CRISE EN ARMENIE

Certains manifestants s'en sont pris aux locaux de la Banque de France dans la préfecture de Meurthe-et-Moselle, à l'occasion de la onzième journée d'action contre la réforme des retraites du 6 avril.
Déclarant rencontrer des problèmes de recrutement des soignants et des médecins, l'hôpital privé Nancy-Lorraine a décidé de fermer définitivement son service des urgences, ouvert en 1999.
Alors que Saint Nicolas délivrait à Nancy un message appelant à respecter les gestes barrières, il a été sifflé et hué en retour par une partie de la foule rassemblée le 4 décembre devant l’hôtel de ville.
Un jeune manifestant a été condamné à deux mois de prison ferme pour avoir lancé des tomates et un pétard en direction de policiers lors de la manifestation anti-pass sanitaire du 25 septembre à Nancy.
La présence d'un mannequin en uniforme de pompier, représenté pendu lors d'un rassemblement à Nancy contre la gestion gouvernementale de la crise sanitaire, a fait réagir de nombreux internautes ainsi que le maire de la ville.
Des coups de feu ont été échangés entre des gendarmes et des gens du voyage lors d'une intervention près de Nancy. Un homme de 56 ans ayant tiré sur les forces de l'ordre avec son fusil est décédé des suites de ses blessures.
«18h : tous à la maison !». Dans les 15 départements concernés par le nouvel horaire, les commerçants accusent le coup : «il y a une perte de chiffre [d'affaires] qui se fait». Le désarroi grandît dans ce secteur déjà éprouvé par la crise sanitaire.
La vitrine d'une librairie «conservatrice» a été vandalisée le 5 octobre à Nancy. Recouvert de slogans antifascistes, l'établissement a annoncé qu'il porterait plainte. Un collectif d'opposants s'était constitué contre son ouverture.
Quelques jours après avoir soulevé un tollé en estimant qu'il ne voyait «pas de raison» d'annuler le projet en cours de supprimer 598 postes et 174 lits au CHRU de Nancy, le directeur de l'ARS Grand Est a finalement été limogé par le gouvernement.
En pleine pandémie de Covid-19, le directeur de l'ARS Grand Est a confirmé le projet visant à supprimer des postes et des lits d'ici à 2025 au CHRU à Nancy. Des personnalités locales sont montées au créneau, poussant le ministre de la Santé à réagir.
Un homme fiché S pour radicalisation et sa compagne ont été placés en garde à vue après la découverte d'engins explosifs artisanaux dans un immeuble d'Epinal, dans le cadre d'une enquête menée par le parquet antiterroriste.
Un Gilet jaune a été condamné le 27 décembre par le tribunal correctionnel de Nancy à 3 ans et demi de prison, dont 6 mois avec sursis, pour avoir blessé trois policiers lors d'une manifestation en décembre 2018.
L'arbitre de la rencontre entre Nancy et Le Mans a interrompu la partie quelques instants après avoir constaté des chants homophobes proférés par un groupe de supporters. Marlène Schiappa s'est réjouie de la décision.
Après que la présidente démocrate de la chambre des représentants Nancy Pelosi a mis en doute la santé mentale du président des Etats-Unis, celui-ci s'est fendu d'un commentaire pour le moins sans équivoque sur sa propre personne.
François Vallas a été placé en garde vue pour provocation à la rébellion au cours d'un rassemblement de Gilets jaunes à Nancy. Invoquant la loi, le magistrat aurait incité les protestataires à rompre le cordon de sécurité de CRS qui les entouraient.
Un quatrième homme soupçonné d'avoir fourni une aide logistique aux deux suspects d'un projet d'attentat djihadiste, déjoué en avril à Marseille, a été mis en examen le 16 juin par un juge antiterroriste.
La date du premier tour de l’élection approche et les candidats emploient leurs dernières forces à convaincre les électeurs. En meeting à Dijon, Jean-Luc Mélenchon utilise l’innovation technologique pour apparaître dans d’autres endroits du pays.
Alain Juppé, candidat de la primaire à droite arrivé largement derrière François Fillon au premier tour, s'est dit confiant dans la victoire continuant de cibler «la brutalité» du programme de son adversaire lors de son dernier meeting à Nancy.
Trois jours seulement après les attentats du 13 novembre à Paris, un homme à la dérive s'est attaqué à des drapeaux français accrochés à la gare de Nancy en solidarité aux victimes. Il a été condamné à 120 heures de travaux d'intérêt général.