SIDERANT

Banni de Facebook à la suite des manifestations du 6 janvier 2021 au Capitole de Washington, l'ancien président américain Donald Trump vient de faire son retour sur le réseau social avec un simple message : «Je suis de retour !»
La vague de licenciements se poursuit chez Meta : son patron annonce ce 14 mars que 10 000 employés vont être remerciés dans le cadre d'un plan de restructuration, 11 000 employés ayant déjà été licenciés en novembre dernier.
Le conseil de surveillance du géant américain Meta, la maison mère de Facebook, a appelé le réseau social à autoriser une publication contenant le message «mort à Khamenei», le guide suprême iranien, qui a été retirée par le groupe.
Meta, la maison mère de Facebook, a annoncé ce 9 novembre la suppression de 11 000 emplois, soit environ 13% de ses effectifs, un plan social de grande envergure dans un secteur technologique lourdement affecté par la crise économique.
29 personnalités américaines du monde politique, médiatique et des affaires se voient être interdits de territoire en Russie, de même que 61 personnalités canadiennes, en représailles aux sanctions antirusses.
La société Meta, qui regroupe Facebook et Instagram, menace de fermer ces deux réseaux sociaux en Europe en raison de son refus de se plier à la réglementation sur la protection des données personnelles.
Aux Etats-Unis, une coalition d'Etats a déposé une nouvelle version d'une plainte judiciaire accusant Google et Meta d'avoir passé en 2018 un accord illégal visant à asseoir leur domination sur le marché de la publicité en ligne.
Le géant californien des réseaux sociaux s'appellera dorénavant Meta et veut créer l'internet du futur avec le «métavers», une mode virtuel complet en 3D. Une annonce qui survient alors que l'entreprise est de plus en plus critiquée.
Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger ont été victimes d'une panne massive, non sans conséquence sur le plan économique. Le cours de l'entreprise de Mark Zuckerberg a lourdement chuté.
Dans une interview, l'ex-président républicain est revenu sur les relations qu'il entretenait avec le patron de Facebook en des termes qui ont déclenché l'hilarité des individus présents.
La Maison Blanche hausse le ton contre les grands opérateurs de réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Joe Biden les a accusés de tuer des gens à cause des fausses informations sur les vaccins.
Dans le cadre d'une visioconférence interne destinée aux salariés de Facebook, la direction du réseau social a revendiqué une chasse ouverte aux lanceurs d'alerte de l'entreprise. Le média Project Veritas a fait fuiter la vidéo.
Le réseau social entend continuer sa lutte contre les «fake news» en ajoutant aux publications concernant le réchauffement climatique des liens vers son Centre d'information sur le climat.
Frédéric Taddeï reçoit Denis Robert, journaliste, Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte, Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, et Drieu Godefridi, philosophe.
Le chef d'Etat mexicain, Lopez Obrador, a exprimé son inquiétude quant aux respect des libertés fondamentales, après la décision du patron de Facebook de bloquer pour une durée indéterminée le compte de Donald Trump, après les événements du Capitole.
Donald Trump ne pourra plus utiliser son compte Facebook pour une durée indéterminée, a annoncé Mark Zuckerberg. La décision qui vaut également pour Instagram, filiale de Facebook, a été prise au lendemain des événements du Capitole.
Des géants du numérique comme Google et Facebook s'engagent de manière symbolique à «prendre leurs responsabilités» pour «une juste contribution aux impôts» dans les pays où ils sont établis.
Alors que les présidentielles américaines du 3 novembre approchent, le patron de Facebook a exprimé son inquiétude à propos de risques de troubles dans le pays. Il a également annoncé que le réseau social se tenait prêt pour l'élection.
Les propos négationnistes ne seront plus tolérés sur Facebook a fait savoir l'entreprise californienne dans un communiqué. L'entreprise de Mark Zuckerberg change sa politique et poursuit son tour de vis en renforçant sa politique de modération.
Le réseau social a annoncé que toutes les publicités qui «qualifient la fraude électorale de généralisée, ou les résultats des élections d'invalides, ou qui contestent une méthode de vote» ont été interdites sur Facebook et Instagram.