BRAS DE FER

Selon le centre de recherche indien SBI Research, avec l'arrivée des six nouveaux membres, l'organisation des BRICS représentera environ un tiers du PIB mondial, et près de 40% de la production pétrolière.
Malgré les sanctions économiques occidentales, l'économie russe devrait connaître en 2024 une croissance nettement au-dessus de celle de la zone euro, d'après le Fonds monétaire international.
En 2023, l’économie chinoise ne devrait progresser que de 4,3% au lieu des 8,1% attendus, en raison de la pandémie de COVID-19 et de la mauvaise santé de l’immobilier. Elle restera malgré cela beaucoup plus dynamique que les économies occidentales.
Selon les données de l’agence publique des statistiques Rosstat, le produit intérieur brut de la Russie a baissé de 4% au deuxième trimestre par rapport à la même période en 2021. La Banque centrale de Russie est néanmoins optimiste pour le futur.
Après le rebond de 2021, l’activité économique en France ne progresse plus, avec 0% de croissance au premier trimestre. Et, à 4,5% sur douze mois, la hausse des prix a atteint en avril un niveau qu’on n’avait plus vu depuis une quarantaine d’années.
Dans une interview au JDD, une responsable de l’OCDE estime que le conflit en Ukraine pourrait coûter de 1 à 1,5 point de croissance en 2022. L’inflation déjà en forte hausse pourrait, elle, augmenter encore de 2 à 2,5 points de pourcentage.
L’envolée des prix mondiaux des hydrocarbures favorise les finances publiques de l’Algérie. Mais hors hydrocarbures, la reprise s’est vite essoufflée et l’inflation a atteint un niveau record (9,2%) tandis que le chômage reste très élevé (12,8%).
La cinquième vague de Covid-19 et le variant Omicron pourraient faire hoqueter la croissance française l'an prochain. La Banque de France prévoit désormais une hausse de 3,6% alors que le gouvernement espère toujours 4%.
L‘Inde devrait se ressentir de la flambée de Covid-19 observée depuis fin janvier. Mais selon l’OCDE son économie demeurera, en 2021 et 2022, la plus dynamique du monde, devant la Chine, les Etats-Unis et la Zone euro.
Economie en profonde récession, rebond moins fort que prévu et dettes qui s'envolent : l'épidémie de coronavirus s'avère désastreuse pour la zone euro, selon un bilan de la Commission européenne, qui n'entrevoit pas de retour rapide à la normale.
Le ministre de l’Economie a révisé à la baisse ses prévisions économiques pour 2020. Malgré le rebond du troisième trimestre, le reconfinement va encore amputer l’activité d’un point de pourcentage d’ici la fin de l’année, explique Bruno Le Maire.
Selon le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, la reprise observée depuis la fin du confinement va prendre fin avec le couvre-feu imposé à 46 millions de Français. Le niveau d’activité économique de 2019 ne sera rattrapé qu’en 2022.
Le produit intérieur brut du Royaume-Uni a chuté de plus de 20% au second trimestre. C’est le pire résultat depuis 1955. En outre, le pays compte un million de demandeurs d’allocations chômage de plus que lors de la crise financière de 2008-2009.
L'économie américaine entre officiellement en récession après deux trimestres de baisse du PIB. Un déclin qui «reflète la réponse apportée au Covid-19, avec des mesures de confinement imposées en mars et en avril», selon le département du Commerce.
Le gouvernement français anticipe désormais une chute du produit intérieur brut de 11% cette année en France, contre 8% jusqu'ici. Bercy mise toutefois sur les plans de soutien aux différents secteurs touchés par la crise pour accélérer la reprise.
L’Autriche, le Danemark, les Pays-Bas et la Suède ont répété leur opposition à toute dette émise au nom de l’Union européenne, base du plan de relance à 500 milliards d’euros proposé par la France et l’Allemagne.
Dans une interview, Christine Lagarde a salué le projet de relance de 500 milliards d'euros proposé lundi par les dirigeants français et allemand. Elle a aussi appelé à moderniser le Pacte de stabilité et de croissance.
D'après une étude comparative mise en ligne par l'Insee, la Corse est la région la plus touchée économiquement par le coronavirus, devant l'Ile-de-France ou PACA. A l'inverse, la Bretagne, les Hauts-de-France ou les DROM encaissent mieux le choc.
La Commission européenne prévoit désormais une récession historique en 2020, accompagnée d’une forte hausse du chômage. Elle n’exclut pas une aggravation en fonction de l’évolution de l’épidémie, et plaide pour un plan de relance coordonné.
La France a connu au cours du premier trimestre 2020 la pire contraction de son économie depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. La consommation des ménages et les investissement des entreprises se sont effondrés.