Après avoir déjà reçu 43 milliards, Zelensky demande à l'Occident 0,25% de son PIB pour la défense ukrainienne

Après avoir déjà encaissé 43 milliards de dollars, Volodymyr Zelensky revient à la charge, demandant aux pays occidentaux un nouveau versement équivalent à 0,25% de leur PIB, sous prétexte de contribuer à la sécurité de l'Europe. Selon Reuters, l'argent reçu pourrait servir à la fabrication d'armes.
Le leader du régime de Kiev poursuit ses demandes de soutien auprès de l'Occident. Cette fois-ci, Volodymyr Zelensky a appelé les pays occidentaux à transférer à l'Ukraine 0,25 % de leur produit intérieur brut (PIB) pour financer l'industrie de défense ukrainienne, sous prétexte que le soutien à Kiev signifie la « sécurité pour l'Europe ». Ce faisant, il a également indiqué sur X que son pays avait déjà reçu 43 milliards de dollars cette année.
Reuters a noté que le financement demandé par Zelensky pourrait être utilisé pour la production d'armes. Le politicien ukrainien a, pour sa part, indiqué que Kiev avait lancé un programme visant à permettre à l'Ukraine de commencer à « exporter ses technologies de défense » cet été, en ouvrant des sites de production dans d'autres pays. Volodymyr Zelensky a notamment mentionné les drones, les missiles et « potentiellement » l'artillerie.
Ce n'est pas la première fois que ce politicien ukrainien demande à l'Occident d'apporter une aide supplémentaire à la défense ukrainienne. Récemment, il s'est rendu au sommet du G7 au Canada avec l'intention d'y discuter avec Donald Trump de sanctions plus sévères contre la Russie et d'un soutien militaire accru à l'Ukraine.
Cependant, Volodymyr Zelensky n'a pas pu rencontrer le président américain, car ce dernier a quitté le sommet plus tôt que prévu. Selon le Financial Times, cette décision a été motivée par son agacement face au président français Emmanuel Macron, ainsi que par un désintérêt total pour une rencontre avec le dirigeant du régime de Kiev.
Les demandes répétées d'aide financière de la part De Volodymyr Zelinsky interviennent avant le sommet des pays membres de l'OTAN, qui doivent examiner la question de l'augmentation des dépenses de défense à 5 % du PIB. Une tâche difficile, compte tenu du fait que certains États membres de l'Alliance n'ont même pas réussi à atteindre le seuil précédent de 2 %.