Le réseau social entend continuer sa lutte contre les «fake news» en ajoutant aux publications concernant le réchauffement climatique des liens vers son Centre d'information sur le climat.
Frédéric Taddeï reçoit Denis Robert, journaliste, Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte, Eric Denécé, directeur du Centre Français de Recherche sur le Renseignement, et Drieu Godefridi, philosophe.
Le chef d'Etat mexicain, Lopez Obrador, a exprimé son inquiétude quant aux respect des libertés fondamentales, après la décision du patron de Facebook de bloquer pour une durée indéterminée le compte de Donald Trump, après les événements du Capitole.
Donald Trump ne pourra plus utiliser son compte Facebook pour une durée indéterminée, a annoncé Mark Zuckerberg. La décision qui vaut également pour Instagram, filiale de Facebook, a été prise au lendemain des événements du Capitole.
Des géants du numérique comme Google et Facebook s'engagent de manière symbolique à «prendre leurs responsabilités» pour «une juste contribution aux impôts» dans les pays où ils sont établis.
Alors que les présidentielles américaines du 3 novembre approchent, le patron de Facebook a exprimé son inquiétude à propos de risques de troubles dans le pays. Il a également annoncé que le réseau social se tenait prêt pour l'élection.
Les propos négationnistes ne seront plus tolérés sur Facebook a fait savoir l'entreprise californienne dans un communiqué. L'entreprise de Mark Zuckerberg change sa politique et poursuit son tour de vis en renforçant sa politique de modération.
Le réseau social a annoncé que toutes les publicités qui «qualifient la fraude électorale de généralisée, ou les résultats des élections d'invalides, ou qui contestent une méthode de vote» ont été interdites sur Facebook et Instagram.
Dans une vidéo, des rescapés de l'Holocauste interpellent Mark Zuckerberg en l'appelant à bannir tout message négationniste de sa plateforme. De son côté, Facebook n'entend pas retirer un contenu «uniquement parce qu'il est faux».
Mis sous pression par les organisateurs de la campagne de boycott «Stop hate for profit» selon qui les «racistes de l'Alt-right» prospèrent sur Facebook, Mark Zuckerberg a assuré que le réseau social supprimait pro-activement les «discours de haine».
Depuis plusieurs semaines, Facebook subit la pression d'activistes et d'une partie de ses employés, qui exigent une modération plus intransigeante des contenus jugés haineux. Mark Zuckerberg a annoncé de nouvelles mesures allant dans ce sens.
Plusieurs cadres et employés du géant américain Facebook ont ouvertement contesté la décision de leur directeur Mark Zuckerberg de ne pas masquer ou signaler sur le réseau social certains propos du président américain qu'ils jugent haineux.
Abandonnée en 2019, l’idée d’une taxe européenne sur les entreprises du numérique pourrait refaire surface sous la pression économique engendrée par l’épidémie de Covid-19. L’idée a de nouveau été évoquée par le commissaire chargé de la fiscalité.
Au cours d'une discussion sur la régulation des réseaux sociaux, le Commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton a imploré le patron de Facebook, de marbre, à ce que son entreprise n'aille pas «dans les paradis fiscaux».
Le Commissaire européen Thierry Breton a rencontré Mark Zuckerberg. A l'issue de cet entretien, il a mis en garde les plateformes contre des «mesures contraignantes» si elles ne s'auto-régulaient pas contre les propos jugés haineux ou les fake news.
Des messages voire des comptes d'internautes ou de journalistes iraniens ont été supprimés sur Instagram. Motif : ils soutenaient le général Soleimani, exécuté par Washington. Une façon de se conformer aux sanctions américaines, selon Facebook.
Dans un rapport publié le 20 novembre, Amnesty International a remis en cause le modèle économique de Google et de Facebook. L'ONG explique que ce système «fondé sur la surveillance» est une «menace systémique pour les droits humains».
Alors que Facebook a officialisé en juin 2019 son intention de lancer une cryptomonnaie - provoquant une levée de boucliers de nombreux pays occidentaux - Mark Zuckerberg a annoncé qu'il était prêt à amender son projet. Qu'en est-il ?
Libra, le projet de cryptomonnaie de Facebook, va-t-il bouleverser l'ordre économique mondial ? Eléments de réponses avec Clément Jeanneau, cofondateur de Blockchain Partner et Philippe Béchade, rédacteur en chef de La Bourse au quotidien.
Mark Zuckerberg a fait face à la méfiance des parlementaires des Etats-Unis quant au projet de cryptomonnaie (Libra) promu par Facebook. Mais Libra dépend d’un consortium basé en Suisse où le réseau social n’a pas de position dominante.