ANALYSE

Annulant la décision de première instance, la haute juridiction ukrainienne a jugé que l'emblème de la division «Galicie», responsable de massacres pendant la Deuxième guerre mondiale, ne pouvait être assimilé à un signe d'appartenance au nazisme.
Déboulonnée par les autorités ukrainiennes en 2015 à la suite du coup d'Etat de Maïdan, une statue de Lénine a été remise en place dans la ville de Mélitopol, dans la région de Zaporojié qui a rejoint fin septembre la Fédération de Russie.
S'exprimant au terme d'un sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, le dirigeant russe a accusé les nations occidentales de chercher, depuis des décennies, la dislocation de l'URSS puis la chute la Fédération de Russie.
Les funérailles du dernier dirigeant de l'Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, sont organisées ce 3 septembre à Moscou.
La mort à 91 ans de Mikhaïl Gorbatchev, dernier dirigeant de l'URSS, a suscité de nombreuses réactions, particulièrement en Occident. Vladimir Poutine a estimé qu'il a eu «une grande influence sur l'évolution de l'Histoire du monde».
Le dernier dirigeant soviétique s’est éteint à Moscou à l’âge de 91 ans. Personnage clé de l’histoire du XXe siècle, adulé par les uns et détesté par les autres, son héritage politique divisera pour longtemps les historiens.
L'avocat Régis de Castelnau souligne l'importance de la date du 23 août 1942 dans la bataille de Stalingrad, qui se soldera par la victoire des Soviétiques sur les nazis au prix de sacrifices considérables. Succès à la force symbolique essentielle...
Les tensions entre Moscou et Riga sont accrues après que le Parlement letton a renoncé à son obligation de préserver les monuments issus de l'ère soviétique, pourtant prévue par un accord russo-letton. Un monument de Riga, en particulier, est menacé.
A la veille du Jour de la Victoire, célébrant la victoire de l'Armée rouge sur l’Allemagne nazie, des manifestations ont eu lieu en Allemagne et en Pologne pour dénoncer l'intervention russe en Ukraine, qui vise selon Moscou, à «dénazifier» le pays.
Vétéran de la Grande Guerre patriotique, Evguény Kouropatkov évoque ses souvenirs de lutte contre l'envahisseur nazi à Stalingrad.
Quelques jours avant la célébration du jour de la Victoire, l'ambassadeur de Russie en France a déposé une gerbe de fleurs devant le monument honorant les morts soviétiques ayant combattu le nazisme aux côtés des membres de la Résistance française.
La mairie de Kiev a entamé la démolition d'un monument célébrant «l'amitié entre les peuples» datant de l'ère soviétique. Moscou dénonce depuis plusieurs années les atteintes aux monuments hérités de l'histoire de l'URSS.
Ainsi que le rapporte l'agence de presse TASS, le président russe a signé une loi punissant le fait de mettre sur un pied d'égalité l'Union soviétique et l'Allemagne nazie. La Russie entend ainsi s'opposer aux tentatives de «déformer l’histoire».
Des syndicats et associations vendéennes ont lancé une pétition visant à faire rebaptiser le collège Soljenitsyne d’Aizenay du nom d'un poète ukrainien, dans le contexte de l'offensive russe en Ukraine. Une initiative qui soulève de vives critiques.
Le président syrien a estimé que l'opération militaire russe en Ukraine contribuait à rétablir l'équilibre dans l'ordre international, marqué par une asymétrie depuis la chute de l'URSS. Il a également assuré la Russie de son soutien.
Avant d'annoncer sa décision concernant la reconnaissance des républiques de Donetsk et de Lougansk dans son discours télévisé à la nation, le président russe s'est longuement exprimé sur le contexte historique et politique de la crise en Ukraine.
Le président du Turkménistan, Gourbangouly Berdymoukhamedov, a exigé que les autorités trouvent une solution pour éteindre les flammes de la fameuse «porte de l'Enfer», un cratère gazier de Darvaza qui brûle sans interruption depuis 1971.
La Cour suprême russe a ordonné la dissolution de l'ONG, accusée d'avoir violé à plusieurs reprises les obligations relatives à son statut d'«agent de l'étranger». Memorial dénonce pour sa part une décision «injuste» et «malfaisante».
Le dernier dirigeant de l'Union soviétique a estimé le 24 décembre que les Etats-Unis s'étaient «proclamés vainqueurs de la Guerre froide» et que l'élargissement de l'OTAN était né de la volonté de l'Occident de «bâtir un nouvel empire».
Deux figures incontournables de la guerre froide : Andreï Gromyko, ministre soviétique des Affaires étrangères, et Henry Kissinger, secrétaire d’État américain. Un respect mutuel et une guerre sans merci dans les coulisses de la diplomatie mondiale.