que possède le groupe. La majorité des structures en cause ont été géolocalisées en Israël.
Le concepteur israélien du logiciel d'espionnage controversé Pegasus a annoncé qu'il allait enquêter après la révélation d'informations selon lesquelles un de ses logiciels avait servi à espionner des diplomates américains en Afrique.
Citant des sources proches du dossier, la MIT Technology Review assure que Paris était sur le point d'acquérir le logiciel de NSO avant les révélations sur les activités d'espionnage ayant visé des personnalités françaises. Le Quai d'Orsay dément.
La République islamique d'Iran a vu la main de ses deux ennemis historiques dans une vaste attaque informatique qui perturbe les distributions de carburant dans le pays.
La ministre des Armées Florence Parly a présenté le 20 octobre une nouvelle doctrine pour mener le combat dans la guerre informationnelle, s'autorisant à user de la dissimulation ou de la ruse pour contrer les attaques de ses adversaires.
La diplomatie russe a exhorté Londres à «ne pas perdre la tête et à ne pas provoquer une nouvelle course aux armements» numériques, soulignant que Moscou propose de coopérer dans ce domaine plutôt que de recourir à une rhétorique agressive.
Ilia Satchkov, fondateur de Group-IB, spécialisée dans la détection et la prévention des cyberattaques, a été placé en détention provisoire dans une affaire de haute trahison. Aucun détail n'a été communiqué dans l'immédiat sur les faits reprochés.
Disant prendre acte des «accusations non-fondées» d'élections «non-libres», l'ambassade russe aux Etats-Unis a réclamé des explications quant à un nombre sans précédent de cyberattaques visant, selon Moscou, à discréditer le système électoral russe.
Alors que les élections législatives se tiennent en Russie du 17 au 19 septembre, notamment par vote électronique, la Commission électorale russe a dénoncé trois cyberattaques émanant de l'étranger. Elle s'attend à une réitération de ces attaques..
Une organisation de cybersécurité a découvert que le logiciel controversé ciblait «la bibliothèque de rendu des images d'Apple, et fonctionnait contre les appareils Apple iOS, MacOS et WatchOS», les systèmes d'exploitation de la marque à la pomme.
Le ministère de l'Intérieur révèle qu'une cyberattaque menée le 10 août à l'encontre du site de demande de visas France-Visas a eu un impact sur plus de 8 700 demandeurs. Certains ont vu leurs données personnelles dérobées.
Le présumé hacker responsable d'un vol record de cryptomonnaies a déclaré l'avoir fait «pour s'amuser». Il est désormais présenté comme «pirate éthique» par Poly Network, victime de l'attaque, qui lui a offert 500 000 dollars de «bonus».