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Didier Maïsto, journaliste indépendant et les éditorialistes de RT France Alexis Poulin et Éric Revel, étaient sur Politmag pour parler de la pénurie de personnel soignant qui touche les hôpitaux publics.
D'après Le Parisien, le président ne devrait pas participer à l'émission «Elysée 2022» avant le premier tour, décision qui a fait réagir les journalistes de France 2 alors que tous ses concurrents se sont pliés à l'exercice.
Fragilisé par le rapport de la commission d'enquête sénatoriale et attaqué par les oppositions, le gouvernement a organisé une conférence de presse pour déminer l'affaire du recours à des consultants du secteur privé, qui aurait été selon lui limité.
Un collectif citoyen reproche à France TV Slash de manquer de pluralisme sur les sujets qu'elle aborde. La chaîne numérique du service public est accusée d'être sous l'emprise de l'idéologie «woke». Une pétition a été lancée.
Sur France Inter, Eric Zemmour a qualifié les journalistes de la radio publique de «représentants de la pensée de gauche» et affirmé que les Français n’avaient pas «à payer pour une radio orientée politiquement».
Invités dans l’émission On est en direct du 5 février, Gérard Darmon et Edwy Plenel se sont affrontés, le premier qualifiant le second de «père Fouettard de la politique», le second l'interprétant comme une attaque contre l’ensemble de sa profession.
Des responsables du cabinet McKinsey, sollicité par le gouvernement pour la campagne vaccinale, ont été entendus par une commission d'enquête du Sénat. Elle a demandé des explications sur ses travaux, facturés plusieurs centaines de milliers d'euros.
L'agence régionale de santé (ARS) d'Ile-de-France a demandé aux établissements de santé franciliens «de déprogrammer le maximum des activités chirurgicales et médicale qui peuvent l'être» en raison de l'afflux de malades du Covid.
C'est une spéculation qui a mal tourné pour EDF Trading (EDFT), la filiale d’activité de marché du fournisseur d'énergie français. En cause : un pari raté sur une baisse à venir de l’électricité dite «de pointe hivernale France».
Face à Jean-Luc Mélenchon, l'animateur a a exprimé le 2 octobre son désarroi au sujet de la multiplicité des candidatures à gauche en vue de la présidentielle. Sur Twitter, plusieurs personnalités dénoncent une intervention dénuée de neutralité.
Au lendemain du premier tour des élections régionales du 20 juin, la photo d'un assesseur portant le voile islamique à côté du candidat RN a fait le tour des réseaux sociaux, relançant le débat sur la neutralité des collaborateurs du service public.
Recul de l'âge de départ à la retraite, baisse des pensions, déficience des services publics, campagne de vaccination... Henri Sterdyniak analyse les inquiétudes des retraités pour RT France.
Frédéric Taddeï reçoit Anne Debregeas, ingénieure de Recherche chez EDF et membre de SUD-Energie, et Marc Boudier, président de l’Association française indépendante de l’électricité et du gaz (AFIEG).
Alors que Sibyle Veil entame la seconde partie de son mandat à la tête de Radio France, la PDG du groupe souhaite «faire de la diversité une réalité» au sein des radios du service public.
Les célébrations du 14 juillet, centrées cette année autour de ceux qui ont lutté contre l'épidémie, n'ont pas suffi à calmer l'ardeur de la rue. Des manifestations de soignants et de Gilets jaunes sont prévues tout au long de la journée.
Avec un format réduit, la cérémonie du 14 Juillet sera consacrée à ceux qui se sont mobilisés face à l'épidémie. Pas de quoi calmer la contestation cependant : plusieurs manifestation sont prévues en France.
Après trois mois de crise sanitaire, médecins, aides-soignants et infirmiers se mobilisent un peu partout en France pour exiger «de véritables moyens humains et budgétaires pour la santé publique». Des affrontements ont éclaté à Paris.
Le service public de l'information a formulé des «conseils» pour enfreindre la loi en «toute sécurité». France info semble bel et bien engagé dans un combat politique pour soutenir les rassemblements interdits. Le site a depuis dépublié son article.
Le personnel hospitalier s'est de nouveau rassemblé le 4 juin, manifestant leur colère contre le gouvernement. Ils demandent toujours plus de moyens, des embauches et des hausses de salaire alors que se tient en ce moment le «Ségur de la santé».
L'ancien président français, à qui a succédé Emmanuel Macron, a pris la parole pour la première fois depuis l'épidémie. Il a reconnu sa part de tort au sujet de la crise sanitaire, et a également proposé un plan de relance aux allures de programme.