BRAS DE FER

La police britannique a fait savoir, ce 30 octobre, que des engins incendiaires avaient été jetés contre les locaux des services de l'immigration à Douvres, ville côtière du Sud-Est de l'Angleterre.
Une voiture de la police municipale a été incendiée à Fréjus, dans le Var, dans la nuit du 8 au 9 mai. Une dizaine de commerces ont été dégradés, alors que les forces de l'ordre évoquent des violences «montées d'un cran» depuis plusieurs semaines.
Un homme de 36 ans a été arrêté à Bruxelles pour avoir tenté de jeter un cocktail molotov à l'extérieur du Parlement fédéral belge. Il a expliqué avoir agi en représailles à la mauvaise gestion de la crise sanitaire.
Images impressionnantes d'un fourgon de police nationale attaqué au mortier d'artifice et au cocktail Molotov dans une rue de la ville d'Orly la nuit du 14 au 15 juillet. Des attaques de ce type se sont également produites dans la capitale.
Les pompiers ont de nouveau fait l'objet d'un guet-apens alors qu'ils avaient été appelés pour un feu de poubelles dans le quartier du Neuhof à Strasbourg. Vingt jeunes hommes, principalement mineurs, ont été placés en garde à vue par la police.
Des émeutiers ont fait usage de cocktails Molotov et provoqué des départs de feu dans la ville d'Argenteuil pour la deuxième nuit consécutive après la mort d'un jeune dans un accident de circulation le 17 mai. La police est à nouveau intervenue.
La justice a mis en examen un livreur de la société Amazon âgé de 26 ans. Il est soupçonné d'avoir vendu des engins incendiaires lors des récentes violences urbaines à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), selon la procureur de la République de Nanterre.
Selon Robert Herrmann, président de l'Eurométropole de Strasbourg, «on commence à sentir monter la tension dans les quartiers» de la capitale alsacienne en plein confinement. Des échauffourées ont éclaté dans la nuit du 20 au 21 avril.
Les nuits semblent se ressembler dans la cité des Indes à Sartrouville (Yvelines). Des bandes ont pris à partie les forces de l'ordre pour répondre à l'interpellation de l'un des leurs la veille.
Plus d'un an après l'acte 3 des Gilets jaunes, où un péage et les locaux d’un peloton de gendarmerie avaient été saccagés à Narbonne, 21 des 31 prévenus ont écopé de peines de prison ferme. Un «procès politique», selon leurs avocats.
Le cour d'assises de l'Essonne a condamné huit jeunes, reconnus coupables de tentative de meurtre, à des peines de 10 à 20 ans de prison pour avoir violemment pris d'assaut deux véhicules de police en 2016. Des agents de police avaient pris feu.
Dans le contexte des troubles récurrents qui secouent la mégapole chinoise semi-autonome, un journaliste de Radio Television Hong Kong (RTHK) a vu ses vêtements prendre feu à cause d'un dispositif incandescent.
La vidéo d'une violente agression au cocktail Molotov commise sur des policiers a fait son apparition sur les réseaux sociaux. La scène se serait déroulée à Goussainville, où des fonctionnaires ont été attirés dans un guet-apens.
Un local de la préfecture de Côte-d’Or à Dijon a été pris pour cible par des individus qui ont jeté des cocktails Molotov sur le bâtiment, provoquant un début d'incendie. Les enquêteurs auraient mis la main sur des engins similaires non explosés.
Dans la soirée du 6 mars, de nouvelles violences urbaines ont éclaté à Grenoble, dans le quartier Mistral, quelques heures après une marche blanche en hommage aux deux adolescents morts après une course poursuite avec la police.
Une œuvre d'art représentant le personnage emblématique de l'enseigne américaine McDonald's crucifié a provoqué la colère de centaines de chrétiens. Des affrontements devant le Haifa Museum of Art, en Israël, ont fait plusieurs blessés.
Trois bombes artisanales ont été saisies sur un rond-point occupé par des Gilets jaunes, à Montauban, ont annoncé les autorités dans un communiqué. Vingt-huit cocktails Molotov «prêts à l'emploi» ont également été découverts dans une camionnette.
Cocktails Molotov, fumigènes, extincteurs... Athènes a été le théâtre d'affrontements entre jeunes et policiers, un projet de loi sur les conditions d’entrée à l'université ayant poussé les étudiants à descendre dans les rues de la capitale.
Alors que des CRS étaient en train de le contrôler, un homme de 22 ans a percuté un des policiers avec son véhicule. Un policier a fait feu et le conducteur est décédé à l'hôpital. Des violences ont aussitôt éclaté dans trois quartiers nantais.
Buon Tan, un député LREM qui souhaitait dialoguer avec les occupants de l'université, a été accueilli de façon très houleuse, et contraint de rebrousser chemin. Il déplore une situation «intolérable» et réclame une intervention des autorités.