L'ancien secrétaire d'Etat Colin Powell s'en est pris à Donald Trump sur CNN, avant d'apporter son soutien au candidat démocrate Joe Biden pour la présidentielle. Trump lui a rappelé son mensonge à l'ONU, qui a permis la guerre d'Irak en 2003.
Ali Laïdi, journaliste, répond dans La Grosse Question.
Une catastrophe écologique ravage la ville irakienne de Bassora et les Marais de Mésopotamie.
Dans un climat de contestation inédite en Irak, le Parlement a accepté la démission du gouvernement d'Adel Abdel Mahdi et va demander au président de nommer un nouveau Premier ministre.
Le British Museum, vient d'idenetifier la provenance de huit petits objets antiques saisis chez un vendeur britanique : ils avaient été pillés en 2003 en Irak. Le Royaume-Uni s'apprête à les restituer à l'Irak.
Myriam Benraad, professeur en science politique à l’université de Leiden aux Pays-Bas et spécialiste de l'Irak donne son avis dans «Répondez, les Français veulent savoir !»
À l’occasion de la diffusion du documentaire «Mr Hicham et les orphelins de Bagdad», Magali Forestier reçoit Myriam Benraad, professeur en science politique à l’université de Leiden aux Pays-Bas.
Menacé des «sanctions les plus fortes de l'Histoire» par Washington, l'Iran hausse le ton. Téhéran a fixé sept conditions aux Européens pour rester dans l'accord sur le nucléaire, tout en déconseillant vivement aux Etats-Unis de mener une attaque.
Quinze ans après l’invasion de l’Irak par l'armée américaine, RT a rencontré, à Bagdad et à Berlin, d'anciens détenus de la tristement célèbre prison d'Abou Ghraïb. Ils ont confié leurs souvenirs des sévices subis pendant leur détention.
Bagdad a publié la liste des 60 terroristes les plus recherchés du pays, jusqu'à présent tenue secrète. Outre des cadres de Daesh, on retrouve des membres d'Al-Qaïda et du parti Baas. D'autres noms pourraient être publiés plus tard.
A Londres, la Haute cour de Justice a confirmé que l'armée britannique avait infligé des traitements inhumains à des civils irakiens en 2003. Le verdict tombe plus de 14 ans après les faits alors que la Cour pénale internationale commence à bouger.
La Haute Cour de Justice britannique a bloqué la tentative d'un général irakien d'attaquer Tony Blair pour l'invasion de l'Irak en 2003. Des militants dénoncent une tentative de la justice de protéger l'ex-Premier ministre.
Dans les villes passées sous le joug de l'Etat islamique, la libération par l'armée irakienne s'accompagne parfois de macabres découvertes. Les 89 corps en question seraient ceux de soldats de l'armée de l'air assassinés en 2014.
Dans une interview à la BBC, un ancien membre de la CIA qui travaillait en tant qu'interrogateur lors de la capture de Saddam Hussein a vivement critiqué l’intervention américaine en Irak, soutenant que cette guerre n'était absolument pas justifiée.
Dix ans après l'exécution de Saddam Hussein, l'expert en géopolitique et ancien opposant au régime baas, Subhi Toma, revient sur l'invasion américaine motivée par le pétrole et le désir de revanche et dont les conséquences semblent interminables.
Le cas de l'ancien chef d'Etat irakien illustre une tendance moderne : il y a eu presqu'autant de procès d'anciens chefs d'Etat depuis la fin de la guerre froide que pendant les trois siècles précédents, explique l'historien John Laughland.
Dix ans après Saddam Hussein, l'Irak souffre toujours de l'invasion brutale et illégale des Etats-Unis. Si la lutte contre Daesh a pu resouder le pays, pour Karim Pakzad, les puissances étrangères doivent maintenant prendre leurs responsabilités.
Le 30 décembre 2006, le président irakien Saddam Hussein était exécuté par pendaison. Quelles furent les conséquences pour l'Irak et la région ? Malgré l'échec de cette politique, les leçons n'ont pas été tirées par les politiques et journalistes.
John Nixon estime que le développement de l'Etat islamique aurait été impossible si le régime baasiste s'était maintenu. S'il condamne la brutalité de Saddam Hussein, il dit être désormais sûr de l'absence d'armes de destruction massive dans le pays.
«Notre ennemi commun est le régime médiéval qui entraîne le chaos au Moyen-Orient. Il faut parler avec les Russes et essayer de trouver un accord». Pour le député européen, David Coburn, c'est la seule façon d'arrêter la crise migratoire en Europe.