Le président américain a ratifié un décret visant à lever l'immunité contre toute poursuite judiciaire dont bénéficient les réseaux sociaux sur les contenus publiés par des tiers si ces derniers cessent de se comporter en simple hébergeur.
L'association «Killuminateam – les soldats dans le sentier d’Allah», présidée par un rappeur, diffusait sur Internet notamment des vidéos faisant l'apologie du terrorisme. Le ministre de l'Intérieur vient d'annoncer sa dissolution.
Etudiant d'une université russe prestigieuse, Egor Joukov est accusé d'incitation à l’extrémisme via sa chaîne YouTube. Alors que son procès a été hautement médiatisé, le jeune homme assume les propos qu'il a tenus sur les réseaux sociaux.
Dans un rapport publié le 20 novembre, Amnesty International a remis en cause le modèle économique de Google et de Facebook. L'ONG explique que ce système «fondé sur la surveillance» est une «menace systémique pour les droits humains».
Google et Facebook sont accusés par l'autorité russe des médias, Roskomnadzor, d'ingérence dans les affaires intérieures du pays. En cause : la propagation de publicités politiques, interdite le 8 septembre en raison de la tenue d'élections locales.
Roskomnadzor, l'agence de supervision des communications et des technologies de l'information russe, a demandé à Google de prendre des mesures pour empêcher la promotion sur la plateforme YouTube, de mobilisations massives non autorisées en Russie.
Le gouvernement a recruté des influenceurs pour promouvoir son nouveau «Service national universel» auprès des jeunes, ont confirmé à l'AFP les services de Gabriel Attal, après un article de Libération.
Dans des propos enregistrés en caméra caché par Project Veritas, une cadre de Google assure que l'entreprise travaille sur ses algorithmes afin d'éviter que le scénario de l'élection de 2016 – qui a porté Donald Trump au pouvoir – ne se répète.
Deux youtubeurs de la chaîne Mamytwink accusent LCI d'avoir détourné des images de leur documentaire sur Tchernobyl pour illustrer un sujet sur le «tourisme de mauvais goût».
Face à la censure grandissante pratiquée par Facebook ou Twitter, des concurrents se développent. Leur principe ? Un strict respect de la liberté d'expression des utilisateurs. RT France a interrogé les patrons de deux d'entre eux, Minds et Gab.
Pour lutter contre le «harcèlement» et les contenus jugés «limites», YouTube a supprimé ou encore démonétisé certaines chaînes de commentateurs politiques – principalement conservateurs – très populaires.
ReSet, un youtubeur hispanophone, vient d'être reconnu coupable d'«atteinte à l'intégrité morale» pour une vidéo postée en 2017. Il y tendait un piège à un sans-abri tout en le filmant. Le jeune homme dit avoir voulu «faire le show» pour ses abonnés.
Parmi les influenceurs de YouTube et d'Instagram ayant participé au «voyage d'étude» organisé par la Commission européenne en avril 2019, deux d'entre eux livrent un témoignage particulièrement critique de leur expérience à RT France.
A Johannesbourg, un jeune homme a attaqué par derrière l'ex-gouverneur et star hollywoodienne venu pour promouvoir l'édition 2019 de l'Arnold Classic Africa. Schwarzy a ensuite calmement repris sa place dans le jury.
Sous des images de Notre-Dame en flammes, Youtube a diffusé un bandeau informatif évoquant la version officielle des attentats du 11 Septembre. Sensée lutter contre la diffusion de fausses informations, la fonctionnalité a eu l'effet inverse.
Une pédiatre américaine a récemment tiré la sonnette d’alarme après avoir découvert sur YouTube un dessin animé comportant une séquence d’incitation au suicide. La vidéo avait été repérée plus tôt sur YouTube Kids, l'application filtrée pour enfants.
Dix jours après la tuerie de Christchurch, le Conseil français du culte musulman (CFCM) a porté plainte contre les filiales françaises de Facebook et de YouTube pour «diffusion de message à caractère violent incitant au terrorisme».
Un blogueur a dénoncé le laissez-faire de YouTube, qui permet à des pédophiles de s’échanger des liens et les coordonnées de petites filles en commentant sous les vidéos que publient naïvement celles-ci.
Représenté par le Premier ministre Edouard Philippe et neuf ministres, le gouvernement a voulu se montrer jeune en débattant en direct sur une plateforme spécialisée dans le jeu vidéo. Cela suffira-t-il pour convaincre la jeunesse ?
Simultanément aux actions de terrain, le mouvement des Gilets jaunes n'échappe pas aux réseaux sociaux. Parmi les récentes vidéos consacrées à la mobilisation, celle du YouTubeur Trouble Fait, propose une méthode «pour tout changer», en cinq étapes.