SIDERANT

Tandis que Moscou s'inquiète de l'implication des pays occidentaux dans la crise que traverse la Biélorussie, l'UE prend fait et cause pour une lutte pour «la liberté et la démocratie» et contre Loukachenko. Au risque d'un scénario à l'ukrainienne ?
Le ministre russe des Affaires étrangères fustige les lois extraterritoriales américaines employées, selon lui, dans le but de soumettre des pays tiers et leurs partenaires commerciaux à des sanctions économiques.
Après la suspension de leurs comptes, des chaînes publiques cubaines et vénézuéliennes ont dénoncé une «censure» de la part de YouTube. La firme américaine les accuse d'avoir enfreint ses conditions d’utilisation, ce dont elles se défendent.
Adopté par la Chambre des représentants, un amendement à la loi National Defense Authorization Act contraint le gouvernement américain à présenter un rapport annuel, faisant état des conséquences humanitaire des sanctions étasuniennes.
Le chef de la diplomatie de l'UE a dénoncé «l'application extraterritoriale de sanctions» par Washington, la jugeant «contraire au droit international». Un constat qui contraste avec la propension de l'UE elle-même à prendre des mesures punitives.
Habitués aux piques américaines visant leur situation intérieure, l'Iran, la Chine et le Venezuela n'ont pas mâché leurs mots sur la situation aux Etats-Unis, dans un contexte de manifestations et d'émeutes consécutives à la mort de George Floyd.
Ancien haut fonctionnaire et chercheur politique, Bruno Guigue revient sur l'opération qui a permis d'acheminer les pétroliers iraniens au Venezuela, au nez et à la barbe de Washington.
La Russie a réagi au rejet par l'AG des Nations unies de sa résolution appelant à un moratoire sur les sanctions économiques durant la pandémie de Covid-19. Moscou a tancé les pays opposés au texte, dont les Etats-Unis ou l'Union européenne.
Les Etats-Unis ont déployé des forces dans les Caraïbes dans l'objectif affiché de lutter contre «les cartels de la drogue ». Une décision qui irrite le Venezuela, quelques jours après que Washington a accusé Nicolas Maduro de «narcoterrorisme».
Les Etats-Unis semblent envisager la levée de sanctions contre le groupe pétrolier russe. Ce revirement coïncide avec les tentatives du président américain d’enrayer l’effondrement des cours du brut, mortel pour l’industrie pétrolière américaine.
En violation des règles de confinement édictées par son propre gouvernement, le président brésilien allait à la rencontre de gens dans la rue, soulignant que la population voulait continuer à travailler. Twitter n'a vraisemblablement pas apprécié.
Les dirigeants des 20 plus grandes économies se sont réunis en sommet par visioconférence. Le président russe en a profité pour suggérer de lever les sanctions économiques pour mieux lutter contre l'épidémie.
Le Fonds monétaire international (FMI), dont le siège est Washington, a rejeté une aide de 5 milliards de dollars demandée par Nicolas Maduro pour lutter contre le coronavirus, au prétexte qu'il ne serait pas le président légitime du pays.
Dans une affaire de corruption, la procureure générale d'Equateur a requis sept ans de prison contre l'ex-président Rafael Correa, allant jusqu'à le comparer à Pablo Escobar. L'homme, qui clame son innocence, accuse celle-ci de partialité.
L'année 2019 a été marquée par de nombreux mouvements de protestation à travers le monde. Malgré leur diversité, ceux-ci ciblaient généralement la classe politique et les gouvernements, le plus souvent suite à des lois augmentant le coût de la vie.
Les autorités vénézuéliennes ont annoncé avoir interpellé six individus après l'attaque d'une caserne, au cours de laquelle un soldat a perdu la vie. Selon Caracas, plusieurs gouvernements sud-américains pourraient être liés à l'opération.
Le président du Venezuela Nicolas Maduro a laissé entendre qu'un diplomate américain en poste à Bogota pourrait être lié à un complot déjoué. Selon Caracas, il aurait été question d'un projet d'attaques contre deux casernes de l'armée vénézuélienne.
Lors d'une rencontre à Washington, le secrétaire d'état américain Mike Pompeo a demandé au ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov de soutenir l'opposant vénézuélien Juan Guaido. La réponse du diplomate russe fut sans surprise.
Le Brésil, le Salvador, l'Equateur et la Bolivie, tous gouvernés par des alliés de Washington, ont décidé d'annuler la coopération avec Cuba en matière de santé. Des conséquences lourdes pour les pauvres de ces pays ainsi que pour l'île socialiste.
Vote du Sénat français, Juan Guaido, opposition, réfugiés, situation économique, droit international : à l'occasion de son passage à Paris, Yvan Gil, vice-ministre vénézuélien pour l'Europe, a accordé un entretien à RT France.